Icade Santé a émis ses toutes premières obligations. La filiale de la foncière spécialisée dans les murs de cliniques a placé 500 millions d’euros, à échéance 2029, et à un coupon fixe de 0,875%. «Cette première émission obligataire a été (...) largement sursouscrite (plus de 6 fois, NDLR). Elle va permettre à Icade Santé de financer son plan de croissance (...) portant sur un objectif d’investissement d’un milliard d’euros en France d’ici 2022», s’est félicité Olivier Wigniolle, directeur général d’Icade. L’opération a été réalisée par HSBC, Crédit Agricole CIB, Société Générale, Natixis et BNP Paribas.
Icade Santé a émis ses toutes premières obligations. La filiale de la foncière spécialisée dans les murs de cliniques a placé 500 millions d’euros, à échéance 2029, et à un coupon fixe de 0,875%. « Cette première émission obligataire a été très bien accueillie par le marché et largement sursouscrite (plus de 6 fois, NDLR). Elle va permettre à Icade Santé de financer son plan de croissance ambitieux, portant sur un objectif d’investissement d’un milliard d’euros en France d’ici 2022, à des conditions financières très attractives », s’est félicité Olivier Wigniolle, directeur général d’Icade.
Accor fait un retour remarqué sur le marché de la dette hybride. Le groupe hôtelier a émis pour 500 millions d’euros de dette perpétuelle. Le carnet d’ordres a atteint près de 3 milliards d’euros. Ces nouveaux titres paient un coupon de 2,625%, contre 3,25% proposés à l’origine. Ils disposent d’une clause de premier rachat anticipé au bout de cinq ans et demi. L'émission doit contribuer au refinancement de la souche de dette hybride qui peut être remboursée par anticipation à partir de juin 2020.
Accor fait un retour remarqué sur le marché de la dette hybride. Le groupe hôtelier a émis pour 500 millions d’euros de dette perpétuelle. Le carnet d’ordres a atteint près de 3 milliards d’euros. Ces nouveaux titres paient un coupon de 2,625%, contre 3,25% proposés à l’origine. Ils disposent d’une clause de premier rachat anticipé au bout de cinq ans et demi. L'émission doit contribuer au refinancement de la souche de dette hybride qui peut être remboursée par anticipation à partir de juin 2020.
S&P Global Ratings et Moody’s ne voient pas du même oeil le projet de refinancement de dette annoncé hier soir par Casino. Alors que S&P a sorti le distributeur de la surveillance avec implication négative, Moody’s a abaissé la note du groupe de B1 à B2, tout en la plaçant «sous examen en vue de nouvelles dégradations». Moody’s s’attend à ce que le levier d’endettement brut ajusté de Casino monte au-dessus de 6 fois l’Ebitda au cours des 18 prochains mois, «un niveau plus proche d’une notation B2 si l’on considère que Casino ne génère pas de cash-flow libre positif, malgré la taille et les positions de marché de l’entreprise», explique Vincent Gusdorf, senior credit officer et analyste en chef pour Casino chez Moody’s. «L’examen de la rétrogradation reflète l’opinion de Moody’s selon laquelle la liquidité de Casino pourrait se détériorer à court terme si le refinancement prévu ne se déroule pas comme prévu», ajoute l’analyste crédit.
Le conseil d’administration de WeWork a accepté le plan de financement de SoftBank Group, proposé lundi, selon Reuters. Il a préféré cette offre à celle de JPMorgan Chase, qui a proposé un plan de financement alternatif de 5 milliards de dollars (4,5 milliards d’euros). SoftBank proposait lundi de fournir près de 10 milliards de dollars supplémentaires à l’entreprise et à ses actionnaires pour la maintenir à flot et en prendre le contrôle, à hauteur de 70%. Il contrôle déjà environ un tiers du capital de WeWork. Ce plan prévoit aussi la mise à l'écart définitive d’Adam Neumann, pour 1,7 milliard de dollars, d’après le Wall Street Journal.
Le Groupe Bel émet un nouveau financement pour 125 millions d’euros à 8 et 10 ans, au format Euro PP intégrant des critères environnementaux et sociaux, annonce-t-il dans un communiqué mardi. Il vient de réaliser avec succès un placement privé comportant des critères environnementaux et sociaux, entièrement souscrit par Amundi, poursuit-il. Ce financement est réparti en deux tranches : 8 ans, coupon de 1,486% pour 62,5 millions d’euros,10 ans, coupon de 1,761% pour 62,5 millions d’euros. Crédit Agricole CIB a agi en tant que seul coordinateur et teneur de livres de cette opération, et CMS Francis Lefebvre Avocats ainsi que Gide Loyrette Nouel en tant que conseils.
Le groupe de distribution négocie l’extension de ses lignes de crédits en France et va effectuer une levée de fonds, pour un total de 3,5 milliards d’euros.
Aux abois, le conseil d’administration de WeWork a obtempéré: il a accepté le plan de financement de SoftBank Group, proposé lundi, par lequel il va prendre de facto le contrôle de la société américaine de location de bureaux partagés, selon Reuters, qui cite une source «directement informée du dossier». Le conseil d’administration de The We Company, maison-mère de WeWork, a préféré cette offre à celle de JPMorgan Chase, qui a proposé un plan de financement alternatif de 5 milliards de dollars (4,5 milliards d’euros).
Le groupe de campings MS Vacances a levé un Euro PP de 26 millions d’euros auprès de Zencap Asset Management, sous forme d’une émission obligataire sécurisée à 6 ans. MS Vacances, groupe familial dirigé par Guy Raimbaud, gère plus de 2.000 emplacements de camping sur 4 sites en Vendée et dans les Pyrénées-Orientales. La société emploie plus de 100 salariés pour un chiffre d’affaires attendu de 17 millions d’euros en 2019. MS Vacances était conseillé par Blue Partners Finance.
Le groupe de campings MS Vacances a levé un Euro PP de 26 millions d’euros auprès de Zencap Asset Management. Cette émission obligataire sécurisée à 6 ans permet à la « société de rationaliser ses financements et d’accompagner sa croissance en France tout en conservant une vision patrimoniale », explique le groupe.
Le groupe suédois de prêt-à-porter Hennes & Mauritz (H&M) a annoncé jeudi avoir réalisé un nouvel investissement dans le spécialiste de la seconde main Sellpy, portant sa participation dans l’entreprise à 70%. H&M souligne que les vêtements de seconde main sont l’un des segments à plus forte croissance du secteur de la mode. Par l’intermédiaire de sa société d’investissement CO:LAB, il a investi environ 182 millions de couronnes (16,7 millions d’euros) dans Sellpy depuis 2015. Il investira 60 millions de couronnes supplémentaires dans l’entreprise suédoise d’ici quelques années, ce qui portera sa participation à environ 74%.
Le groupe suédois de prêt-à-porter Hennes & Mauritz (H&M) a annoncé aujourd’hui avoir réalisé un nouvel investissement dans le spécialiste de la seconde main Sellpy, portant sa participation dans l’entreprise à 70%. H&M souligne que les vêtements de seconde main sont l’un des segments à plus forte croissance du secteur de la mode. Par l’intermédiaire de sa société d’investissement CO:LAB, il a investi environ 182 millions de couronnes (16,7 millions d’euros) dans Sellpy depuis 2015. Il investira 60 millions de couronnes supplémentaires dans l’entreprise suédoise d’ici quelques années, ce qui portera sa participation à environ 74%.
Le laboratoire français spécialisé dans les allergies alimentaires DBV Technologies a annoncé ce matin que le montant brut de son augmentation de capital atteignait 143 millions de dollars (131 millions d’euros), contre 125 millions de dollars prévu initialement, après l’exercice en totalité de l’option de surallocation consentie dans le cadre de son offre globale d’actions ordinaires prenant la forme de certificats de dépôt (ADS). Le nombre total de titres émis par DBV s'élève ainsi à 10.852.733 actions ordinaires, dont 9.283.289 titres sous la forme de 18.566.578 ADS.
Le groupe Lagardère a placé mercredi une émission obligataire d’un montant total de 500 millions d’euros à échéance 7 ans, soit octobre 2026, annonce-t-il dans un communiqué mercredi. Le coupon annuel est de 2,125 %. Cette nouvelle émission permettra à Lagardère d’allonger la maturité moyenne de son endettement et de maintenir sa liquidité. Crédit Agricole CIB est coordinateur global de cette opération, avec BNP Paribas, Santander, Société Générale, Citi, Mizuho Securities en tant que teneurs de livres.
Malgré des conditions de crédit globalement favorables, les négociations se tendent sur les covenants bancaires de secteurs en difficulté, selon Redbridge.
L’Italie a lancé une émission obligataire en dollars, devise qu’elle n’avait plus utilisée depuis 2010. Le pays propose trois maturités différentes : 5, 10 et 30 ans. Le prix définitif des obligations doit être fixé demain, mercredi. L’opération est dirigée par Barclays, HSBC et JPMorgan. En septembre 2010, lors de sa dernière émission en dollars, l’Italie avait levé 2 milliards de dollars à un taux de 2,125% pour une maturité de 3 ans. Le pays porte encore deux autres souches en billet vert, expirant en 2023 et 2033.
Absent du marché obligataire depuis 2013, Alstom a émis 700 millions d’euros d’obligations à 7 ans. Les titres ont été placés avec une marge de 65 points de base par rapport au taux de référence. Ils paient un taux d’intérêt annuel de 0,25%. Le rendement global ressort à 0,309%. Cette nouvelle dette optimise le bilan du fabricant de trains. Celui-ci disposait à fin mars, lors de la clôture de l’exercice 2018-2019, d’une trésorerie nette de 2,1 milliards d’euros, avant le paiement, en juillet, d’un dividende de 1,2 milliard d’euros.
Absent du marché obligataire depuis 2013, Alstom a émis 700 millions d’euros d’obligations à 7 ans. Les titres ont été placés avec une marge de 65 points de base par rapport au taux de référence. Ils paient un taux d’intérêt annuel de 0,25%. Le rendement global ressort à 0,309%.
L’Italie a lancé une émission obligataire en dollars, devise qu’elle n’avait plus utilisée depuis 2010. Le pays propose trois maturités différentes : 5, 10 et 30 ans. Le prix définitif des obligations doit être fixé demain, mercredi. L’opération est dirigée par Barclays, HSBC et JPMorgan.
Suez a émis lundi 700 millions d’euros d’obligations à 12 ans afin de financer le rachat de plusieurs souches expirant entre 2021 et 2025. Les nouvelles obligations qui arriveront à maturité en 2031 paient un taux annuel de 0,5%. Elles ont été émises à un spread de 55 points de base par rapport aux taux de référence, en-dessous de la fourchette de marge proposée aux investisseurs. Le rendement total ressort à 0,501%.
Suez a émis aujourd’hui 700 millions d’euros d’obligations à 12 ans afin de financer le rachat de plusieurs souches expirant entre 2021 et 2025. Les nouvelles obligations qui arriveront à maturité en 2031 paient un taux annuel de 0,5%. Elles ont été émises à un spread de 55 points de base par rapport aux taux de référence, en-dessous de la fourchette de marge proposée aux investisseurs. Le rendement total ressort à 0,501%.
Le comité Euro PP a dévoilé une nouvelle version de la charte de 2014 qui posait les fondations de ce marché. Cette « modernisation » vise à simplifier le document « afin de mieux tenir compte des évolutions du marché et renforcer son efficience », alors que le financement bancaire ou d’autres marchés, principalement le Schuldschein, ont détourné ces derniers mois des émetteurs de l’Euro PP.
Neoen a émis pour 200 millions d’euros d’obligations à option de conversion et/ou d’échange en actions nouvelles ou existantes (Oceane) venant à échéance le 7 octobre 2024. Les obligations ont été émises au pair et paient un intérêt annuel de 1,875%. Leur valeur nominale unitaire a été fixée à 30,17 euros, correspondant à une prime de 35% par rapport au cours de référence de l’action Neoen. Natixis et la Société Générale étaient coordinateurs globaux et teneurs de livre associés, tandis que BNP Paribas et HSBC étaient teneurs de livres associés.
Neoen a émis pour 200 millions d’euros d’obligations à option de conversion et/ou d’échange en actions nouvelles ou existantes (Oceanes) venant à échéance le 7 octobre 2024, suivant le mouvement initié ces dernières semaines par Edenred, Veolia et Ubisoft. Les obligations ont été émises au pair et paient un intérêt annuel de 1,875%. La valeur nominale unitaire des obligations a été fixée à 30,17 euros, correspondant à une prime de 35% par rapport au cours de référence de l’action Neoen.
Le groupe de vins et spiritueux Pernod Ricard a annoncé vendredi la signature d’un contrat afin d’assurer la majorité des engagements de retraite du plus important fonds de pension du groupe par l’achat d’une police d’assurance. Cette police, dont la mise en œuvre est imminente, donnera lieu à une réduction des capitaux propres estimée à environ 0,9 milliard d’euros, a précisé l’entreprise.
Le groupe de vins et spiritueux Pernod Ricard a annoncé ce matin la signature d’un contrat afin d’assurer la majorité des engagements de retraite du plus important fonds de pension du groupe par l’achat d’une police d’assurance. La police d’assurance, dont la mise en œuvre est imminente, donnera lieu à une réduction des capitaux propres estimée à environ 0,9 milliard d’euros, a précisé l’entreprise dans un communiqué. La transaction s’inscrit dans une stratégie long terme de réduction progressive des risques inhérents au fonds de pension.