Nos articles d’actualité et d’analyse sur le financement des entreprises par dette obligataire (marché primaire, DCM, obligations hybrides) ou bancaire.
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En première ligne face au vieillissement de la population, les compagnies d’assurance devront revoir leurs modèles actuariels pour tenir compte de ces évolutions démographiques. Les porteurs de risques sont attendus au tournant au niveau de la couverture de la perte d'autonomie et de la dépendance.
L’allongement de l’espérance de vie ainsi que les besoins de financement des travaux d’aménagement des domiciles, poussent les banques à revoir leur stratégie, traditionnellement prudente, sur les seniors.
A partir de 2030, la génération de «baby-boomers» passera la barre des 85 ans. Des fondamentaux démographiques qui soutiennent Ehpad et résidences seniors, une classe d’actifs qui a su aussi résister à la crise immobilière.
A l'aube d'un grand transfert de richesse, le changement démographique et l'évolution des mœurs rebattent les cartes de la transmission de patrimoine des grandes familles françaises.
L’horizon s’éclaircit pour Emeis (ex-Orpea) et Clariane (ex-Korian) à l’aune de leurs programmes de cessions d’actifs, favorisant leur désendettement, et du renforcement du taux d’occupation de leurs maisons de retraite.
Le cantonnement à un an de la taxation sur les hauts revenus semble ouvrir la voie à un changement de paradigme au niveau de la politique fiscale de l'Etat sur les plus grandes fortunes.
L’augmentation de la TTF prévue par la loi de finances devrait pénaliser les grandes entreprises françaises cotées en Bourse et les intermédiaires financiers. Son impact devrait néanmoins rester limité.
Elle ne devrait rapporter que 400 millions d’euros sur la période mars 2024 – février 2025. Le premier contributeur TotalEnergies anticipe un coût pour le groupe de 100 à 150 millions d’euros cette année.
Mais une coalition risque encore une fois d’être difficile à constituer, avec un accord probablement long à trouver. L'ampleur des compromis post-électoraux à établir compliquera la tâche du prochain chancelier pour sortir le pays de son immobilisme.
Après avoir battu l’ensemble des indices européens en 2024, l’indice Dax poursuit sa quête des sommets et surperformance cette année le S&P 500. Il est dopé par la performance de sept valeurs, dont SAP.
Pour retrouver de la croissance, la prochaine coalition va devoir repenser le modèle économique allemand, et surtout donner de la visibilité aux dirigeants d’entreprises. Au risque de prolonger la morosité ambiante.
Presque la moitié des Allemands sont favorables à l’idée d’autoriser une dette plus élevée pour des investissements ciblés dans les domaines de la défense, l’éducation, la santé et l’énergie. Mais les marges de manœuvre politiques ne sont pas forcément très larges.
Les grandes réglementations tech européennes, le DMA, le DSA, et l’IA Act, parfois d’avant-garde, qui viennent d’entrer en vigueur, pourraient être fragilisées par le duo formé par Donald Trump et Elon Musk. Ils ont derrière eux des dirigeants de groupes technologiques qui leur ont fait allégeance, pour défendre leurs intérêts dans cette Europe où ils sont sous le coup d’amendes ou d’enquêtes par Bruxelles. Mais ils ne peuvent se passer de ce vaste marché.
Même s'ils sont sous le coup d'enquêtes de la part des autorités antitrust européennes, Meta, Amazon, Alphabet et Apple restent dépendants du marché européen, qui peut représenter jusqu'à un quart de leurs revenus.
Faire émerger des géants de la tech en Europe semble toujours mission impossible, alors que les start-up peinent à y réaliser de grosses levées de fonds. Même si l’IA soulève de nouveaux espoirs, avec tickets significatifs. Mais leurs pépites, telle Mistral AI, menacent de partir outre-Atlantique pour avoir les moyens de croître.
Alors que les intérêts du constructeur sont significatifs outre-Rhin, les déclarations politiques de son directeur général ont remis en question l’attrait de la marque.
Le pays devra aussi trouver une solution au financement de la dépendance, alors que le nombre de centenaires pourrait être multiplié par cent d’ici à 2100.
Aucun des deux pays n’aurait d’intérêt économique à la fragmentation du commerce international. Et Pékin se montre disposé à écouter les requêtes d’un Donald Trump pressé.