Nos articles d'actualité et d'analyse sur l'économie chinoise, son évolution, ses perspectives et son impact sur les principales institutions financières.
Les taxes chinoises sur le GNL venant des Etats-Unis pourraient inciter encore davantage les exportateurs américains à rerouter leurs méthaniers vers l’Europe. Mais la capacité d’importation reste limitée.
L'environnement négatif et volatil conduit les épargnants français à accroitre leur épargne de précaution. Les incertitudes autour du PLF et le PLFSS participent grandement à ce phénomène.
Lundi en fin de journée, le président américain a finalement suspendu pour un mois les tarifs douaniers qu’il comptait appliquer au Canada et au Mexique. De son côté, la Chine contre-attaque.
Le président américain souffle le chaud et le froid avec ses droits de douane. Le Mexique et le Canada ont annoncé lundi un accord pour repousser d’un mois la hausse de 25% qui leur est promise. Les mesures annoncées ce week-end réduiraient sensiblement la croissance des Etats-Unis pour 2025 et celle de ses voisins.
Après avoir annoncé des mesures contre le Mexique, le Canada et la Chine, Donald Trump a suspendu pour un mois celles contre ses deux voisins. La volatilité gagne les marchés.
Le marché des obligations d’entreprises stoppe son rallye de début d’année après avoir résisté à la hausse des taux longs et aux inquiétudes sur l’intelligence artificielle. Mais la réaction reste mesurée.
Les coûts de l’énergie ont progressé de +2,9% sur le mois. La bonne nouvelle vient de l’inflation sous-jacente et de l’inflation des services, qui ont diminué de respectivement -1% et -0,2% en janvier.
L’indice S&P 500 et les Bourses européennes, qui surperforment, ont atteint de nouveaux sommets, malgré la correction sur les taux et l'irruption de DeepSeek. Mais c’était avant la mise en place par les Etats-Unis de mesures douanières et la menace de représailles de ses partenaires commerciaux.
Le Canada, le Mexique et la Chine entendent répliquer à la hausse des droits de douane qui frappera dès mardi leurs produits exportés vers les Etats-Unis.
Le Panel Allocation consacre plus de 50% de son portefeuille aux actions pour le troisième mois consécutif. Les gérants s’éloignent progressivement de l’obligataire.
Le cours à Rotterdam du contrat TTF à un mois a bondi de plus de 10% la semaine passée, touchant un plus haut de deux ans. Les stocks ont fortement diminué et le marché parie sur des prix élevés dans les prochains mois. Un risque pour l’inflation.
Pendant que Bercy publie un catalogue de vœux pieux pour dynamiser les introductions en Bourse à Paris, les politiques alourdissent la taxe sur les transactions financières et maintiennent l'omerta sur la retraite par capitalisation. L'édito d'Alexandre Garabedian.
Les contributions différentielles ou exceptionnelles sur les hauts revenus et sur les grandes entreprises ont été actées, tout en étant encadrées dans le temps.
L’activiste s’en prend à la proximité affichée entre le nouveau président américain et l’écosystème des actifs digitaux, dont la valeur ne reposerait selon lui sur «aucune substance».
Le pays devra aussi trouver une solution au financement de la dépendance, alors que le nombre de centenaires pourrait être multiplié par cent d’ici à 2100.
Aucun des deux pays n’aurait d’intérêt économique à la fragmentation du commerce international. Et Pékin se montre disposé à écouter les requêtes d’un Donald Trump pressé.
Le pouvoir central chinois a promis de réorienter son attention économique sur la demande intérieure. Mais il devra résoudre la crise immobilière pour insuffler de la confiance chez les ménages.
De nombreux économistes doutent régulièrement des chiffres du PIB chinois. L’analyse de la consommation d’énergie comme possible référence aurait pourtant plutôt tendance à confirmer les chiffres de la production.
La Banque centrale européenne a baissé ses taux et ouvert la voie à de prochains assouplissements. Un discours plus accommodant sur les salaires, mais aussi la déception sur la croissance en zone euro et la perspective d’une révision, plus basse, de l’estimation de taux neutre ont poussé les anticipations de taux à la baisse.
Après une dynamique positive en 2024, les économies émergentes ont encore des raisons d’être optimistes quant à leur croissance en 2025, selon des économistes. Sous réserve d’effets sévères liés aux mesures américaines.
Les entreprises et les Etats navigueront à vue cette année, mais ce n’est pas vraiment nouveau, relève Julien Marcilly, chef économiste de Global Sovereign Advisory. Le court terme règne au détriment d'accords de libre-échange plus engageants à long terme.
Sur l'ensemble de 2024, la croissance des vingt pays européens à monnaie unique ressort à 0,7%, affectée notamment par un repli de 0,2% en Allemagne. Outre-Atlantique, elle a atteint 2,8%.