Chaque semaine, les analyses et prévisions des économistes et gestionnaires d'actifs interrogés par L'Agefi sur les taux, changes, actions, crédit et allocation d'actifs.
Nos articles d’actualité et d’analyse sur l'économie britannique (croissance, politique monétaire, marchés financiers, variation du yen…), son évolution, ses perspectives et son impact sur les principales institutions financières dans un contexte encore marqué par le brexit.
La BoE a maintenu son ton restrictif, s’opposant aux anticipations plus accommodantes du marché, et de la Fed. L’inflation n’est pas vaincue, selon la banque. La devise et les taux grimpent.
La banque centrale britannique a laissé son taux directeur inchangé, à 5,25%, mais elle a tenu un discours moins accommodant que son homologue américaine quelques heures plus tôt.
Le mauvais temps a affecté l’économie britannique qui est désormais stable depuis le début de l’année et risque la récession. Cette croissance décevante devra être prise en compte jeudi par la Banque d’Angleterre.
La banque centrale britannique devrait laisser ses taux inchangés jeudi pour la troisième fois consécutive, mais elle s’attachera à atténuer les anticipations de baisse rapide des taux en 2024.
Au-delà des arbitrages réglementaires, le défi pour Londres et Paris semble être de retrouver des marges de manœuvre par rapport aux places non européennes.
Le budget britannique 2024-2025 défendu par Jeremy Hunt fait la part belle aux réductions d’impôts, grâce aux marges budgétaires permises par une meilleure croissance cette année. Mais le marché reste focalisé sur le risque de stagflation.
Nicolas Breteau, directeur général de l’ex-Tullett Prebon, décrypte pour L’Agefi les transformations du métier de courtier interbancaire et les diversifications qu’il a engagées.
La banque centrale britannique, qui a maintenu son taux à 5,25%, a toutefois prévenu qu'un nouveau relèvement était possible en cas de persistance de l'inflation. Elle écarte la perspective d'une baisse prochaine.
La banque britannique a vu ses bénéfices plus que doubler au troisième trimestre, à 7,7 milliards de dollars, et elle annonce un nouveau programme de rachat d’actions, de 3 milliards de dollars.
Le krach de la fintech CAB Payments, introduite en juin sur le London Stock Exchange et qui a perdu les trois quarts de sa valeur cette semaine, ternit un peu plus le blason de Londres comme place de cotation. Depuis le Brexit, la City ne parvient plus à tenir son rang de destination mondiale pour les introductions en Bourse.
Les régulateurs britanniques viennent de supprimer le plafonnement des bonus des banquiers. Un premier pas de l’émancipation de Londres vis-à-vis du corpus réglementaire hérité de l'UE.
Les surprises sur l’inflation, en hausse, et sur les progressions salariales, en baisse, ne sont pas suffisantes. Mais le marché a vivement réagi avec une nouvelle correction sur les Gilts.
Après un mois de juillet marqué par une mauvaise météo, le PIB a légèrement rebondi en août, ce qui pourrait éviter une contraction au troisième trimestre. Mais l’économie reste faible.