Nos articles d’actualité et d’analyse sur le financement des entreprises par dette obligataire (marché primaire, DCM, obligations hybrides) ou bancaire.
Deux passions dans la vie : le hors-jeu au foot et l’inflation en économie. Fabrice a débuté comme journaliste spécialisé dans l’économie du sport et s’intéresse depuis vingt ans aux mécanismes financiers et aux enjeux de politique économique et monétaire.
Leur progression depuis janvier se rapproche de 6%, dans l’ombre des actions européennes, mais loin devant les américaines qui attiraient tous les regards en début d’année.
Les données monétaires et de crédit publiées jeudi par la Banque centrale européenne restent positives, tant pour les prêts aux entreprises que pour les prêts immobiliers. De quoi confirmer des perspectives économiques un peu plus favorables pour la région.
Forte de la plus dense industrie de défense en Europe, et de la position de deuxième exportateur mondial, la France se positionne comme un leader potentiel dans le contexte actuel de réarmement général.
Les cours du cuivre ont atteint des records mercredi sur les marchés américains. Ils ont baissé à Londres dans le même temps, accentuant la dislocation du marché au niveau mondial.
La hausse des taux souverains a eu tendance à diminuer l’intérêt des «covered bonds» pour les investisseurs. Après un lent démarrage cette année, le resserrement des spreads semble pouvoir relancer le marché primaire.
Cette économiste spécialiste du secteur bancaire chez BNP Paribas a produit la semaine dernière une note très complète sur la deuxième opération de réduction du bilan de la Fed (QT) et tous les facteurs à prendre en compte pour avoir une vue globale des risques.
La banque centrale américaine a décidé de réduire son bilan à un rythme plus lent à partir d’avril, abaissant de 25 à 5 milliards de dollars le montant des obligations d’Etat qu’elle ne réinvestit plus chaque mois. Au-delà du débat sur les raisons de cette mesure, notamment liées aux perturbations du blocage du plafond de la dette américaine, la Fed cherche le bon tempo.
Pour mieux comprendre les mouvements sur l’inflation et la croissance, les économistes s’apprêtent à regarder d’autres signaux que les indicateurs habituels. La cause ? Le chamboule-tout amorcé par l’administration Trump.