
Les Bourses chinoise et brésilienne vont coopérer dans les ETF
L’accord concerne entre autres les gestionnaires d’actifs chinois E Fund et brésilien Itaú Asset Management.
L'Agefi

Les Bourses de Shanghai et de Sao Paulo ont signé, le 20 mars, un protocole d’accord pour une coopération sur l’accès aux fonds cotés (ETF) sur leurs places de marché respectives. Ce protocole concernera entre autres les gestionnaires d’actifs chinois E Fund et brésilien Itaú Asset Management, qui développent une collaboration depuis août 2024. Ils envisagent des cotations d’ETF mutuels comme celles d’un ETF en actions chinoises A-Shares sur le marché brésilien et d’un ETF actions brésiliennes pour les investisseurs chinois.
Un évènement L’AGEFI
TECH & FINANCE
Plus d'articles du même thème
-
Un rebond rapide, mais mesuré, est attendu pour les marchés actions
Les gestionnaires interrogés anticipent une reprise de 8% à 9% des Bourses dans les six prochains mois, et de 12% à 14% sur un an. -
PARTENARIAT
L’essor des ETF actifs
Les ETF actifs attirent des investisseurs en quête des avantages de la gestion active et de l'atout de l’enveloppe ETF. -
Le marché européen des ETF reprend sa respiration
La collecte hebdomadaire a été divisée par près de deux, après une semaine record.
A la Une
Contenu de nos partenaires
A lire sur ...
-
Pénuries
En combat air-air, l'aviation de chasse française tiendrait trois jours
Un rapport, rédigé par des aviateurs, pointe les « vulnérabilités significatives » de la France en matière de « supériorité aérienne », décrivant les impasses technologiques, le manque de munitions et les incertitudes sur les programmes d'avenir -
Escalade
L'armée algérienne passe à la dissuasion militaire contre la junte malienne
La relation entre Alger et Bamako ne cesse de se détériorer ces derniers mois alors qu'ex-rebelles et armée malienne s'affrontent à la frontière algérienne -
En panne
Pourquoi les Français n’ont plus envie d’investir dans l’immobilier
L’immobilier était le placement roi, celui que l’on faisait pour préparer sa retraite, celui qui permettait aux classes moyennes de se constituer un patrimoine. Il est tombé de son piédestal. La faute à la conjoncture, à la hausse des taux, à la chute des transactions et à la baisse des prix, mais aussi par choix politique : le placement immobilier a été cloué au pilori par Emmanuel Macron via une fiscalité pesante et une avalanche de normes et d’interdictions