L’année qui débute devrait surtout être celle du pivot effectif pour les banques centrales américaines et européennes. Si tout se passe comme prévu, ce qui n’a pas été le cas en 2023.
Plus de 40 entreprises du S&P 500 ont annoncé des rachats au quatrième trimestre, ce qui pourrait maintenir le marché américain à flot une partie de l’année.
Le président Joe Biden a évoqué «un pas de plus pour éviter une fermeture administrative inutile». Mais les lignes de l’accord ne sont pas très claires.
La posture respective de la BCE et de la Fed ne parait pas nécessairement alignée sur le risque le plus plausible dans leur propre région, selon Gilles Moëc, chef économiste du groupe Axa.
Confrontée à des soucis réglementaires, sa filiale Avangrid a mis fin à l’accord de fusion conclu en 2020 avec PNM Resources pour 8,3 milliards de dollars.
Les demandes d’indemnités totales ont été toute l’année plus de 40% au-dessus de leur dernier point bas, ce qui était par le passé un signal de récession prochaine.
L’Agefi fait la synthèse des perspectives proposées par les principales banques d’investissement et sociétés de gestion. La croissance américaine n’a jamais fait autant débat. De même pour les éventuelles baisses de taux qui en découlent.
La SEC rebat les cartes. Alors que moins de 20% des opérations en espèces et de 35% des mises en pension étaient jusqu’à présent intermédiées par une chambre de compensation, la décision du régulateur pourrait modifier la structure du marché. Des mesures qualifiées d’historiques par certains acteurs.
Le soufflet monétaire va devoir se dégonfler. Contrairement à son homologue européenne, la banque centrale américaine sera attentive à ne pas trop diminuer les réserves bancaires. Retour sur les différentes contraintes du Quantitative Tightening.
La réunion de politique monétaire du 13 décembre n’a pas manqué de relancer le débat entre croissance et inflation. La résistance ou non du marché du travail sera la clé.