Toute l’actualité du secteur bancaire – banque de détail, banque d’investissement, réglementation – et de ses principaux acteurs, qu’ils soient capitalistes (BNP Paribas, la Société Générale), étrangers (JPMorgan, Bank of America, Goldman Sachs, Credit Suisse, Deutsche Bank, HSCB), mutualistes (le Crédit Agricole, Crédit Mutuel, BPCE) ou même publics (la Banque Postale). Nos analyses des grandes tendances du domaine.
Nos articles d’actualité et d’analyse sur les économies et marchés (croissance, politique monétaire, indices boursiers) des pays dits émergents, soit la Chine, l’Inde, le Brésil, la Russie, l’Afrique du Sud, et des pays en voie de développement.
Leur progression depuis janvier se rapproche de 6%, dans l’ombre des actions européennes, mais loin devant les américaines qui attiraient tous les regards en début d’année.
La devise, les actions et les taux se stabilisent lundi malgré une situation politique tendue après l'incarcération du principal opposant au président turc.
La banque centrale brésilienne a relevé pour la troisième fois son principal taux directeur de 100 points de base, à 14,25%, alors que les anticipations d’inflation sont désancrées, en raison notamment de la situation budgétaire. Elle indique de futures hausses de moindre ampleur.
Le positionnement extrême à l’achat sur ce marché a exacerbé la correction après l’annonce de l’arrestation du maire d’Istanbul, le principal opposant du président turc. La banque centrale a dû intervenir sur le change. Certains investisseurs continuent de croire à la belle histoire économique.
Amundi a annoncé le lancement d’un nouveau fonds, Amundi Funds – India Equity Contra, créé en partenariat avec son partenaire local, State Bank of India Funds Management (SBI FM). Le véhicule adopte une approche contrariante, ciblant des actions indiennes value qui se négocient en dessous de leur valeur intrinsèque. Il permet également d’investir dans des actions qui ne font pas partie des principaux indices ni couvertes par la recherche sell-side. Le marché indien des grandes capitalisations est globalement sous-évalué par rapport aux petites et moyennes valeurs, et un bon nombre d’investisseurs table désormais sur une revalorisation de ces titres.
Les actions indonésiennes ont accentué mardi leur chute à plus de 20% depuis leur pic de septembre dernier alors que les investisseurs s’inquiètent de l’économie et de la trajectoire budgétaire.
Le prince héritier Mohammed Ben Salman met en place son plan de transformation du pays à la fois sociale, sociétale et économique. Un projet qui passe aussi par le «soft power» et la diplomatie.
Les taux et le rand sont de nouveau sous pression face à la difficulté du gouvernement de coalition à voter un budget. La politique commerciale américaine pèse également sur le pays.
L’économiste responsable des pays émergents et de la géopolitique à la direction des études économiques de Crédit Agricole SA nous donne ses clés pour essayer de comprendre la situation géopolitique mondiale.
Le principal indice du pays a perdu près de 10% ces six derniers mois. Mais le virage budgétaire et monétaire devrait relancer la consommation interne, principal moteur de la croissance.
Le scandale autour du meme coin Libra, qui secoue le président argentin Javier Milei, est un coup dur avant les élections de mi-mandat cet automne et surtout pour poursuivre les réformes qui doivent asseoir ses réussites économiques.
Les actions polonaises affichent l’une des meilleures performances cette année avec un gain de près de 20%. Elles profitent de l’espoir de cessez-le-feu en Ukraine mais aussi d’un rattrapage sur des valorisations basses.
Les taxes douanières évoquées par le président Donald Trump restent compliquées à évaluer, probablement assez élevées, surtout si elles sont «égalisées» avec des barrières non douanières comme la TVA. Les investisseurs n’y croient pas tellement, notamment parce qu’elles seraient coûteuses pour les Etats-Unis, et continuent à acheter des taux et des actions.
L’agence Moody’s pourrait dégrader la note de crédit de la Banque mondiale et d’autres créditeurs internationaux si les Etats-Unis coupaient leur financement.
Le changement surprise du gouverneur de la RBI en décembre avait été accueilli par les marchés comme le signal d’une accélération du calendrier monétaire.
Après une dynamique positive en 2024, les économies émergentes ont encore des raisons d’être optimistes quant à leur croissance en 2025, selon des économistes. Sous réserve d’effets sévères liés aux mesures américaines.