Gestion d’actifs : Malakoff Médéric et La Banque Postale se rapprochent
Malakoff Médéric et La Banque Postale annoncent le projet de rapprochement de leurs filiales de gestion d’actifs : Fédéris Gestion d’Actifs et La Banque Postale Asset Management. Outre la volonté d’élargir leur gamme de produits, notamment en matière d’ISR, le projet a également pour objectif de permettre à La Banque Postale Asset Management de développer ses activités de gestion d’actifs auprès des mutuelles. Cette opération se traduirait par la prise de participation par Malakoff Médéric de 5 % du capital de La Banque Postale Asset Management. Avec Fédéris Gestion d’Actifs (13ème acteur français avec 26,1 milliards d’euros d’actifs sous gestion), dotée d’une forte expertise en fonds ISR, La Banque Postale Asset Management renforcerait sa place de 5ème acteur français, avec plus de 170 milliards d’euros d’actifs sous gestion, est-il précisé dans la communication des deux groupes. Cet ensemble serait le 4 ème acteur du marché des institutionnels. Les accords définitifs devraient être conclus à la fin du 1er trimestre 2015 pour une mise en œuvre avant la fin de l’année.
Plus d'articles du même thème
ETF à la Une
Contenu de nos partenaires
-
Pénuries
En combat air-air, l'aviation de chasse française tiendrait trois jours
Un rapport, rédigé par des aviateurs, pointe les « vulnérabilités significatives » de la France en matière de « supériorité aérienne », décrivant les impasses technologiques, le manque de munitions et les incertitudes sur les programmes d'avenir -
Escalade
L'armée algérienne passe à la dissuasion militaire contre la junte malienne
La relation entre Alger et Bamako ne cesse de se détériorer ces derniers mois alors qu'ex-rebelles et armée malienne s'affrontent à la frontière algérienne -
En panne
Pourquoi les Français n’ont plus envie d’investir dans l’immobilier
L’immobilier était le placement roi, celui que l’on faisait pour préparer sa retraite, celui qui permettait aux classes moyennes de se constituer un patrimoine. Il est tombé de son piédestal. La faute à la conjoncture, à la hausse des taux, à la chute des transactions et à la baisse des prix, mais aussi par choix politique : le placement immobilier a été cloué au pilori par Emmanuel Macron via une fiscalité pesante et une avalanche de normes et d’interdictions