La FNAIM déplore «la catastrophe» de l’encadrement des loyers
Près de deux mois après sa mise en place, la loi sur l’encadrement des loyers suscite plus que jamais des crispations. Dernière en date, la critique de Jean-François Buet. Le président de la FNAIM déplore une «catastrophe» à Parisdepuis le 1er août.
A lire aussi sur l’AgefiActifs.com :Etendue, détails, zones d’ombre... Ce qu’il faut savoir sur l’encadrement des loyers
«Aberration des écarts de prix entre quartiers similaires, entre le côté pair et impair d’une même rue, entre des studios et des deux-pièces de surface équivalente, etc. Conséquences, des propriétaires commencent déjà à se désengager...», écrit le président de la FNAIM dans un communiqué.
La FNAIM rappelle qu’elle a déposé deux recours contre l’encadrement des loyers. Le premier devant le Conseil d’Etat concerne le décret du 10 juin 2015 relatif aux modalités de mise en oeuvre du dispositif d’encadrement du niveau de certains loyers. Le second devant le tribunal administratif contre l’arrêté du Préfet de la région Ile-de-France du 25 juin 2015 fixant les loyers de référence dans la commune de Paris.
Plus d'articles du même thème
ETF à la Une
Contenu de nos partenaires
-
Pénuries
En combat air-air, l'aviation de chasse française tiendrait trois jours
Un rapport, rédigé par des aviateurs, pointe les « vulnérabilités significatives » de la France en matière de « supériorité aérienne », décrivant les impasses technologiques, le manque de munitions et les incertitudes sur les programmes d'avenir -
Escalade
L'armée algérienne passe à la dissuasion militaire contre la junte malienne
La relation entre Alger et Bamako ne cesse de se détériorer ces derniers mois alors qu'ex-rebelles et armée malienne s'affrontent à la frontière algérienne -
En panne
Pourquoi les Français n’ont plus envie d’investir dans l’immobilier
L’immobilier était le placement roi, celui que l’on faisait pour préparer sa retraite, celui qui permettait aux classes moyennes de se constituer un patrimoine. Il est tombé de son piédestal. La faute à la conjoncture, à la hausse des taux, à la chute des transactions et à la baisse des prix, mais aussi par choix politique : le placement immobilier a été cloué au pilori par Emmanuel Macron via une fiscalité pesante et une avalanche de normes et d’interdictions