Le Perp franchit le seuil des 10 milliards d’encours en 2013 avec le Crédit Agricole en tête des ventes
Le Perp franchit le seuil des 10 milliards d’euros d’encours en 2013 avec le Crédit Agricole en tête des ventes
81 000 nouveaux plans d’épargne retraite populaire (Perp) ont été souscrits auprès des sociétés d’assurances en 2013, soit une hausse de 11 % par rapport à 2012 qui avait elle-même enregistré une hausse de 22 % par rapport à 2011.
A fin 2013, le nombre de Perp en phase de constitution s’élève à 2,2 millions.
Sur l’exercice, le montant des cotisations versées est égal à 1,5 milliard d’euros, en hausse de 19 % par rapport à celui de 2012 (+ 13 % en 2012 par rapport à 2011).
Les provisions mathématiques des Perp en phase de constitution dépassent les 10 milliards d’euros à fin 2013, en progression de 18 % par rapport à 2012 (+ 17 % en 2012 par rapport à 2011).
Par rapport aux cotisations Prédica est en tête avec 24,1 % de part de marché, devant Axa 16,3 % et CNP Assurances 8,2 %.
Source FFSA-Gema, résultats provisoires
Plus d'articles du même thème
ETF à la Une
Contenu de nos partenaires
-
Pénuries
En combat air-air, l'aviation de chasse française tiendrait trois jours
Un rapport, rédigé par des aviateurs, pointe les « vulnérabilités significatives » de la France en matière de « supériorité aérienne », décrivant les impasses technologiques, le manque de munitions et les incertitudes sur les programmes d'avenir -
Escalade
L'armée algérienne passe à la dissuasion militaire contre la junte malienne
La relation entre Alger et Bamako ne cesse de se détériorer ces derniers mois alors qu'ex-rebelles et armée malienne s'affrontent à la frontière algérienne -
En panne
Pourquoi les Français n’ont plus envie d’investir dans l’immobilier
L’immobilier était le placement roi, celui que l’on faisait pour préparer sa retraite, celui qui permettait aux classes moyennes de se constituer un patrimoine. Il est tombé de son piédestal. La faute à la conjoncture, à la hausse des taux, à la chute des transactions et à la baisse des prix, mais aussi par choix politique : le placement immobilier a été cloué au pilori par Emmanuel Macron via une fiscalité pesante et une avalanche de normes et d’interdictions