Eurazeo a flairé la bonne affaire. Depuis son arrivée au capital du groupe Premium en juin 2021, le CGP a réalisé pas moins de sept acquisitions d’autres cabinets. Avec la dernière en date, une prise de participation majoritaire au sein de Valetys, basé à Avignon et Montpellier, il porte ses actifs totaux à plus de 7 milliards d’euros. Il poursuit également son implantation en région, ici en Paca et en Occitanie. C’est une pierre de plus apportée à l'édifice de son pôle CGP crée en 2021, qui rassemble I-Kapital, Leone Kapital, Renard Partenaires, Linard Charbonnel, Groupe Forward et Sefima. Valetys, anciennement Helios Patrimoine, gère 180 millions d’euros d’encours, composés pour 75% d’assurance vie. De son côté, le groupe Premium garde toujours le cap des 10 milliards d’euros sous gestion d’ici à 2025.
Selon les profils de clients, les augmentations seraient comprises en moyenne entre 0% et 1,24% selon l’enquête CLCV 2023. Les frais de tenue de compte et le coût des cartes bancaires progressent d’environ 1%.
Le nombre de chômeurs a baissé en Espagne à 2,84 millions de personnes en décembre, au plus bas depuis 15 ans. Il a diminué de 43.727 personnes, soit 1,52%, par rapport à novembre, selon les données publiées mardi par le ministère du travail espagnol. En 2007, juste avant la crise bancaire et immobilière, le nombre de chômeurs s’élevait à 2,2 millions. Les plus fortes baisses ont été enregistrées dans le secteur des services (-37.080) et en Andalousie (-22.280). Le chômage des moins de 25 ans a reculé de 5,9%, à un plancher historique de 195.751 personnes. Une publication séparée du ministère de la Sécurité sociale a montré que l’Espagne avait détruit 8.347 emplois nets en décembre, à 20,31 millions d’emplois.
La première ministre Elisabeth Borne a annoncé mardi sur Franceinfo le retrait de la partie controversée du décret sur l’assurance-chômage annoncée le 23 décembre, qui devait réduire la durée d’indemnisation de 40% si le chômage venait à passer sous les 6% (au lieu de 7,3% actuellement). Cette disposition avait suscité la colère des syndicats. Comme annoncé fin novembre, le décret prévoit une baisse de 25% de la durée d’indemnisation pour tous les demandeurs d’emploi qui ouvrent des droits à partir du 1er février en métropole. Le cabinet du ministre du Travail Olivier Dussopt a ajouté que «le principe de contracyclicité est désormais dans la loi publiée le 21 décembre et sera donc un des éléments centraux de la future négociation des partenaires sociaux au sujet des règles d’indemnisation à compter de janvier 2024».
Selon les profils de clients, les augmentations seraient comprises en moyenne entre 0% et 1,24% selon l’enquête CLCV 2023. Les frais de tenue de compte et le coût des cartes bancaires progressent d’environ 1%.
Eurazeo a flairé la bonne affaire. Depuis son arrivée au capital du groupe Premium en juin 2021, le CGP a réalisé pas moins de sept acquisitions d’autres cabinets. Avec la dernière en date, une prise de participation majoritaire au sein de Valetys, basé à Avignon et Montpellier, il porte ses actifs totaux à plus de 7 milliards d’euros. Il poursuit également son implantation en région, ici Paca et Occitanie.
La première ministre Elisabeth Borne a annoncé mardi sur Franceinfo le retrait de la partie controversée du décret sur l’assurance-chômage annoncée le 23 décembre, qui devait réduire la durée d’indemnisation de 40% si le chômage vebait à passer sous les 6% (au lieu de 7,3% actuellement). Cette disposition avait suscité la colère des syndicats. «J’entends que ce point n’a peut-être pas suffisamment fait l’objet de discussions, donc nous allons le retirer, ce troisième niveau du décret qui entrera en vigueur au 1er février, et nous remettrons ce sujet dans la concertation sur les futures règles de l’assurance-chômage», a-t-elle précisé.
Le nombre de chômeurs a baissé en Espagne à 2,84 millions de personnes, soit un plus bas depuis 15 ans en décembre. Il a diminué de 43.727 personnes, soit 1,52%, par rapport à novembre, selon les données publiées mardi par le ministère du travail espagnol. En 2007, juste avant la crise bancaire et immobilière, le nombre de chômeurs s’élevait à 2,2 millions.
L’International Sustainability Standards Board prévoit d’achever deux propositions de règlements couvrant la divulgation par les entreprises des risques liés au climat pour leurs activités et élargissant le champ d’action de l’organisme de normalisation aux rapports des entreprises sur la biodiversité et d’autres sujets, rapporte le Wall Street Journal. L’ISSB prévoit d’aller vite pour terminer les deux standards, même si la date effective doit encore être déterminée. «Le climat va être finalisé dans les prochains mois. Et ensuite, naturellement, nous regardons à ce que nous allons faire après», déclare Emmanuel Faber au WSJ. Les deux règlements actuellement à l'étude visent à établir une base de référence pour les divulgations, alors que les entreprises du monde entier sont aux prises avec des cadres, des normes et des exigences réglementaires différents en la matière. L’une des propositions de règles prévoit que les entreprises divulguent les risques importants liés au climat, tels que les inondations et autres événements climatiques extrêmes. L’autre proposition les obligerait à partager des informations sur la manière dont elles gèrent, mesurent et surveillent certains risques liés au développement durable.
Le début de l’année rime avec nouvelle promotion de l’ordre de la Légion d’honneur, et le monde de l’assurance n’y échappe pas. Selon un décret du 29 décembre 2022 publié le 1er janvier 2023 au Journal officiel, plusieurs dirigeants ont été distingués. Jacques Chanut, ancien président de la Fédération Française du Bâtiment et président du groupe d’assurance spécialisé dans la construction SMABT dédié au bâtiment et aux travaux publics, a été élevé au grade d’officier, tout comme Sandrine Lémery, notamment vice-présidente de l’Institut des actuaires et présidente du comité des risques et du comité d’audit d’UFF banque. Eric Chenut, président de la Mutualité française (FNMF) et Diane Deperrois, directrice générale Axa Santé et Collectives et membre du comité exécutif du Medef, ont, quant à eux, été promus au rang de chevalier.
Dans une communication faite à la Consob, le gendarme de la Bourse italien, la banque Monte Dei Paschi (MPS) estime que l’augmentation de capital de 2,5 milliards d ‘euros qui a eu lieu le 4 novembre dernier et la mise en œuvre de certaines actions envisagées dans son plan Industriel 2022-2026, « suggèrent que les doutes importants sur la continuité de l’exploitation (…) ont été surmontés », marquant « un tournant positif dans la gestion de la Banque ». Les marchés ont réagi très positivement à cette déclaration et, pour la première séance de l’année, l’action Monte Dei Paschi a bondi de 6,52% à 2,05 euros. Cette hausse est toutefois à relativiser car sur un an le cours de MPS affiche toujours une baisse de près de 90%. Le 28 décembre, la banque avait déjà précisé qu’avec son augmentation de capital, elle respectait « pleinement » les exigences de fonds propres de la Banque centrale européenne.
Les banques étrangères ne seront plus obligées, pendant trois ans, de fournir les numéros de sécurité sociale des personnes qui, sans être attachées au pays, ont hérité de la nationalité américaine.
Ce nouveau réseau qui regroupe les activités des deux groupes en France est baptisé SG. La fusion sera mise en œuvre en plusieurs temps sur 2023, 2024 et 2025.
Le géant des produits laitiers est le deuxième groupe français après Publicis à recevoir un agrément de réassureur en 2022 alors que l’exécutif vient de réviser le cadre fiscal du dispositif.
Le géant des produits laitiers est le deuxième groupe français après Publicis à recevoir un agrément de réassureur en 2022 alors que l’exécutif vient de réviser le cadre fiscal du dispositif.
Le début de l’année rime avec nouvelle promotion de l’ordre de la Légion d’honneur, et le monde de l’assurance n’y échappe pas. Selon un décret du 29 décembre 2022 publié le 1er janvier 2023 au Journal officiel, plusieurs dirigeants ont été distingués.
Les sociétés de gestion de fonds traditionnels et alternatifs doivent revoir «de toute urgence» leurs directives internes sur l'évaluation des actifs illiquides, a prévenu l’autorité suédoise des marchés financiers Finansinspektionen. Cette dernière a également identifié divers risques dans l'évaluation de certaines classes d’actifs. Le régulateur suédois a réalisé une étude approfondie sur la robustesse des processus d'évaluation des actifs peu liquides de onze gestionnaires de fonds. L’examen a porté sur la manière dont les gestionnaires évaluent les obligations d’entreprises, les actions non cotées, les produits structurés et les crédits dans des conditions normales et de stress. Cette étude s’inscrit dans le cadre des travaux de l’Esma, le régulateur européen. Le constat de l’étude est que «les directives internes d'évaluation de certains gestionnaires ne sont pas claires ou ne contiennent pas toutes les informations requises par la directive AIFM». «Cela pose problème. L’équipe d’évaluation doit disposer d’instructions claires pour son travail. Les fonctions de contrôle doivent également pouvoir examiner la manière dont l'évaluation a été effectuée», estime Catrin Hådén, responsable adjointe du département de supervision des comportements au sein de Finansinspektionen. Selon Finansinspektionen, il s’agit d’un problème sur lequel le secteur en général doit travailler davantage et que les sociétés devraient pouvoir résoudre d’elles-mêmes en étant plus prudentes. «Il ne semble pas qu’il s’agisse d’une question d’ignorance, mais plutôt que les gestionnaires n’ont pas donné la priorité à la vérification de la cohérence des différentes procédures entre elles ou avec la réglementation», ajoute Catrin Hådén. Le régulateur suédois poursuivra son analyse et envisagera des mesures appropriées pour s’assurer que les opérateurs se conforment aux exigences réglementaires.
Denise George, procureur général des îles Vierges américaines, accuse JPMorgan d’avoir fermé les yeux sur le trafic sexuel de mineurs pratiqué par Jeffrey Epstein, selon une plainte déposée cette semaine au tribunal de district de Manhattan, citée par Financial News. La banque n’a pas alerté les autorités et a ignoré les avertissements d’activités illégales pendant des années alors qu’elle fournissait des services bancaires à Epstein, selon les rapports publiés sur le procès.
Ce nouveau réseau qui regroupe les activités des deux groupes en France est baptisé SG. La fusion sera mise en œuvre en plusieurs temps sur 2023, 2024 et 2025.
Les fintechs françaises ne se sont pas endormies en 2022. Selon le bilan annuel de France FinTech, l’association professionnelle des fintech, assurtech et regtech françaises, les jeunes pousses tricolores spécialisées dans les services financiers ont levé un montant record de fonds propres de 2,9 milliards d’euros en 2022. Avec 146 transactions, le ticket moyen atteint 20 millions d’euros. Les 1.000 fintechs françaises, dont environ un quart est déjà présent à l’international, ont créé 40.000 emplois et 27% se déclarent rentables. La montée des incertitudes au cours de l’année permet toutefois de distinguer deux périodes en 2022 : 2,2 milliards d’euros ont été levés au premier semestre, contre 750 millions d’euros sur les six derniers mois de l’année.
Alors que les pouvoirs publics s’organisent pour développer l’assurance cyber et que l’écosystème tricolore se remue, le patron de Zurich Insurance tire la sonnette d’alarme.
La nouvelle assurance récolte (ou multirisque climatique subventionnée), qui est entrée en vigueur ce 1er janvier 2023, continue d’évoluer. Dans un décret publié vendredi 30 décembre au Journal officiel, l’exécutif entérine les conditions d’intervention de la solidarité nationale en cas de pertes des récoltes dues à des aléas climatiques. Comme annoncé aux assureurs quelques jours plus tôt lors d’une réunion « en urgence», c’est finalement l’Etat qui s’occupera de la gestion du Fonds de solidarité nationale pour les agriculteurs non assurés en 2023. En outre, dans le cas où l’assureur joue le rôle d’interlocuteur unique, à savoir quand un exploitant agricole a pris un contrats MRC, la compensation des charges liées à ce rôle « ne concerne que les seuls frais de gestion administrative spécifiquement engendrés par le versement de l’indemnisation fondée sur la solidarité nationale », précise le décret.
L’institution de prévoyance Kerialis, qui a dégagé un bénéfice net de 758.000 euros en 2021, a obtenu son agrément de Fonds de retraite professionnelle supplémentaire (FRPS), selon une décision publiée vendredi 30 décembre au Journal officiel. Le transfert d’une partie du portefeuille de contrats, avec les droits et obligations qui s’y rattachent, de Kerialis Prévoyance, dont les agréments sont désormais caducs, a Kerialis Retraite, a aussi été approuvé. Spécialiste de la protection du personnel salarié des avocats, Kerialis, qui couvrait 44.600 salariés en 2021 pour 99 millions d’euros de cotisations et 12.520 cabinets clients, propose notamment des prestations de complémentaire santé, prévoyance et retraite.
Le spécialiste de la modélisation du risque Karen Clark & Company estime les pertes assurées liées à la tempête de neige historique Elliott, qui touche les Etats-Unis depuis le 21 décembre, à 5,4 milliards de dollars (5,1 milliards d’euros). Cette première estimation concerne l’assurance habitation et l’assurance des biens d’entreprise. « Les températures glaciales sont à l’origine de la grande majorité des pertes, qui peuvent entraîner des perturbations généralisées des infrastructures et des ruptures de canalisations dans les secteurs résidentiel, commercial et industriel. Les pertes commerciales devraient représenter plus de 50 % des pertes assurées », précisent les analystes dans une note.
C’est une histoire qui finit bien pour les captives de réassurance à la française. Après que Bruno Le Maire a promis que la révision du cadre fiscal des captives ne ferait pas partie de la version finale du Projet de loi de finances pour 2023, un amendement allant dans ce sens a bien été intégré dans le texte sur lequel le gouvernement a engagé sa responsabilité dans le cadre du 49.3. Saisi par l’opposition de gauche, le Conseil Constitutionnel a bien validé en fin de semaine dernière l’article en question dans le PLF qui permet aux captives d’entreprises de constituer des réserves en franchise d’impôt.
David Salomon, président-directeur général de la firme de Wall Street, a confirmé travailler sur des suppressions de postes qui seront annoncées début janvier.