Chaque semaine, les analyses et prévisions des économistes et gestionnaires d'actifs interrogés par L'Agefi sur les taux, changes, actions, crédit et allocation d'actifs.
Des cheveux en moins et de l’épaisseur en plus, Lionel retrouve L’Agefi en 2022 en tant que rédacteur en chef adjoint après une parenthèse d’une vingtaine d’années. Une double décennie passée dans la presse boursière française, chez Investir et Le Revenu, à couvrir les grandes entreprises cotées. Il manque rarement l’occasion de partager, auprès d’oreilles généralement bienveillantes, les citations qu’il affectionne. Comme celle-ci, nietzschéenne, «l’ennemi de la vérité, ce n’est pas le mensonge, ce sont les convictions».
L’Union européenne a dévoilé mardi le barème recalculé des droits de douane qu’elle entend appliquer sur les véhicules électriques fabriqués en Chine. Tesla voit sa facture s’alléger.
Visé depuis 2023 par une offensive de Hindenburg Research, l’activiste se voit sanctionné par la SEC pour n'avoir pas dévoilé l’apport en garantie de ses propres titres en échange de prêts personnels.
L’américain s’empare de son compatriote ZT Systems, avec une offre mixte, en cash et en titres, de 4,9 milliards de dollars. Seule la partie ingénierie de ce spécialiste de la construction de serveurs sera conservée.
Le géant français des matériaux de construction complète son maillage nord-américain et ses ambitions dans la chimie de la construction avec une nouvelle opération à 740 millions d'euros.
Avec une offre record en cash sur l’ex-Kellogg’s, le spécialiste de la confiserie s’empare du producteur de Pringles, issu d’un spin-off. A la clé une prime de 33%.
La première banque suisse a dégagé un résultat net de 1,14 milliard de dollars sur la période avril-juin 2024. Mais elle annonce un nouveau tour de vis avec un plan d’économies renforcé, lié à l’intégration de Credit Suisse.
Teads, BT, Sotheby’s ou encore BFM-RMC : le fondateur d’Altice multiplie cet été les cessions et opérations financières pour échapper au piège d’une dette financière de 60 milliards de dollars qui étrangle son empire.
L’activiste actionnarial américain accuse le superviseur indien de connivence et de liens financiers avec le conglomérat indien. Le marché a réagi, au point d’effacer jusqu'à 19 milliards de dollars de capitalisation cumulés pour les différentes sociétés cotées du groupe.
Warner Bros Discovery et Paramount ont tour à tour massivement déprécié la valeur de leurs actifs dans les chaînes et réseaux câblés. A la clé, 15 milliards de dollars d’actifs effacés.
Le groupe britannique envisage de coter sa filiale dédiée à l’analyse de données sur la Bourse new-yorkaise. Un coup dur pour Londres alors que le LSE Group peine à attirer de nouveaux candidats.