Nos articles d'actualité et d'analyse portant sur les opérations de fusion-acquisition et de cessions menées par les grandes entreprises françaises et internationales, le classement M&A de L'Agefi.
Des cheveux en moins et de l’épaisseur en plus, Lionel retrouve L’Agefi en 2022 en tant que rédacteur en chef adjoint après une parenthèse d’une vingtaine d’années. Une double décennie passée dans la presse boursière française, chez Investir et Le Revenu, à couvrir les grandes entreprises cotées. Il manque rarement l’occasion de partager, auprès d’oreilles généralement bienveillantes, les citations qu’il affectionne. Comme celle-ci, nietzschéenne, «l’ennemi de la vérité, ce n’est pas le mensonge, ce sont les convictions».
La plateforme boursière paneuropéenne a connu une année record avec plus de 14.700 nouvelles cotations obligataires, un plus haut historique. Malgré le dynamisme des levées de capitaux, elle a en revanche laissé échapper les deux plus importantes introductions en Bourse de l’année.
Pas moins de 671 milliards d’euros ont été levés dans le monde en 2024, un volume en hausse de 26% sur un an, tiré par les Etats-Unis. Si l’Europe est dans le ton, elle manque toutefois de réelle dynamique. La France reste décrochée.
Rompu aux arcanes du groupe bancaire mutualiste, Olivier Gavalda succédera à Philippe Brassac en mai prochain à la direction générale de Crédit Agricole SA. Mais ce banquier de 61 ans, au profil consensuel, ne sera l’homme que d’un seul mandat.
Le groupe de conseil et de certification intégrera l’indice phare parisien le 23 décembre, à l’ouverture des marchés. Vivendi est versé dans l’indice CAC Mid & Small.
Thierry Déau, le fondateur de Meridiam, actionnaire de référence du Suez, prendra le 1er janvier la présidence du groupe de services collectifs et en tiendra les rênes opérationnelles le temps nécessaire. De son côté, la Caisse des dépôts exclut toute intention de sortir du capital.
L’Union européenne, à l’initiative d’Ursula von der Leyen, et l’alliance commerciale sud-américaine ont conclu un cycle de 25 ans de discussions pour faciliter les échanges entre les deux zones. Pour Bruxelles, le plus dur commence : convaincre l’ensemble des Vingt-Sept alors que Paris et Rome ne cachent pas leur irritation.
Cette nouvelle offensive, initiée par Palliser Capital, intervient alors que le groupe minier australo-britannique relève ses prévisions de production de cuivre et accentue ses investissements dans le domaine.
Le fonds d’investissement vient de finaliser un investissement d’environ 100 millions d’euros pour devenir un important actionnaire du groupe tech. L’opération valorise l’ex-Avisa Partners plus de 200 millions d’euros avec un multiple d’Ebitda supérieur au tour précédent réalisé en 2019. Raise Invest et Rives Croissance, entrés à l’époque, restent au capital.