Nos articles d’actualité et d’analyse sur le financement des entreprises par dette obligataire (marché primaire, DCM, obligations hybrides) ou bancaire.
Des cheveux en moins et de l’épaisseur en plus, Lionel retrouve L’Agefi en 2022 en tant que rédacteur en chef adjoint après une parenthèse d’une vingtaine d’années. Une double décennie passée dans la presse boursière française, chez Investir et Le Revenu, à couvrir les grandes entreprises cotées. Il manque rarement l’occasion de partager, auprès d’oreilles généralement bienveillantes, les citations qu’il affectionne. Comme celle-ci, nietzschéenne, «l’ennemi de la vérité, ce n’est pas le mensonge, ce sont les convictions».
Confronté à une équation compliquée sur le terrain des coûts et des barrières commerciales, le premier groupe automobile européen s’attend à un millésime 2025 délicat.
L’ensemble des fédérations de banques régionales et du CIC a dégagé en 2024 un résultat net de 4,5 milliards d’euros, en légère érosion. Il n’envisage pas de fermer plus de 1% de ses agences par an au cours des quatre prochaines années.
Au terme d’une concertation avec l’industrie automobile, Bruxelles s’apprête à opter pour davantage de flexibilité en matière de réduction d’émissions de CO2. Une mesure saluée par le marché avec des hausses pour l’ensemble du compartiment en Bourse.
Pénalisée par son coût du risque, la banque mutualiste a dégagé en 2024 un résultat net en repli de 5,2 % à 395 millions d’euros. Les provisions pour créances douteuses ont quasiment doublé.
Le patron de la banque voit sa rémunération totale grimper d’un tiers, à 13,2 millions d'euros. Pour l’ensemble du groupe, l’enveloppe des bonus est en hausse de 13%.
Après un millésime 2024 record, le réassureur allemand rehausse sensiblement son dividende. Il lance un nouveau programme de deux milliards d’euros de rachat d’actions. De quoi propulser le titre à un nouveau plus haut historique.
Le groupe d’investissement offre 4,1 milliards d’euros en cash, soit une prime de 63%, pour convaincre sa cible. De quoi se hisser au quatrième rang mondial des plateformes de livraison de repas.
La foncière diversifiée dirigée par Christophe Kullmann affiche un résultat net récurrent en hausse de 10%, à 477,4 millions d’euros en 2024. Elle profite du regain de forme de ses positions dans l’hôtellerie.
La foncière-promoteur subit le double choc d’une perte de valeur dans les bureaux et de la lenteur de son plan de repositionnement. Le cash-flow net courant trinque. D’autant que la sortie totale de ses actifs de santé sera plus longue que prévu.