Les ventes au détail ont baissé de 0,4% en novembre dans la zone euro, après avoir nettement augmenté en octobre. Elles ont été affaiblies par un repli des achats de produits non alimentaires. Cette évolution est conforme aux attentes des économistes. La hausse d’octobre a été révisée en hausse à 1,4%, de loin la plus forte de l’année, au lieu de 1,1% initialement annoncé. Sur un an, les ventes au détail ont augmenté de 2,3% après une progression de 3% en octobre (un chiffre révisé en hausse par rapport à une première estimation de 2,4%).
Le déficit commercial français s’est contracté à 4,38 milliards d’euros en novembre, sous l’effet d’un net rebond des exportations qui ont enregistré leur meilleur niveau depuis juin 2015, indiquent les statistiques publiées vendredi par les Douanes. Le déficit d’octobre a été corrigé à 5,15 milliards d’euros contre 5,20 milliards en première estimation. Sur les onze premiers mois de 2016, le déficit cumulé atteint 45,96 milliards contre 41,20 milliards un an plus tôt.
Les nouvelles commandes à l’industrie aux Etats-Unis ont diminué en novembre en raison notamment de la chute du segment de l’aviation civile, une composante particulièrement volatile, mais la tendance suggère un redressement progressif du secteur. Le département du Commerce a annoncé un repli de 2,4% de ces commandes après un gain révisé en hausse à 2,8% en octobre. La baisse de novembre survient après quatre mois consécutifs de hausse et constitue le repli le plus marqué depuis décembre 2015. Les économistes interrogés par Reuters prévoyaient en moyenne un recul de 2,2% en novembre après une progression de 2,7% annoncée initialement pour le mois d’octobre.
Les créations d’emploi ont été plus faibles que prévu en décembre aux Etats-Unis mais le rebond des salaires donne à penser que le marché du travail reste dynamique. Le département du Travail a annoncé que 156.000 emplois non-agricoles ont été créés le mois dernier, alors que les économistes interrogés par Reuters prévoyaient en moyenne un chiffre de 178.000. Ce gain est néanmoins supérieur au niveau jugé nécessaire pour absorber les entrées sur le marché du travail. Les statistiques d’octobre et de novembre ont par ailleurs été révisées pour montrer que l'économie américaine avait créé au cours de ces deux mois 19.000 emplois de plus qu’estimé précédemment. Au total, l'économie américaine a créé 2,16 millions d’emplois en 2016.
Les ventes au détail ont baissé de 0,4% en novembre dans la zone euro, après avoir nettement augmenté en octobre, affaiblies par un repli des achats de produits non alimentaires tels que les vêtements ou appareils électriques. Cette évolution est conforme aux attentes des économistes. La hausse d’octobre a été révisée en hausse à 1,4%, de loin la plus forte de l’année, au lieu de 1,1% initialement annoncé. Sur un an, les ventes au détail ont augmenté de 2,3% en novembre, après une progression de 3% en octobre (un chiffre révisé en hausse par rapport à une première estimation à +2,4%).
Les commandes allemandes à l’industrie ont diminué de 2,5% en novembre, leur plus forte baisse mensuelle depuis novembre 2014, en raison d’une demande faible dans le pays et à l’exportation, selon des données publiées ce matin par le ministère de l’Economie. Les économistes interrogés par Reuters avaient anticipé en moyenne un recul de 2,3% d’un mois sur l’autre. Les commandes en provenance de l’Allemagne ont baissé de 2,8%, tandis que celles en provenance de l'étranger ont diminué de 2,3%, avec une demande des pays de la zone euro en baisse de 2,7%.
Le déficit commercial français s’est contracté à 4,38 milliards d’euros en novembre, sous l’effet d’un net rebond des exportations qui ont enregistré leur meilleur niveau depuis juin 2015, montrent les statistiques publiées aujourd’hui par les Douanes. Le déficit d’octobre a été corrigé à 5,15 milliards d’euros contre 5,20 milliards en première estimation. Sur les onze premiers mois de 2016, le déficit cumulé atteint 45,96 milliards contre 41,20 milliards un an plus tôt.
Le secteur des services au Japon a enregistré en décembre son rythme de croissance le plus élevé en 11 mois, montre l’enquête Markit/Nikkei publiée hier. Son indice des directeurs d’achats (PMI), corrigé des variations saisonnières, a atteint le mois dernier 52,3 contre 51,8 en novembre. Il reste ainsi pour le troisième mois de suite au-dessus de la barre des 50 séparant croissance et contraction d’une activité. Le secteur des services représente environ les deux tiers du produit intérieur brut de l’Archipel.
Le secteur des services au Japon a enregistré en décembre son rythme de croissance le plus élevé en 11 mois, montre l’enquête Markit/Nikkei publiée jeudi. Son indice des directeurs d’achats (PMI), corrigé des variations saisonnières, a atteint le mois dernier 52,3 contre 51,8 en novembre. Il reste ainsi pour le troisième mois de suite au-dessus de la barre des 50 séparant croissance et contraction d’une activité. L’indice des nouvelles affaires a connu en décembre sa plus forte hausse depuis juillet 2015. Le secteur des services représente environ les deux tiers du produit intérieur brut de l’Archipel.
L’activité du secteur manufacturier aux Etats-Unis a progressé plus que prévu en décembre, ont montré hier les résultats de l’enquête mensuelle de l’Institute for Supply Management (ISM) auprès des directeurs d’achats. Son indice d’activité a progressé à 54,7 après 53,2 en novembre, alors que le consensus tablait en moyenne sur 53,6. Le sous-indice des nouvelles commandes a atteint 60,2 contre 53,0 en novembre, et celui de l’emploi a progressé également, à 53,1 après 52,3 le mois précédent.
Les prix à la consommation ont augmenté de 0,3% en France en décembre par rapport à novembre du fait de l'énergie et des produits alimentaires, selon une première estimation publiée hier par l’Insee. Sur un an, ils affichent une hausse de 0,6%, contre 0,5% un mois plus tôt, soit le rythme le plus élevé depuis mai 2014. L’indice des prix harmonisés IPCH, qui permet les comparaisons avec les autres pays de la zone euro, a également progressé de 0,3% en décembre et enregistre une hausse de 0,8% sur un an, là aussi un plus haut depuis mai 2014.
Le nombre de chômeurs en Allemagne a baissé plus que prévu en décembre pour s'établir à 2,638 millions et le taux de chômage de la première économie européenne est resté stable à 6%, son niveau le plus bas depuis la réunification de 1990, selon les données publiées hier par l’Office fédéral du travail. Le nombre de demandeurs d’emplois, corrigé des variations saisonnières (CVS), a ainsi diminué de 17.000.
L’activité du secteur manufacturier aux Etats-Unis a progressé plus que prévu en décembre, montrent aujourd’hui les résultats de l’enquête mensuelle de l’Institute for Supply Management (ISM) auprès des directeurs d’achats. Son indice d’activité a progressé à 54,7 après 53,2 en novembre, alors que le consensus tablait en moyenne sur 53,6. Le sous-indice des nouvelles commandes a atteint 60,2 contre 53,0 en novembre, et celui de l’emploi a progressé également, à 53,1 après 52,3 le mois précédent.
Les prix à la consommation ont augmenté de 0,3% en France en décembre par rapport à novembre du fait de l'énergie et des produits alimentaires, selon une première estimation publiée ce matin par l’Insee. Sur un an, ils affichent une hausse de 0,6%, contre 0,5% un mois plus tôt, soit le rythme le plus élevé depuis mai 2014. L’indice des prix harmonisés IPCH, qui permet les comparaisons avec les autres pays de la zone euro, a également progressé de 0,3% en décembre et enregistre une hausse de 0,8% sur un an, là aussi un plus haut depuis mai 2014.
Le nombre de chômeurs en Allemagne a baissé plus que prévu en décembre pour s'établir à 2,638 millions et le taux de chômage de la première économie européenne est resté stable à 6%, son niveau le plus bas depuis la réunification de 1990, selon les données publiées ce matin par l’Office fédéral du travail. Le nombre de demandeurs d’emplois, corrigé des variations saisonnières (CVS), a ainsi diminué de 17.000, alors que les économistes interrogés par Reuters avaient anticipé un recul de 5.000.
La croissance de l'économie espagnole pourrait avoir dépassé en 2016 le chiffre de 3,2% qui constitue la prévision officielle du gouvernement, a déclaré hier le ministre de l’Economie, Luis de Guindos, dans un entretien diffusé par la radio Cadena Ser. «A ce stade, l’estimation dont nous disposons montre que la croissance pourrait avoir été supérieure en 2016 à celle de 2015», a-t-il dit. Il a précisé que l’inflation, qui a nettement rebondi en décembre avec la remontée des cours du pétrole, devrait avoisiner 1% en moyenne en 2017. Il a ajouté que le Trésor s’efforcerait de maintenir en 2017 ses émissions de dettes autour de 35 milliards d’euros.
L'économie américaine devrait enregistrer au quatrième trimestre une croissance de 2,5% en rythme annualisé, montrait hier le modèle GDP Now de la Réserve fédérale d’Atlanta après la publication ces derniers jours de données en matière de dépenses de ménages, d’investissements ou encore de reventes de logements. La précédente estimation de la Fed d’Atlanta, publiée il y a une semaine, prédisait une croissance de 2,6% au quatrième trimestre.
La confiance du consommateur s’est améliorée bien plus que prévu en décembre, montrent les chiffres estimatifs publiés mercredi par la Commission européenne. L’indice la mesurant a gagné 1,1 point à -5,1 points en première estimation contre -6,0 points en novembre (chiffre revisé). Les économistes interrogés par Reuters anticipaient un indice de -6,0 points. Dans l’Union européenne dans son ensemble, cet indice a augmenté de 1,2 point à -4,6 points.