Le point sur le respect du Code Afep-Medef relatif aux « retraites chapeaux »
Le Haut Comité de Gouvernement d’Entreprise (HCGE) a été constitué il y a un an à la suite de la révision du code AFEP-MEDEFqui correspond à un ensemble de recommandations élaboré par l’Association Française des Entreprises Privées (Afep) et du Mouvement des Entreprises de France (Medef) après concertation avec les différents acteurs de la place.
Aujourd’hui ce code qui régit le gouvernement d’entreprise dans tous ses aspects (conseil : composition, fonctionnement, rôle, stratégie, administrateurs indépendants, évaluation, information, comités, déontologie, rémunération des dirigeants mandataires sociaux, mise en œuvre des recommandations avec de surcroît l’installation d’un Haut Comité pour superviser l’ensemble…) est l’un des plus exigeants au monde avec le UK Corporate Governance Code, avance le HCGE.
Pour l’exercice 2013, 47,7 % des sociétés du SBF 120 et 77,8 % des sociétés du CAC 40 indiquent qu’elles prévoient un engagement de retraite supplémentaire à prestations définies en faveur d’au moins l’un de leurs premiers dirigeants mandataires sociaux. Parmi les 28 sociétés du CAC 40 prévoyant une retraite supplémentaire, 3 sociétés ont fermé le régime met en avance le rapport.
Plus d'articles du même thème
ETF à la Une
Contenu de nos partenaires
-
Pénuries
En combat air-air, l'aviation de chasse française tiendrait trois jours
Un rapport, rédigé par des aviateurs, pointe les « vulnérabilités significatives » de la France en matière de « supériorité aérienne », décrivant les impasses technologiques, le manque de munitions et les incertitudes sur les programmes d'avenir -
Escalade
L'armée algérienne passe à la dissuasion militaire contre la junte malienne
La relation entre Alger et Bamako ne cesse de se détériorer ces derniers mois alors qu'ex-rebelles et armée malienne s'affrontent à la frontière algérienne -
En panne
Pourquoi les Français n’ont plus envie d’investir dans l’immobilier
L’immobilier était le placement roi, celui que l’on faisait pour préparer sa retraite, celui qui permettait aux classes moyennes de se constituer un patrimoine. Il est tombé de son piédestal. La faute à la conjoncture, à la hausse des taux, à la chute des transactions et à la baisse des prix, mais aussi par choix politique : le placement immobilier a été cloué au pilori par Emmanuel Macron via une fiscalité pesante et une avalanche de normes et d’interdictions