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En congédiant son ministre des Finances opposé à l’idée d’assouplir la règle budgétaire, le chancelier Olaf Scholz a défait la coalition créée en 2021. Il entraîne le pays dans une nouvelle phase d’incertitude, au moins jusqu’aux prochaines élections.
La banque centrale devrait baisser ses taux d'un quart de point ce jeudi 7 novembre, deux jours après le vote crucial des Américains. Elle reste un îlot de stabilité et d'indépendance outre-Atlantique.
L’élection du 5 novembre aura des répercussions majeures sur le monde. Une victoire de Kamala Harris avec un Congrès divisé devrait mener à une continuité de la politique économique actuelle des Etats-Unis. Celle de Donald Trump pourrait entraîner d’importantes variations.
Le gouvernement britannique a annoncé 40 milliards de livres de hausses d’impôts pour 2025-2026, mais aussi près de 300 milliards d’émissions totales de dette pour l'exercice fiscal en cours, afin de financer l'investissement public. Les marchés ont ajusté à la hausse leurs prévisions de taux.
La hausse du PIB aux Etats-Unis est inférieure aux attentes des économistes malgré une nette accélération des dépenses de consommation. L'immobilier reste en berne.
L’investisseur milliardaire John Paulson a annoncé qu’il travaillerait avec le PDG de Tesla, Elon Musk, pour mettre en œuvre des réductions massives des dépenses fédérales s’il devenait secrétaire au Trésor dans une deuxième administration Trump, dévoile le Wall Street Journal.
Le gouvernement travailliste de Keir Starmer présente ce 30 octobre son premier budget. Il entend relancer la croissance par l’investissement, mais doit composer avec de faibles marges de manœuvre. Sa chancelière Rachel Reeves veut changer la règle budgétaire.
Le gouverneur portugais Mario Centeno a essayé de secouer les autres gouverneurs de la banque centrale jeudi, plaidant pour une baisse de 50 pb en décembre face au risque pour la zone euro d’être en retard sur la croissance.
Les indices PMI «flash» confirment une poursuite globale de la contraction, dans la continuité de la baisse constatée depuis juin si on ne compte pas le mois d’août dopé par le tourisme et les JO en France.
L'indice PMI composite a reculé à 47,3 en octobre, enregistrant sa plus forte baisse sur un mois depuis janvier dernier alors que les économistes anticipaient un léger redressement.
Alors que la BoC était déjà en avance sur les autres banques centrales, sa quatrième réduction consécutive de taux porte sur 50 points de base (pb), au lieu des 25 pb escomptés, du fait des préoccupations naissantes sur le chômage.
L’institution considère que l’assouplissement monétaire pourrait alimenter les bulles de prix. Mais elle a surtout identifié d'autres risques que les marchés sous-estiment, comme les titrisations synthétiques des banques vers les fonds.
Le Fonds monétaire international anticipe toujours une croissance mondiale de 3,2% en 2024, dont 2,8% attendus aux Etats-Unis et 0,8% dans la zone euro.
Le Conseil des gouverneurs a baissé ses taux de 25 points de base, comme attendu. Sans donner de pistes pour la suite, mais avec un discours plus ouvert qu’en septembre.
Daron Acemoglu, Simon Johnson et James A. Robinson obtiennent la récompense suprême pour leurs recherches sur les différences de prospérité entre les nations.
Malgré l’émission annoncée de 300 milliards d’euros d’obligations spéciales, les investisseurs devront encore attendre pour obtenir davantage de précisions en matière budgétaire.