Toute l'actualité de l'entreprise dirigée par Elon Musk, valorisée plusieurs centaines de milliards de dollars en Bourse et spécialisée dans les véhicules électriques.
L’inflation en France a ralenti en décembre, les prix à la consommation ayant augmenté de 5,9% sur un an après 6,2% en novembre, a confirmé vendredi l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee). «Cette baisse de l’inflation est due au ralentissement des prix de l'énergie (+15,1% après +18,4%) et, dans une moindre mesure, des services (+2,9% après +3%). Les prix de l’alimentation augmentent sur un an au même rythme qu’en novembre (+12,1%) et ceux des produits manufacturés accélèrent (+4,6% après +4,4%)» , a indiqué l’Insee dans un communiqué. L’inflation sous-jacente est en revanche restée stable en décembre, à 5,3% sur un an, comme en novembre.
L'économie française résiste mieux que prévu et la perspective d’un «atterrissage brutal» de l'économie française devrait être évitée, a déclaré mercredi François Villeroy de Galhau, gouverneur de la Banque de France, sur Radio Classique. La croissance française devrait avoir atteint 0,1 % sur le dernier trimestre 2022 par rapport au trimestre précédent, a estimé la Banque de France, sur la base des résultats de son enquête mensuelle.
Les jeunes générations paieront l'essentiel d'une réforme a minima qui ne règlera pas les problèmes de fond. Espérons qu'elle suffise au moins à rassurer les marchés financiers.
L'économie française résiste mieux que prévu et la perspective d’un «atterrissage brutal» de l'économie française devrait être évitée, a déclaré mercredi François Villeroy de Galhau, gouverneur de la Banque de France, sur Radio Classique. La croissance française devrait avoir atteint 0,1 % sur le dernier trimestre 2022 par rapport au trimestre précédent, a estimé la Banque de France, sur la base des résultats de son enquête mensuelle.
Le déficit commercial de la France, qui s’était amélioré à 11,59 milliards d’euros fin octobre, s’est à nouveau creusé à 13,77 milliards d’euros fin novembre, selon les données publiées lundi par le bureau des Douanes françaises. En moyenne mobile sur trois mois, la balance commerciale de biens continue de se redresser (+1,1 milliard à -13 milliards), regain essentiellement porté par l’amélioration de la balance énergétique (+1,4 milliard), souligne le communiqué. Les importations ont poursuivi leur recul (-1,5 milliard en novembre après -1,1 milliard), pour atteindre 64,3 milliards, en lien avec la baisse des importations de produits énergétiques. Les exportations diminuent également de 0,4 milliard, autant que le mois précédent, et s’établissent à 51,3 milliards.
Le déficit commercial de la France, qui s’était amélioré à 11,59 milliards d’euros fin octobre, s’est à nouveau creusé à 13,77 milliards d’euros fin novembre, selon les données publiées lundi par le bureau des Douanes françaises.
La consommation des ménages en biens en France a légèrement rebondi en novembre, progressant de 0,5% par rapport au mois précédent, a indiqué vendredi l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee). «Cette hausse s’explique essentiellement par l’augmentation de la consommation en biens fabriqués (+1,1%)», a expliqué l’Insee dans un communiqué. Pour octobre, le recul de la consommation des ménages a été révisé à 2,7% sur un mois. Il avait initialement été estimé à 2,8%.
La consommation des ménages en biens en France a légèrement rebondi en novembre, progressant de 0,5% par rapport au mois précédent, a indiqué vendredi l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee).
La première ministre Elisabeth Borne a annoncé mardi sur Franceinfo le retrait de la partie controversée du décret sur l’assurance-chômage annoncée le 23 décembre, qui devait réduire la durée d’indemnisation de 40% si le chômage venait à passer sous les 6% (au lieu de 7,3% actuellement). Cette disposition avait suscité la colère des syndicats. Comme annoncé fin novembre, le décret prévoit une baisse de 25% de la durée d’indemnisation pour tous les demandeurs d’emploi qui ouvrent des droits à partir du 1er février en métropole. Le cabinet du ministre du Travail Olivier Dussopt a ajouté que «le principe de contracyclicité est désormais dans la loi publiée le 21 décembre et sera donc un des éléments centraux de la future négociation des partenaires sociaux au sujet des règles d’indemnisation à compter de janvier 2024».
La première ministre Elisabeth Borne a annoncé mardi sur Franceinfo le retrait de la partie controversée du décret sur l’assurance-chômage annoncée le 23 décembre, qui devait réduire la durée d’indemnisation de 40% si le chômage vebait à passer sous les 6% (au lieu de 7,3% actuellement). Cette disposition avait suscité la colère des syndicats. «J’entends que ce point n’a peut-être pas suffisamment fait l’objet de discussions, donc nous allons le retirer, ce troisième niveau du décret qui entrera en vigueur au 1er février, et nous remettrons ce sujet dans la concertation sur les futures règles de l’assurance-chômage», a-t-elle précisé.
L’Unédic a dressé un premier bilan de la réforme de l’assurance chômage 2019, en estimant (au vu de résultats à fin juin) une baisse moyenne de 16% des allocations journalières, selon des documents internes consultés mercredi par l’AFP. Entrée en vigueur fin 2021, cette réforme avait durci les conditions d’indemnisation des demandeurs d’emploi, en particulier ceux alternant périodes de travail et d’inactivité. La baisse serait plus importante chez les moins de 25 ans (-26%), les allocataires sortant de CDD (-30%) ou de contrat d’intérim (-37%). L’Unédic évalue par ailleurs les effets de la nouvelle réforme, dévoilée fin novembre, qui devrait engendrer une baisse de 25% de la durée d’indemnisation pour tous les demandeurs d’emploi ouvrant des droits à partir du 1er février.
La faiblesse relative des défaillances d'entreprises cette année cache des chiffres plus inquiétants au niveau des TPE et des PME. L'analyse d'Alain Tourdjman, directeur des études économiques de BPCE.