Bureau Veritas a émis un nouvel US PP, pour un montant total de 355 millions de dollars. Ce placement privé de droit américain est divisé en deux tranches, d’une maturité de 10 ans. La première, de 200 million de dollars, a été émise par la filiale américaine du groupe de certification. Le solde a été émis par Bureau Veritas, avec une mise à disposition des fonds prévue pour juillet 2018. Ce placement, destiné à refinancer la dette en dollars, porte un taux de 3,67%, ramené à 1,68% une fois converti en euros. BoA Merrill Lynch, Natwest Markets et Barclays étaient agents sur cette opération.
Bureau Veritas a émis un nouvel US PP, pour un montant total de 355 millions de dollars. Ce placement privé de droit américain est divisé en deux tranches. La première, d’un montant de 200 millions, a été émise par la filiale américaine du groupe de certification. Les 155 millions restant ont été émis par Bureau Veritas avec une mise à disposition des fonds prévue pour juillet 2018. Les deux tranches ont une maturité de 10 ans.
Leader du financement non bancaire de trésorerie pour les TPE/PME, Finexkap a annoncé hier avoir franchi au début de l’été 2017 la barre des 100 millions d’euros de factures financées grâce à sa solution innovante de cession de factures à la carte. En deux ans et demi d’existence, plus de 5.000 entreprises ont sollicité le groupe et plus de 500 d’entre elles sont devenus clientes pour un total qui dépasse les 15.000 financements octroyés.
Le réseau de laboratoires d’analyses Synlab a annoncé hier qu’il entendait lever jusqu'à 300 millions d’euros sous la forme d’un prêt syndiqué de maturité 2022. Les fonds collectés serviront aux besoins généraux de l’entreprise, et notamment au financement d’acquisitions. Le gros de la dette de Synlab est de nature obligataire, dont deux lignes de 900 et 940 millions d’euros d'échéance 2022.
La banque centrale russe a annoncé hier son intention de renflouer Bank Otkritie, l’une des principales banques privées de Russie, en puisant dans un fonds dédié à l’assainissement du bilan des banques ayant accumulé des prêts toxiques. Dans un communiqué, la banque centrale indique qu’elle deviendra un actionnaire clé de l'établissement, qui s’est engagé à coopérer avec les autorités de régulation et continuera de fonctionner normalement. L’annonce a fait grimper l’action Otkritie qui a terminé la séance en hausse de 2,37% à 1.340 roubles à la Bourse de Moscou, contre un cours de 1.327 avant le communiqué.
Le réseau de laboratoires d’analyses Synlab a annoncé mardi qu’il entendait lever jusqu'à 300 millions d’euros sous la forme d’un prêt syndiqué de maturité 2022. Les fonds levés serviront aux besoins généraux de l’entreprise, et notamment au financement d’acquisitions. Le gros de la dette de Synlab est de nature obligataire, dont deux lignes de 900 et 940 millions d’euros d'échéance 2022.
La banque centrale russe a annoncé aujourd’hui son intention de renflouer Bank Otkritie, l’une des principales banques privées de Russie. Dans un communiqué, la banque centrale indique qu’elle deviendra un actionnaire clé de l'établissement, qui s’est engagé à coopérer avec les autorités de régulation et continuera de fonctionner normalement. L’annonce fait grimper l’action Otkritie de 2,37% à 1.339 roubles à la Bourse de Moscou dans l’après-midi, contre un cours de 1.327 avant le communiqué.
En fonction depuis hier, le nouveau directeur général de Santander Consumer USA, Scott Powell, a déclaré qu’il souhaitait améliorer son partenariat avec Chrysler dans le financement automobile afin de renforcer la position concurrentielle de la banque auprès des emprunteurs bien notés («prime borrowers»). La filiale de la banque espagnole a accepté de payer en mars dernier près de 25 millions de dollars (21 millions d’euros) à deux Etats américains pour mettre fin à une enquête sur des prêts automobile «subprime» conclus à des conditions abusives.
La banque de détail britannique a annoncé hier une levée de fonds de 277 millions de livres (310 millions d’euros), ce qui correspond à environ 10% de sa capitalisation boursière, afin d’accroître ses fonds propres et d’augmenter sa flexibilité financière. Metro Bank propose 8,02 millions d’actions à un prix unitaire de 3,465 pence via la constitution accélérée d’un livre d’ordres. Son fondateur Vernon Hill souscrira à ce placement à hauteur de 10 millions de livres. La banque a également annoncé un bénéfice trimestriel de 2 millions de livres à fin juin 2017, contre une perte de 5,9 millions un an plus tôt. Elle a enfin repoussé de 2020 à 2022 son objectif d’atteindre un rendement des fonds propres (ROE) de 18%.
L’Agence France Trésor a annoncé hier le remboursement du BTAN 1 % 25 juillet 2017, le dernier des « bons du Trésor à taux fixe et intérêt annuel », titres de dette d’une maturité initiale de 2 à 5 ans. Il n’y a donc plus de BTAN s’échangeant sur le marché secondaire, les dernières émissions ayant cessé dès 2013. La dette de l’État français n’est désormais plus composée que de deux types de titres, par souci de simplification : les BTF de maturité inférieure ou égale à 12 mois, et les OAT de maturité initiale allant de 2 ans à 50 ans.
Le groupe de gestion d’actifs Tikehau Capital a fait savoir hier qu’il avait réalisé avec succès son augmentation de capital en numéraire avec maintien du droit préférentiel de souscription annoncée le 30 juin. Le montant brut de l’opération, après exercice intégral de la clause d’extension, s’élève à 701,9 millions d’euros. Son produit servira à financer la prochaine phase de développement de la société et à accélérer sa croissance avec l’objectif d’atteindre 20 milliards d’euros d’actifs sous gestion en 2020. Le règlement-livraison et l’admission aux négociations sur Euronext Paris (compartiment A) des actions nouvelles interviendront demain.
Emmanuel Macron a renouvelé son engagement à porter l’aide publique au développement à 0,55% du revenu national brut (RNB) d’ici à 2022, a déclaré hier le chanteur Bono, fondateur de l’ONG One qui lutte contre la pauvreté et les maladies évitables, à l’issue d’une rencontre à l’Elysée avec le président de la République. Ce dernier s’est engagé pendant la campagne à porter le budget consacré à l’aide au développement à 0,7 % du RNB d’ici à 2030, contre 0,38 % en 2016, mais l’annonce de coupes budgétaires a suscité ces dernières semaines l’inquiétude et la colère des associations et des ONG.
Dexia a pris acte vendredi de la décision prise par la BCE de mettre fin à l’accès aux concours de politique monétaire de l’Eurosystème pour les structures de liquidation (wind-down entities) à compter du 31 décembre 2021. Il pourra jusqu’à cette date solliciter un financement maximum de 5,2 milliards d’euros auprès de l’Eurosystème. Cette annonce intervient alors que Dexia a déjà réduit très fortement son recours aux refinancements de l’Eurosystème, l’encours passant de 16 milliards d’euros à moins de 1 milliard sur l’année 2016 et à moins de 100 millions d’euros le 15 juillet 2017.
Rubis a annoncé vendredi soir dans un communiqué qu’il avait renouvelé ses lignes de capital afin de renforcer ses moyens financiers. Le distributeur de produits pétroliers a ainsi mis en place, sous forme d’émission de bons d’émission d’actions (BEA), deux lignes de capital réparties entre Crédit Agricole CIB et la Société Générale. Sur la base des cours actuels, le montant d’apport en fonds propres susceptible d'être réalisé pourrait atteindre environ 210 millions d’euros.
Spécialiste du façonnage pharmaceutique de niche et contrôlé par le fonds 21 Centrale, le groupe Synerlab vient de lever une dette de 160 millions d’euros auprès d’ICG et de Goldman Sachs. «L’opération est organisée sous la forme de plusieurs lignes, donnant ainsi au groupe les moyens de refinancer sa dette actuelle, de financer ses investissements futurs, et de poursuivre sa stratégie de croissance externe notamment avec deux acquisitions stratégiques à l’étranger, qui pourraient se finaliser dans les mois à venir», explique un communiqué. Déjà partenaire de Synerlab, ICG est le financier principal tandis que Goldman Sachs fait son entrée dans le tour de table.
Wendel a annoncé hier que sa filiale Cromology (ex-Materis Paints) avait amendé ses conditions bancaires à la quasi-unanimité de ses prêteurs. L’allégement de son covenant va permettre au spécialiste des peintures décoratives d’accroître sa marge de manœuvre financière afin de se donner tous les moyens pour poursuivre ses plans de croissance. Cette mesure s’accompagne d’une augmentation de sa capacité de tirage sur ses lignes de crédit de 20 millions d’euros au total. Cette transaction contribuera positivement à la création de valeur de long terme de Cromology, dont Wendel est l’actionnaire majoritaire avec 87,3 % du capital.
Spécialiste du façonnage pharmaceutique de niche et contrôlé par le fonds 21 Centrale, le groupe Synerlab vient de lever une dette de 160 millions d’euros auprès d’ICG et de Goldman Sachs. «L’opération est organisée sous la forme de plusieurs lignes, donnant ainsi au groupe les moyens de refinancer sa dette actuelle, de financer ses investissements futurs, et de poursuivre sa stratégie de croissance externe notamment avec deux acquisitions stratégiques à l’étranger, qui pourraient se finaliser dans les mois à venir», explique un communiqué. Déjà partenaire de Synerlab, ICG est le financier principal tandis que Goldman Sachs fait son entrée dans le tour de table.
Le groupe d’information professionnelle et de bases de données Infopro Digital a mandaté ses banques en vue d’un emprunt obligataire. Rachetée par le fonds TowerBrook en avril 2016, l’entreprise prévoit de lever 500 millions d’euros en deux tranches à 5 ans: l’une à taux fixe, annoncée avec un rendement de 4,75% à 5%, l’autre à taux variable, à une marge de 475 à 500 points de base. JPMorgan et BNP Paribas dirigent l’opération, épaulés par SG CIB. Des présentations aux investisseurs sont prévues du 17 au 20 juillet. Le groupe a racheté au printemps le britannique Insight, spécialiste de l’information pour les spécialistes du risque financier et de l’assurance (Risk.net, Chartis...).
Le groupe d’information professionnelle et de bases de données Infopro Digital a mandaté ses banques en vue d’un emprunt obligataire. Rachetée par le fonds TowerBrook en avril 2016, l’entreprise prévoit de lever 500 millions d’euros en deux tranches à 5 ans: l’une à taux fixe, annoncée avec un rendement de 4,75% à 5%, l’autre à taux variable, à une marge de 475 à 500 points de base. JPMorgan et BNP Paribas dirigent l’opération, épaulés par SG CIB. Des présentations aux investisseurs sont prévues du 17 au 20 juillet.
La société américaine WeWork, spécialisée dans la location d’espaces de coworking, a levé 760 millions de dollars dans son dernier tour de table. Cette levée de fonds valoriserait la société environ 20 milliards de dollars, d’après Bloomberg, en faisant la cinquième start-up la mieux valorisée selon les données du cabinet CB Insights. WeWork, qui a obtenu 300 millions de dollars de SoftBank plus tôt cette année, cherche à fortement étendre ses opérations en Asie.
Ces valeurs représentent 80% des sociétés cotées dans la région mais seulement 6,8% de la capitalisation totale, selon une étude de MiddleNext et LFDE.
Le groupe vient de mettre en place un nouveau crédit syndiqué de 155 millions d’euros. Il se fixe une enveloppe de 65 millions d’euros pour sa croissance externe.
L’Olympique lyonnais (OL) a annoncé vendredi avoir finalisé le refinancement de sa dette, ce qui lui permettra d'économiser sept millions d’euros par an. L’OL a remboursé le solde des dettes de long terme bancaires et obligataires qu’il avait contractées pour environ 257 millions d’euros en raison des coûts de construction importants de son nouveau stade. Le nouveau financement est d’un montant total de 260 millions d’euros, précise dans un communiqué d’OL Groupe, la holding cotée du club de football présidé par Jean-Michel Aulas. L’OL a en outre simplifié sa structure juridique avec la fusion-absorption de la société Foncière du Montout, propriétaire du stade, par la société OL SAS, qui détient le club.