La fiducie, un outil de garantie idéal
Valtus est un cabinet de management de transition leader en France. Il accompagne les entreprises à franchir le cap dans des périodes de transformation ou d'évolution. Il a réuni ce matin certains de ses managers afin de leur parler de l’outil que constitue la fiducie. Celui-ci offre en effet des opportunités dans leurs activités en M&A, restructuration, financement, immobilier, droit social ou droit boursier. C’est Stéphan Catoire, président d’Equitis (1) et de l’Association des Fiduciaires de France (AFF), qui présentait l’outil et notamment l’une de ses formes, la fiducie-sûreté, qui est considérée comme étant la reine des sûretés puisqu’elle passe avant les créanciers privilégiés (créances sociales et fiscales) lors d’une procédure de redressement judiciaire. Les banques en sont également friandes car ces fiducies sont la garantie du bon remboursement de la dette du débiteur, le fiduciaire s’y engageant. Par ailleurs, Stephen Catoire a indiqué que parmi les dossiers en réflexion à l’AFF, il y avait celui des titres de plan d’épargne en actions qui sont apportés en fiducie. Aujourd’hui, cette opération fait perdre le bénéfice fiscal du PEA.
(1) Pour mémoire, la société de gestion Equitis est à l’origine d’une part importante des opérations de fiducie en tant que fiduciaire, avec environ 200 fiducies signées. Lire l’article ICI.
Plus d'articles du même thème
ETF à la Une
Contenu de nos partenaires
-
Pénuries
En combat air-air, l'aviation de chasse française tiendrait trois jours
Un rapport, rédigé par des aviateurs, pointe les « vulnérabilités significatives » de la France en matière de « supériorité aérienne », décrivant les impasses technologiques, le manque de munitions et les incertitudes sur les programmes d'avenir -
Escalade
L'armée algérienne passe à la dissuasion militaire contre la junte malienne
La relation entre Alger et Bamako ne cesse de se détériorer ces derniers mois alors qu'ex-rebelles et armée malienne s'affrontent à la frontière algérienne -
En panne
Pourquoi les Français n’ont plus envie d’investir dans l’immobilier
L’immobilier était le placement roi, celui que l’on faisait pour préparer sa retraite, celui qui permettait aux classes moyennes de se constituer un patrimoine. Il est tombé de son piédestal. La faute à la conjoncture, à la hausse des taux, à la chute des transactions et à la baisse des prix, mais aussi par choix politique : le placement immobilier a été cloué au pilori par Emmanuel Macron via une fiscalité pesante et une avalanche de normes et d’interdictions