Yomoni et Linxea lancent une offre en gestion pilotée 100 % ETF

En partenariat avec Linxea, la fintech Yomoniannonce proposer un mandat de gestion «100 % ETF» sur les contrats d’assurance vie Linxea Spirit et de capitalisation Linxea Spirit Capitalisation. «10 % des clients Linxea ont déjà choisi des ETF comme supports en unités de compte au sein de leurs contrats d’assurance vie ou de capitalisation. Ces outils, aujourd’hui, restent réservés à une clientèle d’investisseurs avisés», expliquent Linxea et Yomoni dans un communiqué. Les ETF, qui répliquent la performance d’indices, «permettent d’accéder instantanément à tous les marchés internationaux à travers la plupart des classes d’actifs. Encore faut-il savoir les choisir et les arbitrer». Avec la gestion pilotée Yomoni, l’épargnant délègue à l’assureur Spirica, sur les conseils de Yomoni, l’allocation et les arbitrages de son contrat d’assurance vie ou de capitalisation selon son profil investisseur. Yomoni ayant «un rôle de conseiller auprès de l’assureur et se charge d’optimiser l’allocation d’actifs parmi les 70 fonds proposés».
Accessible dès 1.000 euros, l’offre de gestion pilotée Yomoni est tarifée 1,6 % de frais en moyenne sur le contrat*. Plusieurs profils sont accessibles en fonction du profil investisseur et du projet d’investissement de l’adhérent : défensif, équilibré, tonique et offensif. Une fois le profil choisi par l’épargnant, l’assureur et Yomoni gèrent pour ce dernier son contrat et ses investissements, en le tenant régulièrement informé des décisions de gestion retenues via l’envoi de reportings.«Avec ce nouveau partenariat, Yomoni démontre une fois de plus son rôle moteur dans l’ouverture tant attendue de la gestion dite passive aux particuliers français », explique Sébastien d’Ornano, cofondateur et président de Yomoni.
*Dont 0,70 % de frais de gestion pilotée annuels prélevés sur les supports en UC du profil ; 0,50 % Frais de gestion du contrat sur les supports UC ; 0,30 % maximum Frais de gestion liés aux fonds indiciels et ETF et 0,10 % de frais d’investissement et de désinvestissement prélevés sur les supports ETF.
Plus d'articles du même thème
-
Les cours de Bourse des gestionnaires d'actifs ne sont pas épargnés par la bataille des tarifs douaniers
L'Agefi a calculé et compilé les variations de cours enregistrées par les gestionnaires d'actifs cotés en Bourse sur les séances du 3 et 4 avril 2025 après les annonces américaines sur les droits de douane. -
L’étrange disparition de la plateforme de crowdfunding Koregraf
Inter Invest ferme la société un an seulement après l'avoir achetée. Fin février, la présidence avait été confiée à Jérôme Bulté, un manager de transition lié à seize procédures collectives. -
Le Groupe Magellim accentue sa diversification
Il revoit sa structuration pour s’affranchir de son image d’acteur immobilier. Le groupe veut se renforcer sur les valeurs mobilières et notamment le private equity. Une acquisition devrait être annoncée dans les prochains mois.
ETF à la Une
Contenu de nos partenaires
-
Pénuries
En combat air-air, l'aviation de chasse française tiendrait trois jours
Un rapport, rédigé par des aviateurs, pointe les « vulnérabilités significatives » de la France en matière de « supériorité aérienne », décrivant les impasses technologiques, le manque de munitions et les incertitudes sur les programmes d'avenir -
Escalade
L'armée algérienne passe à la dissuasion militaire contre la junte malienne
La relation entre Alger et Bamako ne cesse de se détériorer ces derniers mois alors qu'ex-rebelles et armée malienne s'affrontent à la frontière algérienne -
En panne
Pourquoi les Français n’ont plus envie d’investir dans l’immobilier
L’immobilier était le placement roi, celui que l’on faisait pour préparer sa retraite, celui qui permettait aux classes moyennes de se constituer un patrimoine. Il est tombé de son piédestal. La faute à la conjoncture, à la hausse des taux, à la chute des transactions et à la baisse des prix, mais aussi par choix politique : le placement immobilier a été cloué au pilori par Emmanuel Macron via une fiscalité pesante et une avalanche de normes et d’interdictions