Cardif lance une nouvelle offre pour les CGPI et les courtiers

«Avec Cardif Élite, notre objectif est de nous positionner au meilleur niveau en épargne patrimoniale», déclare Hervé Cazade, directeur de la distribution et du développement commercial France de BNP Paribas Cardif.
Après la refonte de ses offres emprunteurs, Madelin retraite et diversifiée, BNP Paribas Cardif lance un nouveau contrat haut de gamme réservé à ses réseaux de conseils en gestion de patrimoine indépendants (CGPI) et de courtage – une quinzaine d’entre-eux ayant pris part à son élaboration - .
Trois options de gestion. Accessible à partir de 50.000 euros, Cardif Élite offre à l’assuré la possibilité de combiner simultanément plusieurs modes de gestion: la gestion libre, la gestion déléguée (dans laquelle le client va confier la gestion de tout ou partie de son capital à Cardif) et la gestion sous mandat (appelée aussi le double mandat) qui permet à l’assuré de confier tout ou partie de son capital à des sociétés de gestion financière sélectionnées préalablement par Cardif (pour l’heure Pictet et La Française AM). La gestion sous mandat est ouverte à partir de 250.000 euros.
Gamme financière étendue. Cardif Élite propose près de 600 OPCVM gérés par 125 sociétés de gestion, une gamme d’obligations et d’actions représentatives des 12 indices des plus grandes places financières, un accès à des titres vifs en gestion libre et en gestion sous mandat, le fonds en euros Cardif Assurance Vie sans oublier les supports d’investissements immobiliers (SCI, OPCI, SCPI), ces derniers seront disponibles sous formes d’enveloppes régulières.
Options d’arbitrages automatiques. Dans le cadre de la gestion libre, cinq services financiers permettent au client de sécuriser et de dynamiser ses plus-values ou de limiter les moins-values éventuelles :
- les arbitrages progressifs ou le transfert régulier de tout ou partie de son capital d’un support financier à un autre,
- les optimisations de plus-values, qui permettent d’arbitrer automatiquement les plus-values d’un ou plusieurs supports financiers vers le fonds en euros ou d’autres supports,
- les stop loss « relatif » ou « absolu » pour limiter les moins-values (ce service peut être directement mis en place sur des actions),
- la répartition constante pour maintenir dans le temps la répartition initiale définie par le client entre les différents supports.
Trois garanties de prévoyance. Au sein de la garantie décès, le contrat Cardif Élite propose un capital en cas de décès accidentel plafonné à 400.000 euros (la garantie cesse à 65 ans).
Il propose aussi trois options en cas de décès toutes: une « garantie plancher », qui transmet a minima le capital versé sur le contrat aux bénéficiaires, une « garantie plancher indexée », pour laquelle le client choisit un taux de revalorisation annuelle de son capital (de 0,5 % à 5 % par tranche de 0,5 %) et une « garantie plancher majorée », qui permet à l’assuré de majorer le capital versé aux bénéficiaires de 20 à 50 % en cas de décès. Ces garanties, facturées selon les capitaux sous risque et un barème tenant compte de l’âge de l’assuré, cessent au 75ième anniversaire de l’assuré. Elles comportent des exclusions.
Plus d'articles du même thème
ETF à la Une
Contenu de nos partenaires
-
Pénuries
En combat air-air, l'aviation de chasse française tiendrait trois jours
Un rapport, rédigé par des aviateurs, pointe les « vulnérabilités significatives » de la France en matière de « supériorité aérienne », décrivant les impasses technologiques, le manque de munitions et les incertitudes sur les programmes d'avenir -
Escalade
L'armée algérienne passe à la dissuasion militaire contre la junte malienne
La relation entre Alger et Bamako ne cesse de se détériorer ces derniers mois alors qu'ex-rebelles et armée malienne s'affrontent à la frontière algérienne -
En panne
Pourquoi les Français n’ont plus envie d’investir dans l’immobilier
L’immobilier était le placement roi, celui que l’on faisait pour préparer sa retraite, celui qui permettait aux classes moyennes de se constituer un patrimoine. Il est tombé de son piédestal. La faute à la conjoncture, à la hausse des taux, à la chute des transactions et à la baisse des prix, mais aussi par choix politique : le placement immobilier a été cloué au pilori par Emmanuel Macron via une fiscalité pesante et une avalanche de normes et d’interdictions