Toute l’actualité du secteur bancaire – banque de détail, banque d’investissement, réglementation – et de ses principaux acteurs, qu’ils soient capitalistes (BNP Paribas, la Société Générale), étrangers (JPMorgan, Bank of America, Goldman Sachs, Credit Suisse, Deutsche Bank, HSCB), mutualistes (le Crédit Agricole, Crédit Mutuel, BPCE) ou même publics (la Banque Postale). Nos analyses des grandes tendances du domaine.
Nos articles d’actualité et d’analyse portant sur l'évolution des marchés des principaux métaux précieux (or, argent, platine etc.) et sur les grandes entreprises actives dans le domaine.
Le mois de mars a été marqué par l’accélération de la politique douanière américaine, avec des conséquences pour l’ensemble des places boursières. L’or sort grand gagnant de cette période d’incertitude.
Les stratégistes du secteur bancaire ont commencé à revoir leurs prévisions de bénéfices et leurs objectifs sur les indices mais ni eux, et encore moins les marchés, n’intègrent déjà le risque d’une stagflation ou d’une récession provoquée par une guerre commerciale.
Les cours du cuivre ont atteint des records mercredi sur les marchés américains. Ils ont baissé à Londres dans le même temps, accentuant la dislocation du marché au niveau mondial.
Le métal jaune a progressé de près de 15% depuis le début de l’année soutenu par les conséquences d’une guerre commerciale mais aussi par les achats des banques centrales.
Les droits de douane de 25% sur l’acier et l’aluminium entrent en vigueur ce mercredi. La crainte d’une taxe sur d’autres métaux, dont le cuivre et l’or, a provoqué des achats de précaution vers les Etats-Unis, avec une dislocation des prix.
L’incertitude politique et les craintes de l’effet inflationniste des mesures tarifaires ont profité au métal jaune. L'anticipation d’une hausse des taxes douanières pour l’or, ainsi que pour l’argent, a provoqué des mouvements majeurs sur le marché.
Le risque d’une escalade après le changement de doctrine nucléaire de la Russie et le lancement de missiles longue portée américains par l’Ukraine ont entraîné une aversion pour le risque et la recherche d’actifs refuge. Mais le marché ne semble pas paniquer.
Le métal jaune a dépassé pour la première fois les 2.700 dollars l'once vendredi 18 octobre. Les marchés de futures et la plupart des stratégistes l’attendent au-dessus de 2.850 dollars dans les prochains mois. Même si cela entraîne un niveau de volatilité presqu’aussi élevé que pour les actions.
Les experts le répètent, mais l’opinion publique semble avoir du mal à se faire à cette idée, réticente qu'elle est à voir de telles activités extractives faire un retour massif sur le sol européen. Des issues existent cependant pour ces matières premières plus durables que les énergies fossiles.
Le président-fondateur d’Infravia Capital Partners revient sur les raisons et les enjeux qui ont conduit à sa société d’investissement à lancer le Fonds dédié aux Métaux critiques (FMC) avec le soutien de l’Etat.
Le délégué interministériel aux approvisionnements en minerais et métaux stratégiques (DIAMMS), ancien directeur adjoint du cabinet de Jean Castex à Matignon, décrit les missions de coordination et de soutien qui lui ont été confiées à cette fin.
Les stratégistes de Goldman Sachs estiment que le rallye sur le cuivre est repoussé «après 2025». Mais ils maintiennent leur vision d’une croissance structurelle de la demande de métaux de transition à long terme.
Après un record à 2.484 dollars/once mercredi, certains spécialistes sont persuadés de voir le métal jaune profiter de taux réels plus bas à court terme, et de meilleurs fondamentaux ensuite. Les marchés de futures n’en sont pas encore complètement certains.
La division du groupe TP Icap, spécialisée sur les matières premières, souhaite devenir incontournable sur les métaux utiles à la production des batteries électriques.
Le métal jaune a atteint vendredi un nouveau record, malgré la hausse des taux américains et du billet vert, à plus de 2.400 dollars l’once, propulsé par l'escalade entre Israël et l’Iran. Pour le pétrole, les marchés se montreront attentifs aux risques d'escalade qui alimenteraient le regain des cours du brut.
Les investissements sur le cuivre, l’aluminium, l’or et le pétrole devraient connaître les meilleurs rendements. Certains, comme chez Goldman Sachs, parlent à nouveau de «supercycle».