L’activité des acteurs présents dans le créneau de la protection, de la prévoyance et l’actualité des spécialistes du courtage et de l’assurance emprunteur.
La protection sociale en entreprise est en chantier. Dans l’attente des décrets sur l’ANI et les contrats solidaires et responsables le CTIP sonde les employeurs et les salariés sur la façon dont ils appréhendent les contrats collectifs. Jean-Louis Faure, le délégué général du CTIP est revenu à l’occasion de ce baromètre sur les récents événements de ces derniers mois
Après une rencontre avec la Direction de la Sécurité Sociale, la Chambre Syndicale des Courtiers d’Assurances (CSCA), renouvelle sa très vive inquiétude sur les modalités envisagées par le gouvernement pour réformer les complémentaires santé, en interdisant aux contrats «responsables» de rembourser les soins de santé des salariés au-delà de plafonds restrictifs. La CSCA a alerté sur les conséquences de cette nouvelle atteinte à la liberté de contractualiser, à savoir une augmentation du reste à charge, qui va grever d’autant le pouvoir d’achat des salariés et qui impliquera le développement d’une médecine à deux vitesses.
Gan fait le point sur l’ANI et ses suites en se montrant offensif sur les renégociations des conventions collectives qui vont être remises sur le marché. Comme bon nombre d’acteurs, la compagnie plaide pour un moratoire de mise en place des contrats responsables,
La société de courtage grossiste travaille actuellement à une révision tarifaire de son offre en assurance emprunteur pour être plus compétitive sur la cible des risques aggravés. Une nouvelle offre Madelin en santé / prévoyance est également en préparation.
A partir du 1er janvier 2016, toutes les entreprises devront proposer une couverture santé collective pour leurs salariés. Le site Mutuelle.fr indique dans un communiqué qu’elle met à la disposition des employeurs deux simulateurs pour aider les entreprises (surtout les TPE/PME) et les salariés à comprendre les règles en la matière.
Compte tenu du vieillissement démographique soutenu, d’une croissance économique moins vive, de perspectives d’emploi incertaines, d’une résurgence des inégalités, d’une demande accrue de bien-être, d’un endettement public sans précédent... comment pourraient évoluer le « système » de protection sociale français et, plus prosaïquement, les mécanismes d’assurance et de redistribution sociales ? Quels seront demain les acteurs porteurs de nouvelles solidarités ? Quelles formes prendront ces missions d’assistance, d’assurance, de redistribution si essentielles au « vivre ensemble » ?
Romain Thiesset devient associé de Capstan Avocats. Romain Thiesset a débuté sa carrière au cabinet il y a 10 ans et a prêté serment en 2007 après 3 années de collaboration en qualité de juriste.
Bruno Chrétien, président de l’Institut de la protection sociale (IPS) revient sur les travaux du Haut Conseil pour le Financement de la Protection Sociale sur la baisse des cotisations patronales. Il met en avant les effets pervers d’une réduction ciblée sur les revenus les plus faibles, solution actuellement privilégiée par les pouvoirs publics
La société de courtage Arca Patrimoine, présente sur le marché de l’assurance vie et de l’épargne retraite, annonce le lancement de produits en santé & prévoyance (Indemnités Journalières – Assurance Obsèques): Provia Santé, Swiss Life Prévoyance Indépendants et Certitude Autonomie et Obsèques.
Le groupe BNP Paribas Cardif a réalisé un chiffre d’affaires de plus de 25 milliards en 2013 en hausse de 4 % grâce à sa présence à l’international. En France, il se prépare à répondre aux besoins du marché en santé collective et à l’eurocroissance, domaine dont il maîtrise déjà la technique avec son expérience en matière de contrats diversifiés
Le 3ième baromètre Deloitte / Harris Interactive donne des pistes de réflexion pour les acteurs de l’épargne retraite. Hugues Magron, directeur conseil secteurs Assurance et Protection sociale de Deloitte précise pour l’Agefi Actifs les attentes de la clientèle aisée
En 2013, la MACSF avec l’institut Enov Research, a réalisé une étude sociétale sur les professionnels de la santé (échantillon représentatif de 1503 personnes).Il en ressort notamment que les professionnels de la santé estiment que la retraite est une étape à préparer longtemps à l’avance pour 40 % d’entre eux. Pour 22 %, cela ne signifie pas grand-chose. Pour 20 % d’entre eux, c’est une source d’inquiétude et d’incertitudes. Ils sont 15 % de l’échantillon à penser que c’est un synonyme de liberté pour eux et pour leurs proches.
Be_Act intervient sur les aspects techniques de la protection sociale, à savoir l’audit des régimes, la construction de cahiers des charges technique, la validation du calcul des provisions mathématiques, l’établissement des reporting annuels IFRS ou l’analyse des rapports financiers des contrats.
Malgré une forte baisse des affaires nouvelles, les primes ont augmenté sur les contrats dédiés aux non-salariés pour atteindre près de 3 milliards d’euros contre seulement 2 milliards en 2008
Cet ouvrage permet d’estimer le niveau de protection sociale d’une personne physique et d’anticiper les conséquences d’une cessation d’activité, quelle que soit sa catégorie socioprofessionnelle : protection obligatoire, montants des cotisations sociales et prestations maladie-maternité, invalidité, décès, dépendance, chômage, garanties complémentaires facultatives, droits des ayants droit…, sans oublier la nouvelle réforme des retraites. Il expose de manière explicite des dispositifs tels que les régimes social et fiscal de la prévoyance, le cumul emploi-retraite, le calcul de la pension de réversion du conjoint, etc.
Les organismes sociaux ont réuni dans deux guides les principales informations sur la protection sociale des artisans, commerçants et des professions libérales. Ces guides présentent les mesures en faveur de la création et de la reprise d’entreprise et donnent un premier éclairage sur les démarches à effectuer, les cotisations sociales à prévoir lors des premières années d’activité.
A ce titre Pierre Marchon, sous la responsabilité de Max de Font Réaulx, Président, et Xavier de Font Réaulx, Directeur Général, prend en charge le pilotage des différents projets, ainsi que l’évolution de l’organisation pour accompagner le développement de Théorème. Il a par ailleurs la responsabilité du pôle « Risques d’Entreprise » ainsi que du secrétariat général. Après une maitrise de Sciences Economiques complétée d’un DESCF, Pierre Marchon a commencé sa carrière professionnelle en tant qu’auditeur (Mazars), puis analyste financier (CRITT CCS). Il rejoint, au début des années 90, le Groupe Gras Savoye où Il occupera différentes fonctions. Il devient en 1995 responsable « filiales et participations », en charge du suivi comptable et financier des filiales ainsi que de l’établissement des comptes consolidés du Groupe. Puis en 1999, il est nommé Directeur du Contrôle de Gestion Groupe et membre du Comité de Direction. En 2008, Pierre Marchon prend la direction de Sageris (filiale conseil du Groupe Gras Savoye) en qualité de Directeur Général Délégué, et contribue à la création de Gras Savoye Risk Consulting, dont il en assumera la responsabilité. Il quitte le groupe pour rejoindre le cabinet de courtage Théorème en octobre 2013.
A la suite du Conseil d’administration d’Adéis, groupement paritaire entièrement dédié à la protection sociale des branches professionnelles, réuni le 5 mars 2014, et conformément au principe de l’alternance de la présidence paritaire, Monsieur Denis Banizette (Collège Adhérent – Medef) est nommé président d’Adéis et Monsieur Michel Dieu (collège participants – FO) Vice-Président. à la protection sociale des branches professionnelles, Adéis eststructurée autour d’une mise en commun de ressources d’Apicil Prévoyance, de la Ciprev, du GNP, d’Humanis Prévoyance et de l’Ipsec, Adéis propose une offre complète en matière de prévoyance, de santé, d’épargne retraite et salariale ou de dépendance. Il compte 64 accords professionnels suivis, pour 975.000 salariés couverts et 290 millions de cotisations.
Aujourd’hui, les Français expatriés ne sont que 10 % à posséder une protection sociale complète réunissant à la fois la santé, la prévoyance, la retraite et l’assistance-rapatriement.
A compter du 1er janvier 2013, l’article 11 de la loi de financement de la sécurité sociale pour 2013 étend l'assiette des cotisations et contributions sociales des travailleurs indépendants à une partie des revenus distribués
Yan Le Men, Damien Vieillard-Baron et Bruno Parenteau, président et membres de la Commission des assurances collectives de la Chambre syndicale des courtiers d’assurances font par de leurs craintes vis-à-vis de la régulation qui se profile pour les contrats santé solidaires et responsables. Ces futures contraintes qui s’ajoutent à celles en cours en matière de protection sociale freinent inutilement selon eux la capacité des entreprises à investir et à se développer.
Dans sa version soumise à la consultation des partenaires sociaux, le projet de décret prévoit notamment que «pour les salariés qui travaillent régulièrement et simultanément pour le compte de deux ou plusieurs employeurs, le caractère collectif des garanties n’est pas remis en cause lorsque, pour une garantie donnée, la contribution due par l’employeur fait l’objet d’un partage par quote-parts entre chacun d’entre eux selon les conditions qu’ils déterminent.»
Le Centre technique des institutions de prévoyance (CTIP) et la Chambre syndicale des courtiers d’assurances (CSCA) s’inquiètent des orientations actuellement envisagées pour le futur cahier des charges du contrat responsable.
L’article 1er de la loi n°2013-504 du 14 juin 2013 relative à la sécurisation de l’emploi prévoit le panier de garanties minimum qui s’applique dans le cadre de la généralisation de la complémentaire santé.
L’union d’institutions de prévoyance OCIRP organisait la 6ème édition du débat sur la dépendance et la perte d’autonomie le 4 mars dernier. A cette occasion, l’OCIRP a publié son baromètre dépendance 2013. L’enquête a été réalisée auprès de 1007 particuliers âgés de 40 à 65 ans, 150 directeurs des ressources humaines, 150 délégués syndicaux et 300 salariés.
Le directeur général adjoint de l'Ocirp, Jean-Manuel Kupiec, estime qu'il est nécessaire de revenir posément sur les nouvelles règles relatives aux garanties collectives à la suite de la refonte de l'article L.912-1 du Code de la Sécurité sociale. Il explique aussi comment l'Ocirp se positionne au sein de la Silver Economie.
La notice d’information complète n’a pas été remise au salarié et son préjudice de perte de chance de se constituer un complément de retraite est reconnu.