Nos articles d’actualité et d’analyse sur le financement des entreprises par dette obligataire (marché primaire, DCM, obligations hybrides) ou bancaire.
Toute l’actualité des introductions en Bourse (IPO) des entreprises françaises et internationales. L’analyse du marché et de ses dynamiques du point de vue des investisseurs, des émetteurs et des banques partenaires.
Le groupe britannique de publicité songe à troquer sa cotation principale à Londres pour New York. Avec l’espoir de voir les investisseurs mieux valoriser sa stratégie et lui appliquer de meilleurs multiples.
Devenue Younited Financial après son rapprochement avec Iris Financial, la fintech française de crédit conso veut poursuivre ses investissements en technologie et grandir plus vite.
Le champion européen de l'intelligence artificielle Mistral AI n'est «pas à vendre» et réfléchit plutôt à se coter, a déclaré Arthur Mensch, mardi 21 janvier au matin, lors d'une interview réalisée au Forum économique mondial.
L’ex-HotelBeds espère donner un coup de fouet à la Bourse madrilène. En dépit de son statut de valeur tech, elle se fixe comme objectif une distribution de 20% de son résultat à compter de 2026. L'opération aura lieu début février.
Le scénario privilégié par Berlin demeure une cession partielle du géant énergétique valorisé 18 milliards d'euros. Des spécialistes du capital-investissement auraient toutefois été approchés en vue d'une possible vente totale.
Le groupe pharmaceutique détenu par Bain Capital et Cinven, a nommé Andreas Fibig à la tête de son conseil d’administration. Une cotation à Francfort pourrait le valoriser 10 milliards d’euros.
Le footballeur argentin a coté sa société Edificio Rostower Socimi qui détient des immeubles, des bureaux et des hôtels sur le marché alternatif Portfolio Stock Exchange. Il en demeure le seul actionnaire.
La plateforme boursière paneuropéenne a connu une année record avec plus de 14.700 nouvelles cotations obligataires, un plus haut historique. Malgré le dynamisme des levées de capitaux, elle a en revanche laissé échapper les deux plus importantes introductions en Bourse de l’année.
Souvent poussés par des fonds occidentaux, nombre de grands groupes ont fait des annonces en décembre pour promettre leur entrée en Bourse à Bombay en 2025. Dernier en date, le sud-coréen LG, qui pourrait coter sa filiale locale. Le pays, en forte croissance, cumule les atouts aux yeux des investisseurs.
Pas moins de 671 milliards d’euros ont été levés dans le monde en 2024, un volume en hausse de 26% sur un an, tiré par les Etats-Unis. Si l’Europe est dans le ton, elle manque toutefois de réelle dynamique. La France reste décrochée.
Le groupe japonais, ex-Toshiba Memory, a vu son action bondir de 14% pour son premier jour de cotation mercredi 18 décembre. Les IPO ont connu une année faste au Japon, avec notamment celles de Tokyo Metro et de Rigaku.
L’introduction en bourse de CMGP Group à Casablanca, largement sursouscrite, constitue une première sortie sur le marché local pour une entreprise majoritairement aux mains du private equity.
Les capitalisations cumulées de Canal+, Havas, Louis Hachette Group et de ce qu'il reste de Vivendi se montent à 8,6 milliards d'euros, soit peu ou prou la capitalisation du conglomérat avant la scission.
Canal+, une des quatre nouvelles sociétés issues de la scission de l’empire Vivendi, connaît des débuts difficiles en Bourse ce lundi. Son action cotait à 232 pence à la mi-journée, bien en dessous d'un prix de référence de 290 pence.
L’ex-Toshiba Memory rejoindra la place de Tokyo le 18 décembre. Le groupe va lever pour 197 millions d’euros via l’émission de nouvelles actions et ses premiers actionnaires, dont Bain Capital, pourraient vendre jusqu’à 560 millions d’euros de titres.
Les actionnaires sont appelés lundi à se prononcer sur la scission du conglomérat de médias en quatre entités. En cas d’approbation, le profil du futur Vivendi sera totalement bouleversé.
Le spécialiste de la mécanique de précision compte lever 8 millions d’euros sur Euronext Growth, dont 7 millions bénéficient déjà d’engagements de souscription. La société se valorise 21 millions.
Entre deux cessions de filiales déficitaires, le groupe de livraison de repas s’attaque au symbole de sa double cotation. Au nom de la chasse aux coûts, il s’apprête à renoncer à Londres. Une pierre de plus dans le jardin de la City.