Nos articles d’actualité et d’analyse sur le financement des entreprises par dette obligataire (marché primaire, DCM, obligations hybrides) ou bancaire.
Les actualités et l’analyse du secteur pétrolier, son marché, ses prix (Brent, WTI), ses acteurs institutionnels (OPEP, AIE, EIA) et ses entreprises (BP, Chevron, Eni, Exxonmobil, Shell, TotalEnergies). De l’exploration-production de pétrole (onshore, offshore, schiste) à la distribution en passant par le raffinage.
Le géant de l'énergie a enregistré une baisse de son profit net en 2024, à 18,3 milliards de dollars. Il maintient ses rachats d'actions à 2 milliards de dollars par trimestre et réduit légèrement son enveloppe d'investissements.
Après une dynamique positive en 2024, les économies émergentes ont encore des raisons d’être optimistes quant à leur croissance en 2025, selon des économistes. Sous réserve d’effets sévères liés aux mesures américaines.
Alors que son résultat net trimestriel a baissé de moitié d’un an sur l’autre, le groupe d’hydrocarbures poursuit ses rachats d’actions et augmente son dividende.
Le cours du brut a repris des couleurs en ce début d’année, bien aidé par de nouvelles sanctions américaines contre la Russie. Mais l’arrivée au pouvoir de Donald Trump et les fondamentaux risquent de peser d’ici à fin 2025.
Si Exxon Mobil et Chevron restent minimalistes dans leur décarbonation, des divergences sont apparues parmi les grands acteurs européens depuis trois ans.
Mis sous pression par la baisse du prix du pétrole ces derniers mois, le cartel des pays exportateurs devrait bénéficier d’une année plus tranquille. A plus long terme, les tensions ne manqueront pas toutefois de refaire surface.
De l’ordre de 40% des ressources de la planète en pétrole sont situés au Moyen Orient et l’Opep+ pèse plus de 50%. Découvrez la carte du monde des réserves prouvées d’or noir.
Pénalisé par le repli de sa production d’hydrocarbures et de ses marges de raffinage, l'énergéticien enregistrera une dépréciation comprise entre 1 milliard et 2 milliards de dollars.
La nouvelle de sanctions renforcées des Etats-Unis contre le pétrole russe tombe mal, au moment où Donald Trump veut annoncer des mesures inflationnistes, qui font monter le dollar et les taux. Mais l’hypothèse de voir perdurer dans le temps ces choix politiques ainsi que les cours du dollar et les taux élevés apparaît difficile à envisager.
Les Etats-Unis ont annoncé de nouvelles mesures pour réduire la capacité du Kremlin à tirer des revenus de la vente d’or noir, afin d’inciter le pays à stopper sa guerre en Ukraine.
Le producteur de tubes pour l'industrie pétrolière a réduit son endettement de plus de 240 millions d'euros au quatrième trimestre. Il prévoit toujours de verser son premier dividende depuis dix ans cette année.
Les perspectives économiques moroses ont alimenté les inquiétudes de baisse des cours liées à une offre excédentaire d’or noir. L’approvisionnement de l’Europe en gaz naturel pourrait être un problème inverse.
Les places asiatiques hors Japon ont terminé en hausse. La Reserve Bank of Australia (RBA) n’a toujours pas baissé son taux directeur, et les prix de l’énergie ont évolué en hausse, grâce aux bonnes nouvelles venues des Etats-Unis pour le pétrole, à cause du froid et du risque d’approvisionnement pour le gaz naturel européen.
Le président élu a déclaré que si l’Europe n’augmentait pas ses importations de gaz et de pétrole américains, cela aurait des répercussions sur les droits de douane.
A partir de 2026, le pétroler va investir entre 28 et 33 milliards de dollars par an et compte générer un surplus de profits de 20 milliards de dollars d’ici la fin de la décennie.
Ses actifs d’hydrocarbures en mer du Nord fusionneront avec ceux du norvégien Equinor au sein d’une coentreprise. Le groupe britannique scindera en outre ses activités dans l’électricité.
Les pressions sur le cours du pétrole obligent le cartel des pays exportateurs à décaler une nouvelle fois le moment où il remettra des barils sur le marché. Il vise désormais avril 2025.
Le producteur local GeoPark reprendra ces activités pour 530 millions de dollars, ce qui permettra à. l’énergéticien espagnol de financer une part de ses investissements dans les renouvelables.
Les membres du cartel doivent décider d’augmenter, ou non, leur production en janvier alors que les prix de l’or noir restent sous pression. Un maintien du statu quo semble le plus probable mais ne réglera pas les problèmes fondamentaux de l’Opep+.