Nos articles d’actualité et d’analyse sur les grands évènements et décisions politiques susceptibles d’influer les marchés financiers et les principales économies (élections, guerre, remaniements, réformes etc.)
Cette année, plus encore que les précédentes, la (géo)politique soufflera le froid et le chaud sur les marchés, alors que les principaux scrutins restent incertains dans leurs conséquences.
La nomination d'Emmanuel Moulin comme directeur de cabinet du nouveau Premier ministre, Gabriel Attal, ouvre des questions sur l'avenir au gouvernement du patron de Bercy.
L’actuel ministre de l’Education nationale devient le plus jeune Premier ministre de la Vᵉ République. Le départ d’Elisabeth Borne avait été annoncé le 8 janvier au soir par le président de la République, Emmanuel Macron.
Le président Joe Biden a évoqué «un pas de plus pour éviter une fermeture administrative inutile». Mais les lignes de l’accord ne sont pas très claires.
Après quelques heures de prolongations, le sommet sur le climat accouche d'une déclaration prévoyant notamment une «transition vers l'abandon des combustibles fossiles dans les systèmes énergétiques».
Peut-on concilier climat et croissance ? Comme on pouvait s’y attendre, la question n’a pas été tranchée lors de la 3ᵉ édition des Rencontres de Bercy, le 5 décembre.
Au-delà des arbitrages réglementaires, le défi pour Londres et Paris semble être de retrouver des marges de manœuvre par rapport aux places non européennes.
En cas d'accord, le marché des crédits carbone relevant de l'article 6.4 de l'accord de Paris pourrait voir le jour dès 2024, favorisant alors la relance du marché des crédits volontaires.
La COP 28 s’inscrit dans le sillage de la publication par les Nations unies du premier bilan mondial des progrès accomplis vers les objectifs de l’Accord de Paris. Cet exercice se fonde sur le sixième rapport d'évaluation du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (Giec), qui indique notamment que les efforts collectifs visant à maintenir le réchauffement climatique à un niveau inférieur à 2°C restent très insuffisants, augmentant par là-même les risques de déclenchement de points de basculement. Le rapport du Giec souligne également que les flux d’investissement destinés à réduire les émissions et améliorer la résilience au changement climatique devraient être trois à six fois plus importants qu’aujourd’hui.
Economiste et ancien présentateur de télévision, Javier Milei a notamment annoncé vouloir fermer la banque centrale et abandonner le peso au profit du dollar.
Les parlementaires américains se sont entendus sur un projet de budget provisoire, permettant d'éviter une fermeture partielle des administrations en fin de semaine.
Dimanche 19 novembre, les Argentins devront choisir entre la continuité avec Sergio Massa, et le saut dans l'inconnu avec l'ultralibéral Javier Milei. Les marchés craignent une forte dévaluation du peso.