Des cheveux en moins et de l’épaisseur en plus, Lionel retrouve L’Agefi en 2022 en tant que rédacteur en chef adjoint après une parenthèse d’une vingtaine d’années. Une double décennie passée dans la presse boursière française, chez Investir et Le Revenu, à couvrir les grandes entreprises cotées. Il manque rarement l’occasion de partager, auprès d’oreilles généralement bienveillantes, les citations qu’il affectionne. Comme celle-ci, nietzschéenne, «l’ennemi de la vérité, ce n’est pas le mensonge, ce sont les convictions».
La société d’investissement de Masayoshi Son promet un nouveau programme de 3,4 milliards de dollars de rachats de titres. Elle espère faire coup double et calmer également les revendications d’investisseurs activistes.
Le groupe minier anglo-suisse qui envisageait un spin-off de cette activité y renonce. Il voit par ailleurs ses comptes tomber dans le rouge au 30 juin, notamment sous l’effet de dépréciations.
La société américaine, spécialisée dans les panneaux solaires, se place sous la protection de la loi sur les faillites. Le spectre de la liquidation est proche. Le pétrolier français détenait encore 25% du capital à fin 2023.
L’assureur entre en négociations exclusives avec la banque pour lui céder Axa IM pour 5,1 milliards d’euros, soit 15 fois le résultat opérationnel de l’entité. BNP Paribas change de dimension dans un métier où la taille critique lui faisait jusqu’ici défaut.
En dépit d’un premier semestre 2024 décevant, la banque britannique rehausse son objectif de rentabilité des fonds propres tangibles à plus de 12% à l’horizon 2026.
La banque espagnole, toujours à l’affût de sa rivale Sabadell, a signé une performance meilleure qu’attendu au deuxième trimestre. Mais la hausse des provisions jette une ombre sur ses perspectives. L’action dérape.
Levées de capitaux traditionnelles ou sous forme accélérée, ventes de blocs, introductions en Bourse ont affiché de belles couleurs sur les six premiers mois de 2024. La France présente un bilan contrasté.
Outre le pôle de santé grand public de Sanofi, engagé dans une procédure d'entrée en Bourse ou de reprise par des fonds de capital-investissement, plusieurs candidats sont tentés par une introduction dans les prochains mois.
Le groupe de médias a conclu un accord avec plusieurs investisseurs institutionnels pour refermer de vieux dossiers judiciaires liés à sa communication financière entre 2000 et 2002.