Le taux de chômage en Espagne est tombé à 18,6% à fin 2016 pour revenir à son point le plus bas depuis le troisième trimestre 2009, montrent les chiffres publiés hier par l’institut national de la statistique (INE). A fin septembre 2016, le taux de chômage s’élevait à 18,9%. Le solde net d’emplois créés l’an dernier ressort à 413.900, à comparer à 525.100 en 2015. Quelque 4,2 millions de personnes restent sans emploi en Espagne et le taux de chômage demeure le deuxième en Europe, derrière celui de la Grèce.
Le taux de chômage en Espagne est tombé à 18,6% à fin 2016 pour revenir à son point le plus bas depuis le troisième trimestre 2009, montrent les chiffres publiés par l’institut national de la statistique (INE). A fin septembre 2016, le taux de chômage s’élevait à 18,9%. Le solde net d’emplois créés l’an dernier ressort à 413.900, à comparer à 525.100 en 2015. Quelque 4,2 millions de personnes restent sans emploi en Espagne et le taux de chômage demeure le deuxième en Europe, derrière celui de la Grèce.
Le produit intérieur brut (PIB) britannique a progressé de 0,6% sur les trois derniers mois de l’année et de 2,2% en rythme annuel grâce à un secteur des services toujours dynamique, alors que le consensus Reuters prévoyait en moyenne une hausse de 0,5% seulement et que certains n’attendaient que 0,3%. Si la croissance n’a que légèrement ralenti à 2% sur l’ensemble de l’année dernière, après 2,2% en 2015, cette baisse est due principalement aux mauvaises performances du premier trimestre, avant le vote sur le Brexit. En novembre, la Banque d’Angleterre a dit prévoir un ralentissement de la croissance à 1,4% en 2017, même si elle est susceptible de revoir son jugement dans ses nouvelles prévisions, attendues la semaine prochaine.
La confiance des dirigeants de PME et ETI (entreprises de taille intermédiaire) françaises a confirmé en janvier son rebond de décembre et leurs prévisions d’investissements ont atteint un record, selon l’observatoire OpinionWay pour la Banque Palatine et l’hebdomadaire Challenges. La proportion de patrons de PME et ETI se déclarant confiants pour les perspectives d’activité à six mois de leur propre entreprise atteint 84%, soit deux points de plus qu’en décembre. Leur niveau de confiance sur l'économie française, à 52%, s’adjuge huit points par rapport à décembre et enregistre une progression de 15 points en trois mois, pour atteindre son plus haut niveau depuis 2011.
Le climat des affaires, qui avait atteint en décembre un plus haut depuis l'été 2011, a légèrement fléchi ce mois-ci en France, notamment pénalisé par un recul marqué dans les services, selon les données publiées hier par l’Insee. L’indicateur global du climat des affaires, calculé à partir des réponses des chefs d’entreprise interrogés dans le cadre de cette enquête mensuelle, s’inscrit en baisse d’un point, à 104, tout en restant supérieur à sa moyenne de long terme de 100.
Le secteur manufacturier japonais a connu en janvier sa plus forte croissance en près de trois ans, à la faveur notamment d’un bond des commandes à l’exportation. L’indice PMI Markit/Nikkei des directeurs d’achat «flash» s’est ainsi établi, en données corrigées des variations saisonnières, à 52,8 en janvier contre 52,4 en décembre. Cet indice reste ainsi pour le troisième mois de suite au-dessus de la barre des 50 séparant croissance et contraction d’une activité et se retrouve à son niveau le plus haut depuis mars 2014.
Les inscriptions hebdomadaires au chômage aux Etats-Unis ont enregistré une baisse inattendue lors de la semaine au 14 janvier, à 234.000 contre 249.000 (révisé) la semaine précédente, a annoncé hier le département du Travail. Les économistes attendaient en moyenne 254.000 inscriptions au chômage. Les inscriptions de la semaine au 7 janvier ont été révisées en légère hausse par rapport à une estimation initiale de 247.000. La moyenne mobile sur quatre semaines s'établit en recul à 246.750 contre 257.000 (révisé) la semaine précédente.
L'économie américaine devrait avoir enregistré au quatrième trimestre une croissance de 2,8% en rythme annualisé, a estimé hier la Réserve fédérale d’Atlanta sur la base de son modèle GDP Now, après la publication des chiffres mensuels des mises en chantier. Cette estimation est inchangée par rapport à celle calculée le 13 janvier, précise-t-elle sur son site internet. Les mises en chantier aux Etats-Unis ont augmenté de 11,3% en décembre, à 1,23 million en rythme annualisé, selon les chiffres du département du Commerce.
Les inscriptions hebdomadaires au chômage aux Etats-Unis ont enregistré une baisse inattendue lors de la semaine au 14 janvier, à 234.000 contre 249.000 (révisé) la semaine précédente, a annoncé jeudi le département du Travail. Les économistes attendaient en moyenne 254.000 inscriptions au chômage. Les inscriptions de la semaine au 7 janvier ont été révisées en légère hausse par rapport à une estimation initiale de 247.000. La moyenne mobile sur quatre semaines s'établit en recul à 246.750 contre 257.000 (révisé) la semaine précédente.
L'économie américaine devrait avoir enregistré au quatrième trimestre une croissance de 2,8% en rythme annualisé, a estimé jeudi la Réserve fédérale d’Atlanta sur la base de son modèle GDP Now, après la publication des chiffres mensuels des mises en chantier. Cette estimation est inchangée par rapport à celle calculée le 13 janvier, précise-t-elle sur son site internet. Les mises en chantier aux Etats-Unis ont augmenté de 11,3% en décembre, à 1,23 million en rythme annualisé, selon les chiffres du département du Commerce.
Le président chinois Xi Jinping s’est livré hier à Davos, devant le Forum économique mondial, à un vigoureux plaidoyer en faveur du libre-échange, soulignant la volonté de la Chine de jouer un rôle plus important sur la scène mondiale au moment où les Etats-Unis semblent tentés par le repli. Xi Jinping a assuré que Pékin ne comptait pas améliorer la compétitivité de ses produits en dévaluant sa monnaie, une tactique que Donald Trump accuse la Chine d’avoir employé à plusieurs reprises par le passé. Il a également exhorté tous les signataires de l’accord de Paris sur le climat, critiqué par le président américain élu, à respecter leurs engagements.
La Moldavie envisage de dénoncer l’accord commercial conclu avec l’Union européenne après les prochaines élections législatives, a déclaré hier le président moldave. En déplacement à Moscou, Igor Dodon a estimé pendant une conférence de presse avec son homologue russe Vladimir Poutine que l’accord conclu en 2014 n’avait rien apporté à son pays. Igor Dodon a remporté l'élection présidentielle en novembre en promettant notamment un rapprochement avec Moscou passant par l’intégration de l’union économique eurasienne constituée autour de la Russie.
Le président chinois Xi Jinping s’est livré mardi à Davos, devant le Forum économique mondial, à un vigoureux plaidoyer en faveur du libre-échange, soulignant la volonté de la Chine de jouer un rôle plus important sur la scène mondiale au moment où les Etats-Unis semblent tentés par le repli. Xi Jinping a assuré que Pékin ne comptait pas améliorer la compétitivité de ses produits en dévaluant sa monnaie, une tactique que Donald Trump accuse la Chine d’avoir employé à plusieurs reprises par le passé. Il a également exhorté tous les signataires de l’accord de Paris sur le climat, critiqué par le président américain élu, à respecter leurs engagements.
La Moldavie envisage de dénoncer l’accord commercial conclu avec l’Union européenne après les prochaines élections législatives, a déclaré mardi le président moldave. En déplacement à Moscou, Igor Dodon a estimé pendant une conférence de presse avec son homologue russe Vladimir Poutine que l’accord conclu en 2014 n’avait rien apporté à son pays. Igor Dodon a remporté l'élection présidentielle en novembre en promettant notamment un rapprochement avec Moscou passant par l’intégration de l’union économique eurasienne constituée autour de la Russie.
L’excédent de la balance commerciale en zone euro a enregistré une forte hausse en novembre par rapport au même mois de 2015, montrent des statistiques publiées hier par Eurostat. Cet excédent, non corrigé des variations saisonnières, est ressorti à 25,9 milliards d’euros contre 22,9 milliards en novembre 2015, alors que le consensus des économistes tablait en moyenne sur un excédent de 22 milliards. En données corrigées, l’excédent s’est élevé à 22,7 milliards d’euros après 19,9 milliards en octobre.
Le Fonds monétaire international a confirmé lundi ses prévisions de croissance mondiale pour 2017 et 2018 en expliquant tabler à la fois sur un coup de pouce de Donald Trump à l’activité aux Etats-Unis et sur des performances moins soutenues dans certains pays émergents. Dans la traditionnelle «mise à jour» de ses perspectives économiques mondiales, le FMI redit ainsi prévoir une croissance mondiale de 3,4% cette année et de 3,6% l’an prochain, ce qui marquerait une nette amélioration après celle de 3,1% attendue en 2016. «L'évolution depuis l'été dernier préfigure une certaine augmentation de la tendance de croissance au tournant de l’année dans un certain nombre de grandes économies», a déclaré lors d’une conférence de presse son économiste en chef, Maurice Obstfeld.