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Le Conseil des gouverneurs se réunira jeudi. Malgré des taux encore restrictifs, l’inflation persistante dans les services apparaît comme le principal frein à une nouvelle baisse dès juillet.
Le ministre de l’Economie assure que ses prévisions de recettes fiscales restent valides en réponse au rapport publié par la Cour des comptes le 15 juillet qui affirme le contraire.
Dans son rapport annuel, la Cour des comptes relève que la dernière trajectoire publiée par Emmanuel Macron et Bruno Le Maire prévoit non seulement des baisses massives de dépenses de 50 milliards d’euros mais aussi, implicitement, une hausse des prélèvements obligatoires de 21 milliards d'euros sur deux ans
L’indice harmonisé, qui permet une comparaison européenne, est lui confirmé à +2,5%. L’inflation connaît en revanche un léger recul en Espagne, malgré les hausses de prix liées à la saison touristique.
L'attentisme économique, le coup d’arrêt des prêts en France et les incertitudes sur les taux pourraient différer les bénéfices qui étaient attendus sur la hausse des marges d’intérêts, selon S&P.
L’institut statistique prévoit une hausse de 0,5% du PIB cet été, avec un effet de 0,3 point lié aux JO, mais un recul de 0,1% au dernier trimestre. Sur l'ensemble de l'année, la croissance atteindrait 1,1%, comme en 2023.
Le prochain gouvernement aura du mal à réduire ses dépenses et sera tenté d'en adopter de nouvelles. Avec le risque d’être plus rapidement sanctionné par les marchés et les agences de notation que par la Commission européenne.
Depuis plusieurs décennies, la France a accumulé un fardeau financier au fur et à mesure des crises, sans jamais le résorber, malgré l’alternance politique.
Le calme des marchés obligataires au lendemain des législatives conforte la tentation de l'immobilisme en France. Ce serait une grave erreur. L'éditorial d'Alexandre Garabedian, directeur de la rédaction.
Le CAC 40 a ouvert en repli lundi avant de se reprendre puis de clôturer dans le rouge. Le taux de l'obligation souveraine française n'est pas moins volatil.
Le NFP arrive en tête, mais l'Assemblée est plus divisée que jamais sans aucune majorité. Le « moins pire » des scénarios pour les marchés à court terme, mais pas de bon augure à long terme pour la qualité de crédit de la France.
Jeudi, l’Agence France Trésor a pu émettre les 10,5 milliards d’euros d’OAT qu’elle visait, dans des conditions tout à fait correctes vu le contexte politique et électoral.
Si le Rassemblement national (RN) devait prendre le pouvoir sans majorité absolue, il ne pourrait probablement pas faire passer des budgets complètement déraisonnables. Revue des outils constitutionnels qui permettraient d'éviter un blocage des institutions.
Les actifs les plus affectés par le risque politique en France se sont repris lundi, avec la perspective d’une absence de majorité absolue pour le NFP ou le RN. Le spread de la dette souveraine s’est détendu. Mais le doute demeure sur la pérennité de ce rebond technique.
Le résultat du premier tour des élections législatives, qui place le RN en tête avec plus d'un tiers des voix et une possible majorité absolue au soir du second tour, promet une période de volatilité élevée sur les marchés financiers.
La hausse des prix dans l'Hexagone ressort à 2,1%. L'indice harmonisé, qui permet une comparaison européenne, atteint 2,5%, également en repli de 0,1 point. En mai, la consommation a par ailleurs rebondi.
Face à la continuité incarnée par la majorité présidentielle, le Rassemblement national a renoncé à des mesures de son programme de 2022 tandis que l’alliance des partis de gauche parie sur la relance keynésienne financée par l’imposition du capital et des plus riches.
La volatilité et l’incertitude pourraient durer quelque temps autour des banques françaises, dont les spreads s'écartent. Mais les investisseurs ne semblent pas avoir trop d’inquiétudes à plus long terme.
Les émetteurs tricolores représentent autour de 20% à 25% des indices, voire davantage dans les dettes subordonnées financières. La corrélation au spread OAT est aussi élevée. Le marché corrige.