Nos articles d’actualité et d’analyse sur l’évolution des Bourses, sur les dynamiques à l’oeuvre sur les marchés actions et sur les principales opérations (augmentation de capital, émissions d’actions...).
Le capital risque européen a réalisé l’an dernier des levées de fonds pour un montant record de 6,4 milliards d’euros, son plus haut niveau depuis 2007, selon une étude publiée ce 11 juillet par Invest Europe, l’association européenne du capital investissement. Près de 10% de ces capitaux émanent d’investisseurs institutionnels nord-américains, souligne l'étude ( «The Acceleration Point: Why Now is the Time for European Venture Capital»). Selon les données de l’association, la taille des fonds de capital risque est en train d’augmenter, 13 fonds ayant levé plus de 100 millions d’euros l’an dernier. Cette tendance devrait se poursuivre cette année en raison du nouveau fonds de fonds de 400 millions d’euros soutenu par l’Union européenne destiné à faciliter la croissance des investisseurs de la part des grands institutionnels. Les capitaux levés l’an dernier ont été investis à hauteur de 44% dans des sociétés spécialisées dans les technologies de l’information et de la communication, contre 27% investis dans les biotechs et les sociétés spécialisées dans la santé. Le reliquat a été investi dans des sociétés spécialisées dans l'énergie, les services financiers, les produits de consommation ou encore les services d’affaires. «Les valorisations de sociétés étant inférieures à celles observées aux Etats-Unis et en Asie, les fonds de capital risque européens devraient attirer de plus en plus de capitaux au cours des cinq à dix prochaines années. Il est donc temps pour les investisseurs internationaux de saisir les meilleures opportunités disponibles», estime Nenad Marovac, vice-président d’Invest Europe et par ailleurs créateur et managing partner de la société de capital risque DN Capital.
Les acteurs de la Place de Paris se mobilisent dans le domaine de la blockchain. BNP Paribas, Caceis, la Caisse des Dépôts, Euroclear, Euronext, S2iEM (géré par OFI AM) et Société Générale, avec le soutien de Paris Europlace, ont en effet annoncé, hier, la création de la fintech européenne LiquidShare. Née d’un partenariat lancé en juin 2016 par ses actionnaires, cette nouvelle start-up indépendante va développer une infrastructure blockchain post-marché pour le segment des petites et moyennes entreprises (PME). Cette jeune société a pour ambition d’améliorer l’accès des PME aux marchés de capitaux, en facilitant la sécurité et la transparence des opérations de post-négociation grâce à la technologie blockchain. A terme, la solution vise à poursuivre la réduction des coûts de transaction.Installée prochainement dans un incubateur parisien, dont le nom n’a pas été dévoilé, LiquidShare emploiera divers profils pour mener à bien son projet. La société est dirigée par Thibaud de Maintenant en qualité de directeur général. Par ailleurs, Anthony Attia, membre du directoire d’Euronext, est nommé président du conseil d’administration de LiquidShare.
Euroclear a annoncé, ce 10 juillet, la mise en place d’un nouveau groupe de travail dont la mission est d’élaborer une feuille de route innovante visant à développer et améliorer le modèle français de distribution de fonds pour les investisseurs nationaux et internationaux. Ce groupe de travail, présidé par le cabinet de conseil Ailancy, rassemblera des experts d’institutions financières majeures dans le domaine de la gestion des fonds, précise le dépositaire dans un communiqué.De fait, des représentants d’établissements « buy-side », « sell-side », d’infrastructures de marché et d’associations professionnelles examineront la manière dont les nouvelles technologies – telles que la blockchain – peuvent apporter une valeur ajoutée à l’industrie des fonds. Début 2018, le groupe de travail envisage de publier un rapport présentant un plan concret pour renforcer davantage les infrastructures des fonds. Euroclear est déjà partie prenante à l’initiative FROG (« French Routes and Opportunities Garden »). « Cette collaboration a donné plusieurs initiatives de marché, notamment le récent lancement d’Euronext Funds Service et des changements législatifs permettant de rendre le modèle français de distribution de fonds plus accessible pour les investisseurs », rappelle Euroclear.La mise en place de ce groupe de travail bénéficie du soutien de la place de Paris, notamment de l’Association française de la gestion financière (AFG) et du groupe « FROG », présidé par Didier Le Menestrel. « Toute initiative soutenant l’ambition et portant l’excellence de la gestion d’actifs française au-delà des frontières est positive », s’est ainsi félicité Didier Le Menestrel, cité dans le communiqué. Le discours est à l’avenant chez Eric Pinon, président de l’AFG : « Dans la compétition que se livrent les places financières, toutes améliorations des processus qui visent à accroître la visibilité et la distribution des fonds d’investissement français à l’étranger, ainsi qu’à renforcer la connaissance des clients sont activement soutenus par l’AFG. »
Les fonds commercialisés en Suède ont enregistré sur les six premiers mois de l’année des souscriptions nettes de 59,5 milliards de couronnes suédoises, soit plus de 6 milliards d’euros, montrent les dernières statistiques de l’association suédoise des fonds Fondbolagens Förening. Sur le seul mois de juin, les fonds suédois ont levé 9,8 milliards de couronnes suédoises.Depuis le début de l’année, la collecte a été particulièrement forte sur les fonds actions, qui ont enregistré des entrées nettes de 25,6 milliards de couronnes, malgré des rachats de 1 milliard de couronnes en juin. Les fonds diversifiés et obligataires ont quant à eux drainé respectivement 17,8 milliards de couronnes et 13,4 milliards de couronnes sur six mois. A fin juin, les fonds commercialisés en Suède affichaient des encours de 3.817 milliards de couronnes suédoises, soit 397 milliards d’euros, dont 58 % en fonds actions.
L’appétit pour le risque diminue. En cette première semaine de juillet, les investisseurs s’interrogeaient notamment sur les projets de la Banque centrale européenne qui semble vouloir mettre un terme à son programme d’assouplissement quantitatif. Les fonds dédiés aux actions, toutes zones géographiques confondues, ont encore engrangé près de 3 milliards de dollars durant la semaine au 5 juillet mais les fonds d’actions européennes ont subi des rachats nets, de 0,5 milliard de dollars, pour la première fois depuis quinze semaines, selon l'étude hebdomadaire de Bank of America Merrill Lynch qui reprend des données du spécialiste de l'évolution des flux dans le monde EPFR Global.Dans le sillage des semaines précédentes, les fonds dédiés aux actions américaines ont enregistré des sorties nettes de 4,7 milliards de dollars. Les fonds d’actions émergentes ont perdu de leur dynamique mais ont encore attiré 0,4 milliard de dollars durant la semaine sous revue. Les fonds spécialisés sur les actions japonaises ont de leur côté engrangé 0,9 milliard de dollars malgré la vigueur du yen et les tensions avec la Corée du Nord. Côté obligataire, la semaine s’est conclue sur une collecte nette de 3,9 milliards de dollars. Les fonds d’obligations en catégorie d’investissement («investment grade») enregistrent une vingt-huitième semaine de flux nets positifs, pour un montant de 5,7 milliards de dollars. En revanche, les fonds dédiés aux obligations à haut rendement ont subi des sorties nettes de 1,4 milliard de dollars tandis que les fonds de dette émergente affichent une collecte nette de 0,7 milliard de dollars, enregistrant ainsi une vingt-troisième semaine consécutive de flux nets positifs.
Les fonds smart beta sont en passe d’atteindre les 1.000 milliards de dollars d’encours cette année, selon le Financial Times, qui cite des chiffres de Morningstar. Les encours sous gestion dans les fonds smart beta ont augmenté d’environ 30 % par an depuis 2012 à 866 milliards de dollars.
Euronext a annoncé ce matin la finalisation de l’acquisition de 60% du capital d’iBabs, une société néerlandaise spécialisée dans la simplification de l’organisation de réunions, pour 30,1 millions d’euros. L’entreprise qui propose de dématérialiser tous les documents nécessaires à la tenue de réunions a généré un chiffre d’affaires de 5,9 millions d’euros en 2016 et réalisé une marge de 64% avec un excédent brut d’exploitation (EBITDA) de 3,8 millions d’euros. La société, qui revendique près de 1.000 clients en juin 2017, a enregistré une croissance de son chiffre d’affaires de 29% sur un an, au premier semestre de cette année.
Les actions Fimalac qui n’ont pas été apportées à l’offre de Marc de Lacharrière feront l’objet d’une procédure de retrait obligatoire, a indiqué vendredi l’Autorité des marchés financiers (AMF) dans un avis. L’opération se fera au prix de 131 euros par action, identique à celui de l’offre d’achat simplifiée de Groupe Marc de Lacharrière (GML), la société d’investissement de l’homme d’affaires. A l’issue de cette offre, GML détenait directement et indirectement 97,06% du capital et 96,78% des droits de vote de Fimalac. Le retrait interviendra le 17 juillet.
Les actions Fimalac qui n’ont pas été apportées à l’offre de Marc de Lacharrière feront l’objet d’une procédure de retrait obligatoire, indique aujourd’hui l’Autorité des marchés financiers (AMF) dans un avis. L’opération se fera au prix de 131 euros par action, identique à celui de l’offre d’achat simplifiée de Groupe Marc de Lacharrière (GML), la société d’investissement de l’homme d’affaires. A l’issue de cette offre, GML détenait directement et indirectement 97,06% du capital et 96,78% des droits de vote de Fimalac. Le retrait interviendra le 17 juillet.
Vingt-cinq sociétés de gestion ont demandé à Mercer de réaliser un « inventaire » de leurs effectifs afin d’étudier la diversité de leurs employés et corriger tout déséquilibre dans leurs pratiques de recrutements, rapporte Financial News. Les résultats de l’enquête seront publiés en septembre et s’annoncent « mauvais » selon Helena Morrissey, qui dirige le Diversity Projet, à l’origine de ce projet. « Les résultats seront mauvais, nous le savons, mais le sondage nous donnera un état des lieux indéniable et sans équivoque. Nous pourrons dire ensuite : voici ce qui existe et voilà ce que nous allons faire », indique—t-elle.
Les hedge funds commencent à dégager des bénéfices une fois que les encours ont dépassé 86 millions de dollars en moyenne. Et même, plus d’un tiers des fonds émergents atteignent le seuil de rentabilité avec seulement 50 millions de dollars, voire moins, montre une étude intitulée « Alive & Kicking : The next generation of hedge fund firms » publiée jeudi par l’Alternative Investment Management Association et GPP. Cette enquête a été menée auprès de 135 gestionnaires « émergents » gérant moins de 500 millions de dollars chacun. Ces hedge funds représentent 16 milliards de dollars d’actifs.« Il s’agit d’une découverte importante car d’autres sondages –sur l’industrie dans son ensemble – suggèrent que le seul de rentabilité est de plusieurs centaines de millions de dollars », commente Jack Inglis, CEO de l’AIMA, dans l’avant-propos de l’étude. En termes de stratégies, ce sont les hedge funds macro qui ont le plus de mal à atteindre le point mort (il faut arriver à 132 millions de dollars d’encours). L’équilibre est plus abordable pour les hedge funds spécialisés dans le crédit (77 millions de dollars).L’étude montre enfin que plus de 80 % des hedge funds prévoient d’augmenter leurs effectifs sur les 12 prochains mois. Ces projets d’expansion concernent principalement les hedge funds gérant du long/short actions, de l’event driven et des fonds multi-stratégies.
Les 20 principales sociétés de gestion en Chine ont dégagé en moyenne une marge nette de rentabilité de 30,8 % en 2016, contre 30,4 % en 2015, selon une étude de Cerulli Associates sur la gestion d’actifs en Chine en 2017. Le « profit yield » moyen, qui mesure combien les sociétés de gestion gagnent en points de base pour chaque dollar qu’ils gèrent, est ressorti à environ 28,3 points de base, contre 28,3 % en 2015.Ainsi, malgré le ralentissement de la croissance des encours sous gestion en 2016, les sociétés de gestion de fonds en Chine ont affiché des bénéfices stables. Six sociétés de gestion ont toutefois publié des résultats nets de plus de 1 milliard de renminbi (soit 145 millions de dollars) en 2016. La première d’entre elles est ICBC Credit Suisse Asset Management avec 1,6 milliard de renminbi, suivie de Tianhong Asset Management (1,5 milliard). Les institutions bancaires continuent de jouer un rôle important dans la croissance des revenus et des résultats des sociétés de gestion. « Parmi les 20 principaux gestionnaires d’actifs, ceux qui sont adossés à des banques ont affiché une croissance annuelle des bénéfices remarquable de 48 % en moyenne, à comparer à une croissance de 2 % de leurs concurrents non bancaires », observe Miao Hui, analyste senior chez Cerulli. « Toutefois, les gestionnaires spécialisés dans les fonds structurés ont été les plus touchés l’année dernière en raison des contraintes réglementaires sur ces fonds ». Pour 2017, nombre de sociétés de gestion ont indiqué à Cerulli qu’ils prévoyaient de recruter davantage de commerciaux et d’améliorer leurs réseaux de distribution cette année, ce qui devrait avoir un impact sur les coûts d’exploitation en 2017. La réglementation et l’accroissement de la concurrence sont aussi des facteurs qui pourraient aussi contribuer à augmenter les coûts.
Inefficace, mal gérée et mal contrôlée. La TTF à la française, mise en place en 2012 par l’ancien gouvernement, a pris du plomb dans l’aile cette semaine. Le rapport cinglant de la Cour des comptes pourrait donner de bons arguments à la nouvelle législature pour remettre en cause la taxe sur les transactions financières. Déjà, le vote de la précédente concernant la prochaine mise en place de la taxe intrajournalière a été remis en cause aujourd’hui 7 juillet par les annonces du Premier ministre, Edouard Philippe. Serpent de mer depuis des années, le projet de TTF au niveau européen pourrait aussi battre de l’aile.En attendant, le monde de la gestion d’actifs continue d’avancer. L’utilisation de la Blockchain dans le secteur a pris une nouvelle dimension. Pour la première fois, des investisseurs ont réalisé une opération de souscription via la blockchain sur un fonds géré par Natixis Asset Management. Ce dernier était partie prenante pour des tests réalisés avec la plate-forme FundsDLT et Caceis.Côté investisseurs institutionnels, l’Ircantec s’est offert les services de CPR Asset Management pour améliorer la méthodologie de son filtre ESG (environnement, social et gouvernance) dans le portefeuille confié à ce dernier. La Caisse des dépôts a, elle, dévoilé sa décision de rapprocher ses gestions d’actifs, à savoir celles dédiées aux fonds d'épargne et à la section générale. Quant à CNP Assurances, la société a confié un mandat de gestion de 23 milliards de dollars à La Banque Postale AM, correspondant à des fonds propres.Côté acteur de la gestion, Amplegest, qui a enregistré une belle croissance l’an dernier et depuis le début de 2017, voit loin : la société de gestion a présenté un plan de développement pour 2020.Enfin, Warren Buffett s’est encore révélé un véritable génie de l’investissement : une plus-value potentielle de 12 milliards de dollars l’attend sur ses actions Bank of America.
Carmila, la foncière commerciale contrôlée par Carrefour, a annoncé hier avoir levé 578 millions d’euros grâce à l’augmentation de capital lancée le 25 juin dernier. Le montant de l’opération pourrait être porté à 632 millions d’euros si l’option de surallocation est exercée intégralement, a précisé la société immobilière dans un communiqué. Le règlement-livraison des titres, dont le prix a été fixé à 24 euros, est prévu lundi 10 juillet. A l’issue de l’opération, Carrefour conservera 35,7% du capital de Carmila, contre 42,4% auparavant.
Les sociétés de gestion ont introduit de nouveaux produits en Italie, mais surtout une énorme culture commerciale qui facilite une distribution meilleure et plus efficace de leurs produits, estime Alessandro Negri, responsable commercial de Symphonia SGR, qui s’exprimait à l’occasion d’une table ronde organisée par FundsPeople Italia. « Parfois, si on regarde dans le détail, de nombreuses stratégies de sociétés de gestion étrangères collectent extrêmement bien, alors qu’elles ont des performance en ligne, voire parfois inférieures, à celles des gérants italiens. Pour cela, ils combinent une forte orientation au résultat et à la performance à une excellente capacité à raconter une histoire. Leur budget marketing est souvent impressionnant, et ils ont des commerciaux bien préparés qui réussissent à se faire une brèche avec succès dans le monde de la distribution », poursuit Alessandro Negri. Pour lui, le succès à prendre en exemple est celui de la France. Grâce à une mentalité très orientée « business » et à des produits valides, certaines sociétés de gestion françaises ont réussi ces dernières années à conquérir d’importantes parts de marché dans les autres pays européens, ce qui n’est pas le cas des italiennes. « L’un des problèmes que j’ai rencontré en tant que société de gestion italienne, est que les fonds de droit italien ne sont pas acceptés par de nombreux partenaires de la distribution ni à l’étranger et, plus grave, ni en Italie (…). On peut avoir le meilleur produit, mais s’il est structuré comme un véhicule de droit italien, on ne réussit pas à la vendre avec succès. Nous sommes donc fortement pénalisés », conclut le manager.
Le mois de juin a été particulièrement difficile pour les gérants participant à la plateforme amLeague. Sur un mois, tous les mandats (Euro, Europe, Europe ISR, Multi-asset, Global Equities et Global Low Carbon) voient l’ensemble des sociétés de gestion afficher une performance négative. Une contreperformance qui n’empêche pas toutefois de nombreuses sociétés de tirer leur épingle du jeu sur les six premiers mois de l’année. Ainsi dans les mandats Euro, Europe et Europe ISR, tous les gérants sont dans le vert sur les six premiers mois de l’année, en performance cumulée à fin juin. Les mandats Global et Multi-asset, quant à eux, enregistrent chacun une seule société de gestion dans le rouge, respectivement Ossiam Global Minimum Variance et UBS FlexSur six mois, dans le mandat actions zone euro, les trois premiers sont Seven European Equity Fund, Roche-Brune AM et Degroof Petercam avec des hausses respectives de 14,03%, 12,82% et 11,32%. La moyenne est à 9,46% et l’indice EuroStoxx à +8,42%.Sur le mandat Europe Equities, les trois premiers sont Swiss Life AM, Degroof Petercam de nouveau et Prevaal Actions Europe qui gagnent respectivement 12,20%, 11,81% et 11,01%, pour une moyenne à 8,94% et un indice Stoxx 600 à 7,04%. L’ISR ne permet pas de faire mieux sur les six premiers mois, puisque les trois premiers du mandat Europe ISR, Roche-Brune AM, OFI et Swiss Life AM engrangent 10%, 9,61% et 9,40%.Confirmant les évolutions de marché au niveau mondial qui ont favorisé l’Europe, le mandat Global Equities n’enregistre pas de société de gestion leader faisant mieux que le leader des mandats Euro. Ainsi, le premier du classement, Edmond de Rothschil AM gagne 12,05%, loin devant Allianz High Alpha Strategy qui performe de 6,49%. Le troisième, Ecofi Investissements, gagne 6,49%. La moyenne des gérants se situe à 4,78% et l’indice Stoxx 1.800 à 2,52%.Retrouvez l’ensemble des résultats dans le fichier joint.
Ce jeudi, le Carbon Disclosure Project (CDP), l’organisme à but non lucratif qui gère la plus grande base de données environnementale d’entreprises au monde, et ISS-Ethix Climate Solutions lancent Climetrics, un système de notation de l’impact climatique des fonds actions, rapporte Les Echos. Lancé il y a trois ans, ce projet part d’un constat : lorsqu’il s’agit d’évaluer les performances climatiques, chacun utilise sa propre méthode, celle-ci est le plus souvent opaque et il est quasiment impossible pour un investisseur de faire la différence entre le discours marketing et l’engagement environnemental. Le système de notation de Climetrics – une note de 1 à 5 matérialisée par un nombre de feuilles vertes – permet « à tous les investisseurs de mesurer et de comparer l’impact climatique de leurs investissements et de promouvoir le développement de fonds respectueux du climat », expliquent les initiateurs du projet, cités par le quotidien économique. Sur 3.000 milliards d’euros de fonds actions, Climetrics note déjà des fonds représentant un montant total de 2.500 milliards d’euros.
Ce jeudi, le Carbon Disclosure Project (CDP), l’organisme à but non lucratif qui gère la plus grande base de données environnementale d’entreprises au monde, et ISS-Ethix Climate Solutions lancent Climetrics, un système de notation de l’impact climatique des fonds actions, rapporte Les Echos. Débuté il y a trois ans, ce projet part d’un constat : lorsqu’il s’agit d’évaluer les performances climatiques, chacun utilise sa propre méthode, celle-ci est le plus souvent opaque et il est quasiment impossible pour un investisseur de faire la différence entre le discours marketing et l’engagement environnemental. Le système de notation de Climetrics – une note de 1 à 5 matérialisée par un nombre de feuilles vertes – promet « à tous les investisseurs de mesurer et de comparer l’impact climatique de leurs investissements et de promouvoir le développement de fonds respectueux du climat », expliquent les initiateurs du projet, cités par le quotidien économique. Sur 3.000 milliards d’euros de fonds actions, Climetrics note déjà des fonds représentant un montant total de 2.500 milliards d’euros.