Les prix des logements anciens diminuent de 1 % sur un an
Selon l’indice Insee-Notaires du troisième trimestre 2014, les prix des logements anciens baissent de 0,4% par rapport au trimestre précédent (en données provisoires corrigées des variations saisonnières (CVS). Après -0,4 %, les prix des appartements anciens reculent de 0,9 % quand les prix des maisons se stabilisent.
Sur un an, la baisse représente - 1,0% au troisième trimestre, après –1,3% au deuxième trimestre. Ce recul est davantage marqué pour les appartements (–1,7%) que les maisons (–0,4%).
En Île-de-France, les prix des logements anciens sont stables au troisième trimestre 2014. La baisse sur un an représente 1,2%, (pour les appartements:–1,6% et pour les maisons:–0,5%).
En province, la tendance est toujours à la baisse. Sur un an, les prix diminue de –0,8% (après –1,0% au deuxième trimestre) allant de -1,7 % pour les appartements à – 0,3 % pour les maisons.
Après avoir augmenté puis reculé en septembre, le nombre de transactions réalisées au cours des douze derniers mois est désormais estimé à 725000, contre 735000 le trimestre précédent. Pour autant, ces données dépassent celles enregistrées sur un an, en septembre 2013 (688000, soit +5,4%).
Plus d'articles du même thème
ETF à la Une
Contenu de nos partenaires
-
Pénuries
En combat air-air, l'aviation de chasse française tiendrait trois jours
Un rapport, rédigé par des aviateurs, pointe les « vulnérabilités significatives » de la France en matière de « supériorité aérienne », décrivant les impasses technologiques, le manque de munitions et les incertitudes sur les programmes d'avenir -
Escalade
L'armée algérienne passe à la dissuasion militaire contre la junte malienne
La relation entre Alger et Bamako ne cesse de se détériorer ces derniers mois alors qu'ex-rebelles et armée malienne s'affrontent à la frontière algérienne -
En panne
Pourquoi les Français n’ont plus envie d’investir dans l’immobilier
L’immobilier était le placement roi, celui que l’on faisait pour préparer sa retraite, celui qui permettait aux classes moyennes de se constituer un patrimoine. Il est tombé de son piédestal. La faute à la conjoncture, à la hausse des taux, à la chute des transactions et à la baisse des prix, mais aussi par choix politique : le placement immobilier a été cloué au pilori par Emmanuel Macron via une fiscalité pesante et une avalanche de normes et d’interdictions