Les mesures annoncées visent à proposer un cadre «structurel» et «harmonisé» de gestion du collatéral reçu en face de ses opérations de refinancement, autour d’une seule liste d’actifs éligibles au lieu de deux jusqu’ici.
Le volume d’émissions de nouvelles obligations d’entreprises a bondi à près de 460 milliards d’euros en 2024, la meilleure année après 2020, qui avait bénéficié des besoins de financements liés au Covid.
Les places asiatiques hors Japon ont terminé en hausse. La Reserve Bank of Australia (RBA) n’a toujours pas baissé son taux directeur, et les prix de l’énergie ont évolué en hausse, grâce aux bonnes nouvelles venues des Etats-Unis pour le pétrole, à cause du froid et du risque d’approvisionnement pour le gaz naturel européen.
Le directeur général de la Caisse des Dépôts a été nommé à Bercy par l’exécutif. Ce profil de financier ne l’empêche pas d’être confronté aux mêmes problèmes que ses prédécesseurs.
Si la paralysie de l’administration au-delà du 20 décembre a été repoussée jusqu’au 14 mars, le vote au Congrès n’a pas traité le problème du plafond de la dette, dont la suspension prend fin au 31 décembre.
Le Fonds monétaire international a conditionné son prêt de 1,4 milliard de dollars à de fortes restrictions sur l’usage de la cryptomonnaie dans le pays. Elle y avait cours légal, au même titre que le dollar, depuis septembre 2021.
Le real brésilien, en baisse de près de 25% cette année, a atteint un nouveau plus bas historique alors que les investisseurs s’inquiètent du dérapage budgétaire et estiment insuffisantes les mesures proposées par le gouvernement.
Le président élu a déclaré que si l’Europe n’augmentait pas ses importations de gaz et de pétrole américains, cela aurait des répercussions sur les droits de douane.
Deux membres du comex de l’époque, Jennifer Hubber et Christophe Cambournac, ont accepté de transiger avec l’AMF, à hauteur de respectivement 160.000 euros et 100.000 euros.
Le graphique ci-dessous présente deux paniers d’actions sensibles aux frais de douane américains en relatif du marché, l’un pour les États-Unis et l’autre pour l’Europe, ainsi qu’un indice d’incertitude lié aux politiques commerciales.
En novembre, les actions américaines ont une nouvelle fois surperformé leurs homologues européennes, profitant de la nette victoire de Donald Trump aux élections. Son agenda politique, expansionniste, pro-croissance et potentiellement inflationniste, a poussé les taux longs américains à la hausse. Ce phénomène a été amplifié par des surprises économiques positives, qui devraient inciter la Fed à adopter une politique monétaire plus attentiste en 2025. En Europe, le rebond de l’activité se fait toujours attendre, la consommation et les gains de productivité restant atones et l’incertitude politique continuant de peser sur la confiance.
Le programme d’émissions augmentera bien a priori jusqu’à 300 milliards d’euros l’an prochain. Sous réserve du vote d’une loi de finances pour 2025, une fois que la France aura un gouvernement.
La banque a, comme prévu, maintenu son principal taux à 4,75%, malgré les dissensions de trois de ses membres, estimant qu’une approche graduelle restait nécessaire.
Les SRT consistent à sortir du bilan d’une banque les risques liés à des portefeuilles de prêts ciblés en vue d’alléger sa charge en capital réglementaire, au profit d’investisseurs en fonds de crédit spécialisés.
La banque centrale américaine a réduit son loyer de l'argent de 25 points de base, le ramenant dans une fourchette comprise entre 4,25% et 4,5%. Son rythme de baisse pourrait ralentir en 2025.
Le marché locatif n’a plus retrouvé le bon rythme de reprise entrevu au premier semestre en Ile-de-France. Et il a encore plutôt ralenti en régions après une bonne année 2023.
La Bourse de New York reste proche de son récent record début décembre mais sa progression semble de nouveau portée par les grandes valeurs de la tech. Le reste du marché ne suit pas.
Le rendement total d’un investissement sur le marché du cacao dépasse 300%, grâce en partie à la forme de la courbe des contrats à terme, plus chers sur les échéances courtes que sur les longues en raison de la faiblesse de l’offre.
Les prix à la consommation ont accéléré en novembre à 2,6%. Et malgré une stabilité dans les services, les économistes anticipent une nouvelle accélération dans les prochains mois avec une banque centrale prudente.
A l’occasion de la consultation de la Commission européenne qui s'est terminée le 4 décembre, les professionnels ont encore insisté sur la nécessité de revoir le cadre prudentiel actuel, et les contraintes de transparence et de labellisation des titrisations.
Après avoir été divisé par deux en quelques mois, le cours de la fève de cacao a de nouveau flambé ces dernières semaines, à l’approche de Noël. Le secteur reste confronté à un déficit d’offre exacerbé par les mauvaises conditions climatiques.