Les caisses locales d’Arkéa se prononcent massivement en faveur de l’indépendance
Le groupe Arkéa a officialisé le 18 avril les résultats des votes des 307 caisses locales sur l’indépendance d’Arkéa vis à vis du groupe Crédit Mutuel. Au total c’est 94,5 % des caisses locales qui se sont prononcées en faveur de cette indépendance. La Confédération du groupe, la CNCM conteste la validité de ce vote. La partie risque d'être compliquée.

Un évènement L’AGEFI
TECH & FINANCE
Plus d'articles du même thème
-
Le Crédit Agricole renforce sa banque privée en Suisse
La filiale de gestion de fortune de la banque verte, Indosuez Wealth Management, va acquérir Banque Thaler, un spécialiste suisse du domaine. -
J. Safra Sarasin a collecté 750 millions de francs en 2024
Le groupe suisse J. Safra Sarasin, qui a fait parler de lui début mars avec son projet de rachat de 70% du danois Saxo Bank, vient de publier son rapport annuel 2024. -
Banque Richelieu France accueille une nouvelle banquière privée
Avec pour mission de développer un portefeuille de clients fortunés, Emmanuelle Salvi-Metz rejoint l’équipe de banquiers privés de Banque Richelieu France.
ETF à la Une
Les plus lus
Contenu de nos partenaires
A lire sur ...
-
Pénuries
En combat air-air, l'aviation de chasse française tiendrait trois jours
Un rapport, rédigé par des aviateurs, pointe les « vulnérabilités significatives » de la France en matière de « supériorité aérienne », décrivant les impasses technologiques, le manque de munitions et les incertitudes sur les programmes d'avenir -
Escalade
L'armée algérienne passe à la dissuasion militaire contre la junte malienne
La relation entre Alger et Bamako ne cesse de se détériorer ces derniers mois alors qu'ex-rebelles et armée malienne s'affrontent à la frontière algérienne -
En panne
Pourquoi les Français n’ont plus envie d’investir dans l’immobilier
L’immobilier était le placement roi, celui que l’on faisait pour préparer sa retraite, celui qui permettait aux classes moyennes de se constituer un patrimoine. Il est tombé de son piédestal. La faute à la conjoncture, à la hausse des taux, à la chute des transactions et à la baisse des prix, mais aussi par choix politique : le placement immobilier a été cloué au pilori par Emmanuel Macron via une fiscalité pesante et une avalanche de normes et d’interdictions