Nos articles d’actualité et d’analyse sur le financement des entreprises par dette obligataire (marché primaire, DCM, obligations hybrides) ou bancaire.
Pour mieux comprendre les mouvements sur l’inflation et la croissance, les économistes s’apprêtent à regarder d’autres signaux que les indicateurs habituels. La cause ? Le chamboule-tout amorcé par l’administration Trump.
Chaque mois, les observateurs attendent d’abord l’indice CPI, alors que la Fed regarde plutôt l’indice PCE «core» sans l’énergie ni l’alimentation, publié avec trois semaines de retard.
Le sujet est au coeur des discussions macroéconomiques depuis au moins trois ans. Certains observateurs espèrent voir une partie de l’épargne réallouée vers la consommation en Europe.
Le rapport du département américain du Travail est particulièrement suivi par les investisseurs alors que son équivalent en Europe est à peine regardé. Plusieurs éléments objectifs justifient une telle différence de traitement.
L’organisation a revu en baisse ses prévisions économiques pour 2025 et 2026. Une guerre commerciale généralisée pourrait coûter 1.600 dollars par an à chaque ménage américain.
L’incertitude à propos des effets sur l’inflation et la croissance des politiques de l’administration Trump est trop forte. La banque centrale présidée par Jerome Powell n’a pas vraiment de raison de baisser ses taux. Elle devrait en revanche annoncer un ralentissement prochain dans la réduction de son bilan.
Pernod Ricard, Rémy Cointreau et LVMH ont été pénalisés en Bourse jeudi après que le président américain a menacé de taxer à 200% les importations de vin, de champagne et d'autres boissons alcoolisées en provenance de l'Union européenne.
L’économiste responsable des pays émergents et de la géopolitique à la direction des études économiques de Crédit Agricole SA nous donne ses clés pour essayer de comprendre la situation géopolitique mondiale.
Depuis plusieurs jours, le risque d’un «shutdown», entraînant la fermeture de toutes les administrations non critiques, a refait son apparition outre-Atlantique. Dans le même temps, Donald Trump veut utiliser un processus budgétaire pour faire passer ses décisions à long terme lui permettant d’éviter un blocage au Sénat. Ces deux pans sont indépendants mais se télescopent à un moment où l’économie américaine n’en a pas besoin.
La hausse des prix aux Etats-Unis s'est modérée plus qu'attendu en février sous l’effet notamment d’une baisse des tarifs de l’essence et des billets d’avions.
Ces contre-mesures entreront en vigueur en avril et s'appliqueront à des produits allant des bateaux au bourbon en passant par les motos. D'autres catégories de biens devraient en outre être ajoutées après une période de consultation.
Les chiffres du rapport mensuel sur le marché du travail ressortent plutôt bons au premier regard. Le détail confirme cependant une dynamique assez faible : l’économie américaine ne s’effondre pas mais ralentit clairement.
Les Etats-Unis ont créé 151.000 emplois en février, un chiffre légèrement en dessous des attentes. Le taux de chômage dans le pays, issu d'une enquête séparée auprès des ménages et des entreprises, est remonté à 4,1%.
Le directeur des investissements du plus grand fonds de pension du Canada pense que son pays doit devenir plus compétitif dans un contexte mondial de montée des droits de douane.
Le pessimisme des investisseurs américains sur l’économie française est amplifié par l’instabilité politique inédite du pays, montre le baromètre annuel AmCham-Bain.