Un parcours d’achat de la résidence principale plus fluide
Une autre manière de mesurer le dynamisme du marché immobilier: s’intéresser au nombre de personnes finalisant le parcours d’acquisition de leur résidence principale. Dit autrement, avoir une idée du nombre de personnes ayant acheté leur logement au bout d’un an de recherche. C’est le prisme utilisé par le Crédit Foncier dans la quatrième édition de sa dernière étude. En 2017, 71 % des personnes interrogées dans l’étude, ont finalisé l’achat de leur résidence principale alors qu’ils n’étaient que 53 % en 2014. «En moyenne, les acquéreurs attendent 4,4 mois (contre 7 mois en 2014) avant de signer un compromis. Lorsqu’ils ont conclu leur achat, les ménages ont visité en moyenne près de 6 biens. Dans les grandes agglomérations, la durée de recherche est plus courte (4,1 mois), mais le nombre de biens visités plus important (6,5 biens)», précise le Crédit Foncier.
Plus d'articles du même thème
ETF à la Une
Contenu de nos partenaires
-
Pénuries
En combat air-air, l'aviation de chasse française tiendrait trois jours
Un rapport, rédigé par des aviateurs, pointe les « vulnérabilités significatives » de la France en matière de « supériorité aérienne », décrivant les impasses technologiques, le manque de munitions et les incertitudes sur les programmes d'avenir -
Escalade
L'armée algérienne passe à la dissuasion militaire contre la junte malienne
La relation entre Alger et Bamako ne cesse de se détériorer ces derniers mois alors qu'ex-rebelles et armée malienne s'affrontent à la frontière algérienne -
En panne
Pourquoi les Français n’ont plus envie d’investir dans l’immobilier
L’immobilier était le placement roi, celui que l’on faisait pour préparer sa retraite, celui qui permettait aux classes moyennes de se constituer un patrimoine. Il est tombé de son piédestal. La faute à la conjoncture, à la hausse des taux, à la chute des transactions et à la baisse des prix, mais aussi par choix politique : le placement immobilier a été cloué au pilori par Emmanuel Macron via une fiscalité pesante et une avalanche de normes et d’interdictions