La fintech optimise les opérations de règlements et de change et établit le bilan d’émission des achats hors de l’Europe. Une obligation qui va s’imposer à toutes les entreprises européennes d’ici deux ans.
Week-end pascal chargé pour les créanciers d’Altice. Un groupe représentant deux tiers des 24 milliards d’euros de dette du deuxième opérateur télécoms français peaufine actuellement le choix de son conseil financier. Avec une mission claire : contrecarrer les manœuvres de Patrick Drahi.
La banque publique veut déployer 35 milliards d’euros supplémentaires d’ici à 2028, une enveloppe à mettre au service de la décarbonation de l’économie française.
Les risques ont changé d’échelle. Face à la montée de la sinistralité et aux besoins croissants d’assurance, le secteur cherche à s’adapter et compte avant tout sur la prévention.
Le différentiel de coût lié aux dettes obligataires est redevenu avantageux face aux solutions de financement bancaire. Du moins tant que la courbe des taux reste inversée.
Le projet de règlement européen a de quoi remettre en cause «l’équilibre de l’écosystème complet du financement des chaînes d’offre», selon une étude d’Altares et de l’université de Strasbourg.
Le spécialiste de cybersécurité accompagne le groupe actif dans l'édition, les médias et le commerce sur l'ensemble de ses actifs digitaux dans le monde.
Profitant d’un marché favorable, le groupe de distribution relance une émission obligataire six mois après l’avoir annulée, avec de meilleures conditions pour les investisseurs.
Pour accorder une couverture contre le défaut de paiement, il associe la vérité des chiffres financiers à celle du contact avec les assurés et leurs courtiers.
L’Agefi décrypte en exclusivité le baromètre trimestriel de Diot-Siaci Crédit. La modeste tendance à la baisse des désengagements fin 2023 reste à confirmer.
Le prestataire de paiement connaît une croissance fulgurante, notamment auprès des grandes entreprises et des entreprises de technologie. Il continue de lancer de nouveaux produits autour du paiement.
L’initiative est lancée par le groupe Crédit Agricole et France Carbon Agri, association d’agriculteurs engagés dans la réduction des émissions carbone.
La proposition de loi traitant notamment de la reconnaissance des documents transférables électroniques en matière de commerce international doit être débattue début avril.