Toute l’actualité du secteur des transports et de ses principales entreprises, des compagnies aériennes (Air France-KLM, Lufthansa, Ryanair, EasyJet…) aux spécialistes du ferroviaire (SNCF, Alstom, Siemens Mobility), en passant par la logistique (CMA CGM, Maersk...).
L’armateur va racheter un spécialiste britannique de la logistique contractuelle pour 765 millions de livres. De quoi grossir encore dans un secteur moins cyclique que son cœur de métier.
Financièrement fragile, la compagnie américaine pourrait se placer sous le régime du Chapitre 11 après le blocage de son projet de fusion avec JetBlue.
L’armateur et la compagnie aérienne mettent fin à leur partenariat commercial dans le cargo. CMA CGM quittera fin mars le conseil d’administration du transporteur aérien.
La compagnie aérienne a déjà remboursé la totalité des prêts reçus à l'occasion de la crise sanitaire. Elle va examiner les implications potentielles de cet arrêt.
En améliorant son résultat d’exploitation de 2 milliards d’euros sur 5 ans, le transporteur compte porter sa marge au-delà de 8% à l’échéance de son plan stratégique.
Le tribunal administratif de Paris estime que le risque financier devait être supporté par le concessionnaire du contrat passé avec les anciennes communes utilisatrices.
La compagnie aérienne allemande a déposé jeudi une demande formelle auprès de la Commission européenne pour acquérir 41% du capital de son homologue italienne.
L’Autorité de la concurrence émet une série de recommandations à l’Etat, aux régions et aussi à la SNCF, dans le cadre de son avis sur les transports terrestres de personnes.
Le fonds d’infrastructure et l’investisseur souverain ont trouvé un accord pour racheter la participation de 25% de Ferrovial dans l’aéroport londonien. Ils vont rejoindre un groupe d’institutionnels mondiaux au tour de table.
Face aux enjeux d’intégration de Bombarbier et d’envolée de son carnet de commandes, le groupe de matériel ferroviaire a trop tiré sur son bas de bilan sans disposer des ressources financières de long terme indispensables. Il met désormais les bouchées doubles pour y remédier, sans exclure d’aller jusqu’à une augmentation de capital. L’action déraille.
Le groupe veut réduire sa dette de 2 milliards d'euros en moins de deux ans. Plus de 500 millions d'euros de cessions d'actifs et 1.500 suppressions de postes sont au programme. L'action s'effondre de plus de 10%.
Le carbone navigue sur les flots. L'accès au marché européen des crédits carbone (EU ETS), effectif à partir du 1ᵉʳ janvier 2024, n'est que l'une des dispositions destinées à accélérer la décarbonation du secteur. A la clé, un coût de 20 milliards d'euros que les transporteurs comptent bien reporter sur leurs clients.
Le retour à la normale dans le transport maritime fait plonger les résultats de l’armateur mais les investissements consentis depuis trois ans devraient lui permettre de mieux naviguer en période de basses eaux.
L’inflation, le resserrement du budget des ménages, la fin de l'effet Covid, et surtout la publication d'un décret condamnant l'implantation des dark stores en centre-ville ont condamné de facto la livraison ultra-rapide à domicile en France qui s'était imposée dans la logistique du dernier kilomètre.