Toute l'actualité de l'entreprise dirigée par Elon Musk, valorisée plusieurs centaines de milliards de dollars en Bourse et spécialisée dans les véhicules électriques.
« Mes convictions et mon parcours m'ont amené logiquement à la gestion d'actifs », déclare Jean-Pierre Mottura. Diplômé de l'EDC Paris, d'un DECS et d'une Licence de sciences économiques, il s'est intéressé, dès ses études, au contrôle de gestion. « J'avais envie d'analyser un bilan, de détecter les économies réalisables en ayant un rôle transversal, un peu celui d'un « fouineur » au sein de l'entreprise, se souvient-il.
Didier Bonneau aime gérer les hommes. « 80% de la résolution d'un problème dépend de la façon dont il est appréhendé d'un point de vue relationnel », affirme-t-il. Et côté relationnel, il a du pain sur la planche puisqu'il dirige les finances d'un groupe dont le périmètre a fortement évolué ces dernières années. Il est en effet le fruit du rapprochement de six groupes de protection sociale???: Humanis, Vauban, Apri, Ionis, Novalis et Taitbout.
« J'aime mon travail pour la variété des sujets à aborder tous les jours mais aussi parce qu'il me permet de participer à la cohésion sociale, déclare Eric Le Lay. C'est enthousiasmant de savoir que, si nous faisons bien notre métier, nous protégeons un grand nombre de personnes pour leur retraite et leur santé ».
Après des études scientifiques (Bac C suivi d'une prépa math sup / math spé) et le diplôme de l'ENSAI (Ecole nationale de la statistique et de l'analyse de l'information) en poche, Michel Gerbod part en 1975 au Cameroun.
Jeune étudiant, Henri Jacks avait l'ambition de devenir chercheur. Il décroche ainsi le diplôme de Institut de statistique de Paris (I.S.U.P) ainsi qu'un doctorat en mathématiques et un diplôme d'actuaire. Mais sur les bancs de la fac, ce matheux décide de changer d'horizon. « J'ai pris conscience très vite que je préférais travailler pour le secteur privé », se souvient-il.
Didier Bonneau est depuis toujours sensible aux problématiques du développement durable. Cette sensibilité semble d'ailleurs avoir servi de fil conducteur à sa carrière « Avant d'entrer dans le secteur de la protection sociale, j'ai travaillé pendant 20 ans dans un grand groupe international, précise-t-il.
Avant d'arriver à l'OCIRP fin 2002, Julien Le Louët a commencé sa carrière dans le monde bancaire. Les questions financières m'ont toujours intéressé parce que la finance touche à de multiples champs de l'activité humaine, confie-t-il. Si l'on est curieux, c'est un métier très stimulant !