
Les ETF enregistrent leur 45ème mois de collecte nette

Les ETF ont attiré 19,96 milliards d’euros nets en février à l'échelle mondiale, portant la collecte nette à 79,79 milliards de dollars depuis le début de l’année, selon le cabinet d'étude ETFGI. Il s’agit du quarante-cinquième mois consécutif de collecte.
Malgré cela, les actifs investis dans les ETF dans le monde ont décliné de 2,7 % en février, à 9.600 milliards de dollars.
Les ETF actions ont subi des rachats nets de 1,47 milliard de dollars, portant la collecte depuis le début de l’année à 20,55 milliards de dollars, soit bien moins que les 135,25 milliards levés sur la période correspondante de 2022. Les ETF obligataires ont affiché des souscriptions nettes de 5,77 milliards de dollars. Sur les deux premiers mois de l’année, ils attirent 32,62 milliards de dollars, soit plus que les 5,77 milliards de dollars réunis début 2022.
Plus d'articles du même thème
-
Un rebond rapide, mais mesuré, est attendu pour les marchés actions
Les gestionnaires interrogés anticipent une reprise de 8% à 9% des Bourses dans les six prochains mois, et de 12% à 14% sur un an. -
PARTENARIAT
L’essor des ETF actifs
Les ETF actifs attirent des investisseurs en quête des avantages de la gestion active et de l'atout de l’enveloppe ETF. -
Le marché européen des ETF reprend sa respiration
La collecte hebdomadaire a été divisée par près de deux, après une semaine record.
A la Une
Contenu de nos partenaires
-
Pénuries
En combat air-air, l'aviation de chasse française tiendrait trois jours
Un rapport, rédigé par des aviateurs, pointe les « vulnérabilités significatives » de la France en matière de « supériorité aérienne », décrivant les impasses technologiques, le manque de munitions et les incertitudes sur les programmes d'avenir -
Escalade
L'armée algérienne passe à la dissuasion militaire contre la junte malienne
La relation entre Alger et Bamako ne cesse de se détériorer ces derniers mois alors qu'ex-rebelles et armée malienne s'affrontent à la frontière algérienne -
En panne
Pourquoi les Français n’ont plus envie d’investir dans l’immobilier
L’immobilier était le placement roi, celui que l’on faisait pour préparer sa retraite, celui qui permettait aux classes moyennes de se constituer un patrimoine. Il est tombé de son piédestal. La faute à la conjoncture, à la hausse des taux, à la chute des transactions et à la baisse des prix, mais aussi par choix politique : le placement immobilier a été cloué au pilori par Emmanuel Macron via une fiscalité pesante et une avalanche de normes et d’interdictions