Toute l'actualité de l'entreprise dirigée par Elon Musk, valorisée plusieurs centaines de milliards de dollars en Bourse et spécialisée dans les véhicules électriques.
Les volumes en investment grade ont augmenté de 33% sur les six premiers mois de l'année tandis que les émissions high yield atteignent le montant émis sur la totalité de 2023, malgré la crise politique en France.
Les places boursières européennes ont marqué le coup en juin tandis que Wall Street poursuit son rebond grâce aux valeurs technologiques. Les taux restent focalisés sur l’inflation et les banques centrales.
Les actifs les plus affectés par le risque politique en France se sont repris lundi, avec la perspective d’une absence de majorité absolue pour le NFP ou le RN. Le spread de la dette souveraine s’est détendu. Mais le doute demeure sur la pérennité de ce rebond technique.
L’ajustement des perspectives de taux aux Etats-Unis et la force du dollar ont pénalisé les dettes émergentes. Les actions sous-performent les marchés développés.
Alors que le post-marché revient au centre des préoccupations, Guillaume Eliet, CEO d’Euroclear ESES (Euroclear France, Euroclear Belgium, Euroclear Nederland) et Caroline Derocle, senior product manager d’Euroclear Group, donnent leur point de vue sur les dossiers CMU et T+1.
Dans son rapport annuel, le Club de Paris note des signaux mixtes de pays toujours endettés, mais avec un accès au marché pour certains. Le processus de restructuration, notamment le Cadre commun, doit encore s’améliorer.
La volatilité et l’incertitude pourraient durer quelque temps autour des banques françaises, dont les spreads s'écartent. Mais les investisseurs ne semblent pas avoir trop d’inquiétudes à plus long terme.
La corrélation entre les deux classes d’actifs reste aujourd'hui positive. Les actions embarquent aussi beaucoup de duration. Une protection via les options serait plus efficace.
Les émetteurs tricolores représentent autour de 20% à 25% des indices, voire davantage dans les dettes subordonnées financières. La corrélation au spread OAT est aussi élevée. Le marché corrige.
Le Bureau en charge du budget américain a publié mardi des projections économiques et budgétaires à dix ans remises à jour. L’inquiétude et les débats portent avant tout sur 2024.
Jeudi l’Agence France Trésor a pu émettre quasiment les 10,5 milliards d’euros d'OAT à moyen terme qu’elle voulait lever, et dans des conditions correctes.
Outre une inflation encore assez faible, la BNS a ressenti le besoin de freiner la hausse du franc suisse dans le contexte d’«incertitudes politiques en Europe».
L'incertitude politique en France remet un coup de projecteur sur l’écartement des taux et le risque de fragmentation de l’Union monétaire. L’Eurosystème semble néanmoins plus apte à intervenir sur les taux italiens que sur les taux français dans la configuration de 2024.
La hausse des prix a accéléré le mois dernier dans les pays de la zone monétaire pour atteindre 2,6%. L'écart entre les taux souverains allemand et français réagit peu.
La hausse des «spreads» français et italiens survient en plein milieu d’une période intense en volumes d'émissions nettes de dettes souveraines. Et ce, alors que la Banque centrale européenne (BCE) réduit son soutien aux Etats.
Le marché primaire de la dette corporate est resté ouvert mais les émetteurs ont dû concéder des primes d’émissions. Vendredi les spreads s’écartaient vivement sur les marchés dérivés.