Edmond de Rothschild nomme Mathilde Lemoine au poste de chef économiste du groupe
Mathilde Lemoine va rejoindre le groupe Edmond de Rothschild le 7 janvier 2016 en tant que Group Chief Economist. Elle reportera directement à Ariane de Rothschild, Présidente du Comité Exécutif du Groupe.
Après avoir été enseignant-chercheur, Mathilde Lemoine a été membre de plusieurs cabinets ministériels en France et en particulier Conseiller pour la Macro-économie et la Fiscalité auprès du Premier ministre. De 2006 à 2015, elle a exercé les fonctions de Directeur des Etudes Economiques et de la Stratégie Marchés d’HSBC France.
Docteur ès Sciences Economiques, Mathilde Lemoine, 46 ans est Macro-économiste et a publié de nombreux travaux sur les questions internationales, monétaires, d’emploi et de croissance.
Mathilde Lemoine est également administratrice de Carrefour et de l’Ecole Normale Supérieure. Depuis 2013, elle est membre du Haut Conseil des Finances Publiques. Depuis 1997, elle enseigne la Macro-économie à Sciences Po Paris. Par ailleurs, elle est membre du Conseil scientifique de la Cité de l’Economie et de la Monnaie créé afin de contribuer à l’amélioration des connaissances économiques du grand public, notamment des jeunes.
Plus d'articles du même thème
ETF à la Une
Contenu de nos partenaires
-
Pénuries
En combat air-air, l'aviation de chasse française tiendrait trois jours
Un rapport, rédigé par des aviateurs, pointe les « vulnérabilités significatives » de la France en matière de « supériorité aérienne », décrivant les impasses technologiques, le manque de munitions et les incertitudes sur les programmes d'avenir -
Escalade
L'armée algérienne passe à la dissuasion militaire contre la junte malienne
La relation entre Alger et Bamako ne cesse de se détériorer ces derniers mois alors qu'ex-rebelles et armée malienne s'affrontent à la frontière algérienne -
En panne
Pourquoi les Français n’ont plus envie d’investir dans l’immobilier
L’immobilier était le placement roi, celui que l’on faisait pour préparer sa retraite, celui qui permettait aux classes moyennes de se constituer un patrimoine. Il est tombé de son piédestal. La faute à la conjoncture, à la hausse des taux, à la chute des transactions et à la baisse des prix, mais aussi par choix politique : le placement immobilier a été cloué au pilori par Emmanuel Macron via une fiscalité pesante et une avalanche de normes et d’interdictions