Le nombre de visiteurs étrangers en France (y compris l’outre-Mer) a baissé d’environ 3% en 2016. Il s’est inscrit entre 82,5 et 83 millions, contre le record de 85 millions atteint un an plus tôt, a annoncé vendredi le ministre des Affaires étrangères. «Sans minimiser l’impact économique de cette année difficile sur les professionnels, notamment dans l’hôtellerie (-5,7% pour les nuitées) et dans certaines régions (Paris/Ile-de-France, PACA), on peut se réjouir d’un rebond évident fin 2016 (nuitées en hausse de +2,9%) et début 2017 (réservation aériennes en hausse de 10,4% vers Paris au 1er trimestre)», indique le ministère.
Le nombre de visiteurs étrangers en France (y compris l’outre-Mer) a baissé d’environ 3% en 2016. Il s’est inscrit entre 82,5 et 83 millions, contre le record de 85 millions atteint un an plus tôt, annonce le ministre des Affaires étrangères. «Sans minimiser l’impact économique de cette année difficile sur les professionnels, notamment dans l’hôtellerie (-5,7% pour les nuitées) et dans certaines régions (Paris/Ile-de-France, PACA), on peut se réjouir d’un rebond évident fin 2016 (nuitées en hausse de +2,9%) et début 2017 (réservation aériennes en hausse de 10,4% vers Paris au 1er trimestre)», indique le ministère.
La production industrielle française est repartie en baisse en décembre après son vif rebond du mois précédent, se contractant de 0,9% sous l’effet d’un recul dans la quasi-totalité des grands secteurs, selon les données publiées vendredi par l’Insee. La seule production manufacturière a elle aussi accusé une baisse en décembre, de 0,8%, après avoir également augmenté en novembre. Le recul de la production industrielle de décembre est supérieur aux attentes des économistes interrogés par Reuters, qui tablaient en moyenne sur -0,7%.
L’Allemagne a battu l’an dernier son record d’excédent commercial, ce qui pourrait alimenter les tensions avec ses principaux partenaires, en premier lieu les Etats-Unis où l’administration Trump reproche à Berlin d’utiliser à son avantage un euro sous-évalué. Le surplus s'élève à 252,9 milliards d’euros en 2016 après un précédent record à 244,3 milliards en 2015, selon Destatis, l’office fédéral de la statistique.
L’Allemagne a battu l’an dernier son record d’excédent commercial, ce qui pourrait alimenter les tensions avec ses principaux partenaires, en premier lieu les Etats-Unis où l’administration Trump reproche à Berlin d’utiliser à son avantage un euro sous-évalué. Le surplus commercial 2016 de la première économie d’Europe s'élève à 252,9 milliards d’euros après un précédent record à 244,3 milliards en 2015, montrent les données publiées jeudi par Destatis, l’office fédéral de la statistique. Sur le seul mois de décembre, l’excédent commercial s’est réduit à 18,4 milliards d’euros, contre 21,8 milliards en novembre.
Le Japon a enregistré en 2016 le deuxième plus important excédent courant de son histoire, montrent des données préliminaires publiées hier par le ministère des Finances, à la veille d’une visite très attendue du Premier ministre Shinzo Abe à Washington. Le surplus de 20.600 milliards de yens (172 milliards d’euros) s’explique surtout par la baisse des cours du pétrole, l’afflux de touristes étrangers au Japon et une forte hausse des revenus des investissements à l'étranger. Sur le seul mois de décembre, l’excédent courant a atteint 1.110 milliards de yens, en hausse pour le septième mois consécutif mais inférieur au consensus Reuters qui le donnait à 1.290 milliards.
Le top 7 des économies émergentes pèsera 50% du PIB mondial d’ici à 2050, tandis que l’actuel G7 verra son poids économique décliner juste au-dessus de 20% contre 30% actuellement.
Le Japon a enregistré en 2016 le deuxième plus important excédent courant de son histoire, montrent des données préliminaires publiées par le ministère des Finances mercredi, à la veille d’une visite très attendue du Premier ministre Shinzo Abe à Washington. Le surplus de 20.600 milliards de yens (172 milliards d’euros) s’explique surtout par la baisse des cours du pétrole, l’afflux de touristes étrangers au Japon et une forte hausse des revenus des investissements à l'étranger. Sur le seul mois de décembre, l’excédent courant a atteint 1.110 milliards de yens, en hausse pour le septième mois consécutif mais inférieur au consensus Reuters qui le donnait à 1.290 milliards.
La balance des paiements courants de la France a enregistré en décembre un déficit de 1,1 milliard d’euros, après un autre déficit révisé à 2,8 milliards en novembre, selon les données corrigées des variations saisonnières et des jours ouvrables publiées hier par la Banque de France. Sur l’ensemble de 2016, le déficit de la balance des paiements atteint 27 milliards, soit près de 12 milliards de plus qu’en 2015. Le chiffre de décembre résulte d’une contraction du déficit des échanges de biens (-0,9 milliard après -2,6 milliards), alors que le solde des échanges de services est resté légèrement positif.
Le déficit commercial a baissé de 3,2% à 44,3 milliards de dollars (41,5 milliards d’euros) en décembre, après deux mois consécutifs de hausse, a annoncé mardi le département américain du Commerce. Les économistes interrogés par Reuters s’attendaient à un déficit de 45,0 milliards. Le déficit de novembre a été légèrement revu en hausse à 45,7 milliards contre 45,2 milliards précédemment. Sur l’ensemble de 2016, les Etats-Unis affichent un déficit commercial de 502,3 milliards de dollars, soit un pic de quatre ans, en hausse de 0,4%. Cela représente 2,7% du produit intérieur brut (PIB) contre 2,8% en 2015.
La balance des paiements courants de la France a enregistré en décembre un déficit de 1,1 milliard d’euros, après un autre déficit révisé à 2,8 milliards en novembre, selon les données corrigées des variations saisonnières et des jours ouvrables publiées mardi par la Banque de France. Sur l’ensemble de 2016, le déficit de la balance des paiements atteint 27 milliards, soit près de 12 milliards de plus qu’en 2015. Le chiffre de décembre résulte d’une contraction du déficit des échanges de biens (-0,9 milliard après -2,6 milliards), alors que le solde des échanges de services est resté légèrement positif.
Les commandes à l’industrie en Allemagne ont augmenté de 5,2% en décembre 2016, leur plus forte progression mensuelle depuis juillet 2014, selon les chiffres du ministère de l’Economie. Le consensus des économistes avait anticipé en moyenne une hausse de 0,5%. Les commandes intérieures ont progressé de 6,7%, tandis que celles en provenance de l'étranger ont augmenté de 3,9%, avec un bond de 10% de la demande émanant des pays de la zone euro. La baisse des commandes de novembre a en outre été révisée à -3,6% au lieu de -2,5% en première estimation.
Les commandes à l’industrie en Allemagne ont augmenté de 5,2% en décembre 2016, leur plus forte progression mensuelle depuis juillet 2014, alors que le consensus des économistes avait anticipé en moyenne une hausse de 0,5% d’un mois sur l’autre. Les commandes intérieures ont progressé de 6,7%, tandis que celles en provenance de l'étranger ont augmenté de 3,9%, avec un bond de 10% de la demande émanant des pays de la zone euro. La baisse des commandes de novembre a en outre été révisée à -3,6% au lieu de -2,5% en première estimation.
L’Irlande a décidé de modifier l’outil statistique qui mesure la santé et la taille de son économie, abandonnant le traditionnel produit intérieur brut (PIB) pour mettre en oeuvre un «revenu national brut ajusté» (RNB) en 2018, a indiqué l’institut central de la statistique irlandais (CSO). Abritant les sièges européens de multinationales comme Google ou Apple en raison d’une fiscalité avantageuse, l’Irlande a révisé l’an passé la croissance de son PIB de 7,8% à plus de 26% après la réévaluation des actifs financiers de ces entreprises. Le RNB ne prendra pas en compte les effets liés à la re-domiciliation de ces sociétés ou au transfert et à la dépréciation de leurs actifs financiers.
La croissance du secteur des services dans la zone euro est restée stable en janvier à un niveau élevé, montrent les résultats définitifs de l’enquête mensuelle Markit auprès des directeurs d’achats publiés vendredi. L’indice PMI du secteur ressort inchangé par rapport à décembre à 53,7, dépassant légèrement l’estimation «flash» publiée fin janvier, qui le donnait à 53,6. L’indice PMI composite, qui conjugue services et secteur manufacturier, est lui aussi demeuré stable (à 54,4). Il reste ainsi à son plus haut niveau depuis mai 2011. En revanche, la croissance du secteur britannique des services a subi en janvier son premier ralentissement en quatre mois, repassant sous sa moyenne de long terme, les entreprises souffrant de la plus forte augmentation de leurs coûts en cinq ans. L’indice PMI des services a reculé à 54,5 après avoir atteint en décembre un plus haut de 15 mois à 56,2.
L’Irlande a décidé de modifier l’outil statistique qui mesure la santé et la taille de son économie, abandonnant le traditionnel produit intérieur brut (PIB) pour un «revenu national brut ajusté» (RNB) qui entrera en vigueur d’ici la fin 2018. Abritant les sièges européens de multinationales comme Google ou Apple en raison d’une fiscalité avantageuse, l’Irlande a révisé l’an passé la croissance de son PIB de 7,8% à plus de 26% après la réévaluation des actifs financiers de ces entreprises. Le RNB ne prendra pas en compte les effets liés à la re-domiciliation de ces sociétés ou au transfert et à la dépréciation de leurs actifs financiers, a indiqué l’institut central de la statistique irlandais (CSO).
Les créations d’emplois ont été plus nombreuses que prévu en janvier aux Etats-Unis, les entreprises du bâtiment et les distributeurs ayant embauché davantage. Le département du Travail a recensé 227.000 créations d’emplois non-agricoles le mois dernier, un plus haut de quatre mois. Les économistes interrogés par Reuters prévoyaient en moyenne un chiffre nettement inférieur, de 175.000. Toutefois, le taux de chômage est en légère hausse et les salaires ont faiblement augmenté, ce qui suggère qu’il reste un peu de ressources inutilisées. Les économistes interrogés par Reuters prévoyaient en moyenne un chiffre de créations d’emplois nettement inférieur, à 175.000, et un taux de chômage stable à 4,7%.
La croissance du secteur des services dans la zone euro est restée stable en janvier à un niveau élevé, montrent aujourd’hui les résultats définitifs de l’enquête mensuelle Markit auprès des directeurs d’achats. L’indice PMI du secteur ressort inchangé par rapport à décembre à 53,7, dépassant légèrement l’estimation «flash» publiée fin janvier, qui le donnait à 53,6. Les entreprises du secteur ont en outre augmenté leurs effectifs au rythme le plus élevé depuis juillet, la composante de l’emploi atteignant 52,8 après 52,2 en décembre. L’indice PMI composite, qui conjugue services et secteur manufacturier, est lui aussi demeuré stable d’un mois sur l’autre à 54,4 contre 54,3 en première estimation. Il reste ainsi à son plus haut niveau depuis mai 2011. «Le dernier chiffre est compatible avec une croissance du PIB de 0,4% en rythme trimestriel, ce qui montre que l'économie entame 2017 d’un bon pas», a déclaré Chris Williamson, chef économiste d’IHS Markit.
Les inscriptions hebdomadaires au chômage ont diminué plus que prévu aux Etats-Unis lors de la semaine au 28 janvier, à 246.000 contre 260.000 (donnée révisée) la semaine précédente, a annoncé hier le département du Travail. Les économistes attendaient en moyenne 250.000 inscriptions. Celles de la semaine au 21 janvier ont été révisées en hausse par rapport à une estimation initiale de 259.000. La moyenne mobile sur quatre semaines, considérée comme un indicateur plus fiable car débarrassé de la volatilité des chiffres hebdomadaires, s'établit à 248.000 contre 245.750 (chiffre révisé) la semaine précédente.