BPCE cède 12,2 % du capital de de Nexity
Le CE Holding Promotion (groupe BPCE) a cédé 5,5 millions d’actions représentant 10,2% du capital de Nexity, sur la base d’un prix de cession par action Nexity de 35,5€, coupon 2014 détaché, à deux grands investisseurs institutionnels français – Crédit Agricole Assurances (via sa filiale Predica) et Crédit Mutuel Arkéa - ainsi que 290.000 actions représentant 0,54% du capital de la société à New Port SAS, société présidée par Alain Dinin, PDG de Nexity et contrôlée par des cadres de Nexity, aux côtés de Crédit Mutuel Arkéa. La réalisation de cette opération aura lieu le 27 mai 2015.
Par ailleurs, New Port s’est engagée, sous condition de financement, à acquérir auprès de BPCE jusqu’à 802.000 actions supplémentaires représentant au maximum 1,48% du capital de Nexity, au même prix par action. Cette acquisition complémentaire devra intervenir au plus tard le 8 juillet 2015.
Après réalisation de ces opérations, New Port aura franchi à titre individuel le seuil de 5% du capital de Nexity et le concert existant entre New Port, Crédit Mutuel Arkéa et environ 188 dirigeants et collaborateurs de Nexity détiendrait environ 17,43 % du capital.
Source: communiqué de presse
Plus d'articles du même thème
ETF à la Une
Contenu de nos partenaires
-
Pénuries
En combat air-air, l'aviation de chasse française tiendrait trois jours
Un rapport, rédigé par des aviateurs, pointe les « vulnérabilités significatives » de la France en matière de « supériorité aérienne », décrivant les impasses technologiques, le manque de munitions et les incertitudes sur les programmes d'avenir -
Escalade
L'armée algérienne passe à la dissuasion militaire contre la junte malienne
La relation entre Alger et Bamako ne cesse de se détériorer ces derniers mois alors qu'ex-rebelles et armée malienne s'affrontent à la frontière algérienne -
En panne
Pourquoi les Français n’ont plus envie d’investir dans l’immobilier
L’immobilier était le placement roi, celui que l’on faisait pour préparer sa retraite, celui qui permettait aux classes moyennes de se constituer un patrimoine. Il est tombé de son piédestal. La faute à la conjoncture, à la hausse des taux, à la chute des transactions et à la baisse des prix, mais aussi par choix politique : le placement immobilier a été cloué au pilori par Emmanuel Macron via une fiscalité pesante et une avalanche de normes et d’interdictions