La confiance des consommateurs américains est au plus haut depuis juillet 2007, montrait hier l’enquête mensuelle du Conference Board, réalisée pour l’essentiel avant l'élection présidentielle du 8 novembre qui a vu la victoire de Donald Trump. L’indice de confiance a progressé à 107,1 après 100,8 en octobre (98,6 en première estimation), alors que les économistes tablaient en moyenne sur 101,2. La composante du jugement des consommateurs sur la situation actuelle a bondi à 130,3 contre 123,1 en octobre (120,6 en première estimation), et celle de leurs anticipations a progressé à 91,7 contre 86,0 (83,9).
L’indice allemand des prix à la consommation harmonisé aux normes européennes (IPCH) est stable sur un mois en novembre et en progression de 0,7% sur un an, comme en octobre, montre une première estimation publiée hier par Dasyatis, l’office fédéral de la statistique. Les économistes interrogés par Reuters s’attendaient à une progression de 0,1% sur un mois et de 0,8% sur un an. En données non harmonisées, l’inflation s’affiche à 0,8% sur un an, comme en octobre.
La croissance suédoise a légèrement ralenti à 0,5% en juillet-septembre par rapport aux trois mois précédents, avec une progression de 2,8% sur un an, a annoncé hier l’office national de la statistique. Les chiffres du deuxième trimestre ont été révisés en hausse à +0,6% d’un trimestre à l’autre et +3,6% en annuel. Ceux du troisième trimestre sont conformes aux projections de la Riksbank, la banque centrale suédoise, laissant ouverte la possibilité d’un nouvel assouplissement de sa politique monétaire déjà ultra accommodante lors de sa prochaine réunion du 21 décembre.
La confiance des consommateurs aux Etats-Unis s’est améliorée nettement plus qu’attendu en novembre, et l’indice la mesurant est au plus haut depuis juillet 2007, montre mardi l’enquête mensuelle du Conference Board. L’organisation patronale précise qu’elle a été réalisée pour l’essentiel avant l'élection présidentielle du 8 novembre qui a vu la victoire du candidat républicain Donald Trump. Son indice de confiance a progressé à 107,1 après 100,8 en octobre (98,6 en première estimation), alors que les économistes l’attendaient en moyenne à 101,2. La composante du jugement des consommateurs sur la situation actuelle a bondi à 130,3 contre 123,1 en octobre (120,6 en première estimation), au plus haut depuis juillet 2007 elle aussi, et celle de leurs anticipations a progressé à 91,7 contre 86,0 (83,9).
La croissance de l'économie américaine a été plus forte que prévu au troisième trimestre, atteignant son plus haut niveau depuis deux ans grâce à la hausse des dépenses de consommation et à la vigueur des exportations, montre mardi la deuxième estimation du produit intérieur brut. Le PIB a progressé de 3,2% en rythme annualisé, contre 2,9% en première estimation et après une hausse de 1,4% au deuxième trimestre, a annoncé le département du Commerce. Il s’agit du chiffre le plus élevé depuis le troisième trimestre 2014. Les économistes interrogés par Reuters prévoyaient en moyenne un chiffre de 3%.
Le sentiment économique s’est amélioré mais moins que prévu en novembre tandis que le climat des affaires a subi une détérioration inattendue, montrent mardi les résultats d’une enquête mensuelle de la Commission européenne. L’indice du sentiment économique a progressé à 106,5 après 106,4 (chiffre révisé à la hausse) en octobre, alors que les économistes interrogés par Reuters prévoyaient en moyenne un chiffre à 107,0.
L’Organisation pour la coopération et le développement économiques (OCDE) s’attend à ce que la croissance mondiale reprenne un peu plus d'élan que prévu au cours des deux prochaines années, sous l’effet de la politique de relance envisagée aux Etats-Unis. Dans ses prévisions d’automne, publiées lundi, l’Organisation de coopération et de développement économiques voit la croissance mondiale passer de 2,9% cette année à 3,3% en 2017 - alors qu’elle n’attendait que 3,2% en septembre - pour atteindre 3,6% en 2018.
Les prix à la consommation au Japon ont reculé en octobre pour le huitième mois consécutif, illustrant les difficultés de la Banque du Japon (BoJ) à lutter contre la déflation à l’heure où la marge d’action des politiques d’assouplissement s’amenuise. L’indice de base des prix à la consommation a perdu 0,4% en octobre par rapport à la même période de l’an dernier, conformément aux attentes des marchés, montrent les statistiques publiées vendredi par le gouvernement nippon. Le mois précédent, l’indice avait baissé de 0,5% par rapport à septembre 2015.
Les prix à la consommation au Japon ont reculé en octobre pour le huitième mois consécutif, illustrant les difficultés de la Banque du Japon (BoJ) à lutter contre la déflation à l’heure où la marge d’action des politiques d’assouplissement s’amenuise. L’indice de base des prix à la consommation a perdu 0,4% en octobre par rapport à la même période de l’an dernier, conformément aux attentes des marchés, montrent les statistiques publiées vendredi par le gouvernement nippon. Le mois précédent, l’indice avait baissé de 0,5% par rapport à septembre 2015.
La Banque centrale européenne (BCE) redoute que les changements de politique aux Etats-Unis ne provoquent de brutales corrections sur les marchés financiers, aux dépens de la stabilité financière. Dans sa revue sur la stabilité financière publiée ce matin, la banque centrale considère qu’une possible « révision du prix du risque » liée « au renforcement de l’incertitude politique dans les économies avancées et les fragilités persistantes dans les pays émergents » est l’une des principales sources de risque systémique aujourd’hui. Qui plus est, la menace s’est renforcée depuis le dernier état des lieux sur la stabilité financière publié en mai dernier.
Le parlement européen a préconisé ce matin le gel des négociations d’adhésion de la Turquie à l’Union européenne en raison des mesures répressives « disproportionnées » prises par Ankara dans le cadre de l’Etat d’urgence instauré depuis la tentative de coup d’Etat du 15 juillet.
A l’occasion du discours d’automne, le chancelier de l’Echiquier a fait de l’amélioration de la productivité l’un des axes forts de sa feuille de route.
L’activité économique dans la zone euro a progressé en novembre, selon l’enquête publiée hier par IHS Markit. L’indice PMI Flash composite est ressorti à 54,1 ce mois-ci contre 53,3 en octobre. C’est la plus forte progression mensuelle de l’indice enregistrée depuis un peu moins d’un an. L’indice PMI des services est aussi en hausse ce mois-ci à 54,1 (contre 52,8). En revanche, l’indice de l’activité manufacturière a reculé à 54,1 (contre 54,6). «Les données PMI sont pour l’heure conformes à une hausse du PIB de l’ordre de 0,4 % au quatrième trimestre», commente Chris Williamson, chef économiste d’IHS Markit dans un communiqué.
L’activité économique dans la zone euro a progressé au mois de novembre selon les premiers résultats de l’enquête publiée par IHS Markit ce matin. L’indice PMI Flash composite est ressorti à 54,1 ce mois-ci contre 53,3 au mois d’octobre. C’est la plus forte progression mensuelle de l’indice enregistrée depuis un peu moins d’un an. L’indice PMI des services est aussi en hausse ce mois-ci à 54,1 (contre 52,8). En revanche, l’indice de l’activité manufacturière a reculé à 54,1 (contre 54,6). « Les données PMI sont pour l’heure conformes à une hausse du PIB de l’ordre de 0,4 % au quatrième trimestre », commente Chris Williamson, chef économiste d’IHS Markit dans un communiqué. La croissance de l’activité dans la zone euro est notamment tirée par la bonne santé de l'économie allemande même si l’indice PMI composite outre-Rhin a reculé de 55,1 en octobre à 54,9 en novembre. L’indice PMI composite français a en revanche progressé à 52,3 (contre 51,6).
La confiance du consommateur s’est bien plus améliorée que prévu en novembre, suivant les chiffres publiés mardi par la Commission européenne. L’indice la mesurant ressort à -6,1 points en première estimation contre -8,0 points en octobre. Les économistes interrogés par Reuters anticipaient un indice de -7,8 points. Dans l’Union européenne dans son ensemble, cet indice a augmenté de 0,7 point à -5,8 points.
La croissance économique allemande devrait accélérer à la fin de l’année, grâce à la vigueur des dépenses des ménages et des entreprises après une période atone, a indiqué lundi la banque centrale allemande. Dans son rapport mensuel, la Bundesbank souligne que les indicateurs d’activité industrielle, comme le climat des affaires et le taux d’utilisation des capacités, laissent penser que l’Allemagne regagnera de la vigueur après une croissance de 0,2% seulement au troisième trimestre par rapport aux trois mois précédents. La croissance s’est établie à 0,7% sur les trois premiers mois de l’année et à 0,4% au deuxième trimestre.
La croissance économique allemande devrait accélérer à la fin de l’année, grâce à la vigueur des dépenses des ménages et des entreprises après une période atone, a indiqué lundi la banque centrale allemande. Dans son rapport mensuel, la Bundesbank souligne que les indicateurs d’activité industrielle, comme le climat des affaires et le taux d’utilisation des capacités, laissent penser que l’Allemagne regagnera de la vigueur après une croissance de 0,2% seulement au troisième trimestre par rapport aux trois mois précédents. La croissance s’est établie à 0,7% sur les trois premiers mois de l’année et à 0,4% au deuxième trimestre.
Le gouvernement a abaissé à 1,4%, contre 1,5% auparavant, sa prévision de croissance de l'économie française pour 2016, a annoncé ce matin le ministre de l’Economie et des Finances Michel Sapin. Cette déclaration est intervenue avant la présentation aujourd’hui du projet de loi de finances rectificative (PLFR) de fin d’année pour 2016.
Le taux d’inflation annuel de la zone euro s’est établi à 0,5% en octobre 2016, contre 0,4% en septembre, selon les chiffres publiés hier par Eurostat. Un an plus tôt, l’inflation était ressortie à 0,1%. La hausse des prix a été soutenue par celle des prix des restaurants et cafés (+0,07 point de pourcentage) et des loyers et du tabac (+0,04 pp chacun). En revanche, les prix du gaz (-0,12 pp) ont contribué à baisser le taux annuel, tout comme ceux d’un certain nombre de produits alimentaires (légumes, lait, fromages et œufs). L’inflation hors énergie et produits alimentaires non transformés est ressortie à 0,7%, en légère baisse par rapport aux mois précédents.