« Nous ciblons les CSP + fortement exposées à la chute des taux de remplacement »

FrançoisRobinet, directeur général d’AXA Life Invest déclare que, pour les produits à revenus garantis « les crises financières nous ont permis d’apprendre tant dans le domaine de la gestion financière des risques que dans celui des cibles commerciales. Nos efforts sont à présent concentrés sur les populations les plus exposées à la chute de leur taux de remplacement à savoir les CSP +. Nous nous sommes aussi recentrés sur les marchés où les besoins en termes de retraite individuelle sont importants comme dans les pays anglo-saxons ou encore au Japon. Malgré la part importante laissée à la répartition, nous avons choisi de rester en France car nous anticipons un repli progressif des revenusservis par les régimes de base et complémentaires, le tout dans un environnement de taux bas qui va rendre les fonds en euros de moins en moins attractifs. A ce titre, notre expérience sur le marché nippon se révèlera utile ».
Lire Axa garde le cap sur le revenu garanti avec son contrat individuel Secure Advantage ® Revenus Garantis - réservé aux abonnés
Lire aussi variable annuities « Les garanties et les chargements ont été ajustés sur les nouveaux contrats » par Corinne Jehl, actuaire et Practice Leader Epargne/Retraite chez Optimind Winter – accès libre
Plus d'articles du même thème
ETF à la Une
Contenu de nos partenaires
-
Pénuries
En combat air-air, l'aviation de chasse française tiendrait trois jours
Un rapport, rédigé par des aviateurs, pointe les « vulnérabilités significatives » de la France en matière de « supériorité aérienne », décrivant les impasses technologiques, le manque de munitions et les incertitudes sur les programmes d'avenir -
Escalade
L'armée algérienne passe à la dissuasion militaire contre la junte malienne
La relation entre Alger et Bamako ne cesse de se détériorer ces derniers mois alors qu'ex-rebelles et armée malienne s'affrontent à la frontière algérienne -
En panne
Pourquoi les Français n’ont plus envie d’investir dans l’immobilier
L’immobilier était le placement roi, celui que l’on faisait pour préparer sa retraite, celui qui permettait aux classes moyennes de se constituer un patrimoine. Il est tombé de son piédestal. La faute à la conjoncture, à la hausse des taux, à la chute des transactions et à la baisse des prix, mais aussi par choix politique : le placement immobilier a été cloué au pilori par Emmanuel Macron via une fiscalité pesante et une avalanche de normes et d’interdictions