Apple compte lancer un emprunt obligataire en quatre tranches, selon un prospectus déposé hier auprès des autorités boursières américaines. Les obligations proposés sont à échéance 2023, 2025, 2030 et 2050. Le montant visé n’est pas précisé dans le document. Ces fonds pourraient servir à financer des rachats d’actions ou au paiement du dividende, indique le groupe de produits électroniques. La dernière émission obligataire d’Apple remonte à fin 2019. Cette nouvelle émission sera pilotée par Goldman Sachs, BofA Securities, JPMorgan et Morgan Stanley.
Apple prévoit de lancer, lundi, un emprunt obligataire en quatre tranches, selon un prospectus déposé auprès des autorités boursières américaines. Les obligations proposés sont à échéance 2023, 2025, 2030 et 2050. Le montant visé n’est pas précisé dans le document. Ces fonds pourraient servir à financer des rachats d’actions ou au paiement du dividende, indique le groupe de produits électroniques.
Fitch Ratings a abaissé mercredi sa note sur l’Italie à BBB-, évoquant l’impact de la crise du coronavirus sur l'économie italienne déjà lourdement endettée. La perspective est néanmoins stable. Moody’s attribue également une note Baa3 à la limite du junk bonds avec une perspective stable. Vendredi dernier, Standard and Poor’s a maintenu sa note de crédit pour l’Italie à BBB avec une perspective négative. Vendredi 8 mai, Moody’s doit publier sa nouvelle évaluation sur la note italienne.
Le coût total du dispositif de chômage partiel pour la période courant jusqu'à fin mai est désormais estimé autour de 24 milliards d’euros, dont 7,7 milliards pour l’Unédic. La situation financière de l’organisme paritaire assurant la gestion l’assurance chômage, déjà très endetté, devrait se dégrader d’autant qu’au chômage partiel s’ajoute l’augmentation des dépenses d’indemnisation de chômage et la baisse des recettes. Ses dépenses d’indemnisation chômage devraient s’accroître pour la période mars-mai (plus de 1,1 milliard) tandis que ses recettes vont baisser. Sa trésorerie est également pénalisée par les reports des échéances de paiement de cotisations accordés aux entreprises en difficultés de l’ordre de 3,5 milliards.
Les rendements de la dette italienne se tendent ce matin après l’annonce de la rétrogradation de sa note de crédit par Fitch Ratings. L’agence de notation a abaissé sa note à BBB-, évoquant l’impact de la crise du coronavirus sur l'économie italienne déjà lourdement endettée. Cette décision intervient hors de tout calendrier (la prochaine publication sur l’Italie par cette agence était prévue le 10 juillet). Fitch est la deuxième agence à placer l’Italie à la limite du high yield. La perspective est néanmoins stable. Moody’s attribue également une note Baa3 à la limite du junk bonds avec une perspective stable. Vendredi dernier, Standard and Poor’s a maintenu sa note de crédit pour l’Italie à BBB avec une perspective négative.
Le coût total du dispositif de chômage partiel pour la période courant jusqu'à fin mai est désormais estimé autour de 24 milliards d’euros, dont 7,7 milliards pour l’Unedic. La situation financière de l’organisme paritaire assurant la gestion l’assurance chômage, déjà très endetté, devrait se dégrader d’autant qu’au chômage partiel s’ajoute l’augmentation des dépenses d’indemnisation de chômage et la baisse des recettes.
Le Debt Management Office (DMO), l’organisme qui gère la dette britannique (DMO), a annoncé hier qu’il prévoyait d'émettre 180 milliards de livres (202 milliards d’euros) de dettes entre mai et juillet pour financer les mesures sans précédent de soutien à l'économie annoncées le mois dernier. Le DMO prévoyait précédemment d'émettre des emprunts à hauteur de 156,1 milliards de livres entre avril 2020 et mars 2021. «Ce volume d'émission plus élevé ne devrait pas être nécessaire pour le reste de l’exercice financier», a déclaré le ministère britannique des Finances. L’actualisation du programme d’adjudications de dette sera annoncée le 29 juin.
Les émissions nettes des pays de la zone euro pourraient atteindre 1.000 milliards d'euros cette année. Un défi pour la BCE, et plus encore pour les teneurs de marché.
Le Debt Management Office (DMO), l’organisme qui gère la dette britannique (DMO), a annoncé jeudi qu’il prévoyait d'émettre 180 milliards de livres (202 milliards d’euros) de dettes entre mai et juillet pour financer les mesures sans précédent de soutien à l'économie annoncées le mois dernier.
L’Italie a enregistré, mardi matin, une forte demande pour deux émissions d’emprunts publics (BTP) à 5 ans et 30 ans sur le marché primaire obligataire. L’intérêt des investisseurs a dépassé les 68 milliards d’euros pour ces deux opérations. L’émission à 5 ans, offerte avec une prime d’environ 24 points de base (pb), enregistre 40 milliards de demandes. L’émission à 30 ans se fait sur la ligne 2,45% 2050 déjà existante. Elle recueille 28 milliards de demandes, avec un spread d’environ 12 pb. Ces émissions se sont déroulées dans le cadre d’une syndication bancaire à laquelle participaient Banca IMI, BoA Securities, Deutsche Bank, JPMorgan, Nomura et SG CIB.
Une lueur d’espoir sur le front de la zone euro où les questions de financement de la sortie de crise demeurent ? L’Italie a enregistré, mardi matin, une forte demande pour deux émissions d’emprunts publics (BTP) à 5 ans et 30 ans sur le marché primaire obligataire. L’intérêt des investisseurs a dépassé les 68 milliards d’euros pour ces deux opérations. L’émission à 5 ans, offerte avec une prime d’environ 24 points de base (pb), enregistre 40 milliards de demandes. L’émission à 30 ans se fait sur la ligne 2,45% 2050 déjà existante. Elle recueille 28 milliards de demandes, avec un spread d’environ 12 pb. Ces émissions se sont déroulées dans le cadre d’une syndication bancaire à laquelle participaient Banca IMI, BoA Securities, Deutsche Bank, JP Morgan, Nomura et SG CIB.
Des gestionnaires d’actifs détenteurs d’une partie de la dette de l’Argentine ont rejeté lundi la proposition de restructuration présentée la semaine dernière par Buenos Aires. Le gouvernement argentin a proposé d’alléger de 41,5 milliards de dollars sa dette, avec une réduction drastique (62%) de ses intérêts, soit une économie de 38 milliards de dollars, et une baisse de 5,4% de la valeur faciale de la dette.
Le groupe suédois de télésurveillance Verisure est la première entreprise high yield (HY) à émettre sur le marché euro depuis près de deux mois. L’annonce par la Réserve fédérale américaine d’inclure dans son programme de rachat de dette corporate certaines obligations HY (fallen angels) et des ETF HY a déverrouillé ce marché. Verisure a émis 200 millions d’euros (150 millions initialement prévus) d’obligations à 5 ans (avec un premier call à un an) à taux variable. Le coupon ressort à Euribor 3 mois plus 500 points de base. L’obligation a été placée à 99,5% du pair (dans le haut de la fourchette initiale 99%-99,5%).
Le groupe suédois de télésurveillance Verisure est la première entreprise high yield (HY) à émettre sur le marché euro depuis près de deux mois. L’annonce par la Réserve fédérale américaine d’inclure dans son programme de rachat de dette corporate certaines obligations HY (fallen angels) et des ETF HY a déverrouillé ce marché, notamment le primaire aux Etats-Unis. Le marché européen en profite mais plus prudemment.