Le déficit commercial marchand britannique s’est contracté plus que prévu en octobre, à 9,71 milliards de livres contre 13,83 milliards en septembre, alors que le consensus des économistes anticipait un solde négatif de 11,8 milliards, a annoncé vendredi l’Office de la statistique nationale (ONS). Le déficit commercial avec l’Union européenne est revenu à 1,59 milliard de livres, contre 5,27 milliards le mois précédent. Pour l’ensemble des biens et services, le déficit ressort à 1,97 milliard en octobre, un creux depuis mai, contre 5,81 milliards en septembre.
Le déficit commercial français s’est creusé à 5,2 milliards d’euros en octobre, son niveau le plus élevé depuis août 2014, sous l’effet de la faiblesse, qualifiée de ponctuelle, des livraisons d’Airbus, selon les statistiques publiées hier par les Douanes. Il fait suite à un déficit corrigé à 4,79 milliards d’euros en septembre, contre 4,77 milliards pour la première estimation. Au cours des dix premiers mois de 2016, le déficit cumulé atteint 41,8 milliards d’euros, contre 37 milliards un an plus tôt.
Le déficit commercial français s’est creusé à 5,2 milliards d’euros en octobre, son niveau le plus élevé depuis août 2014, sous l’effet de la faiblesse, qualifiée de ponctuelle, des livraisons d’Airbus, selon les statistiques publiées aujourd’hui par les Douanes. Il fait suite à un déficit corrigé à 4,79 milliards d’euros en septembre, contre 4,77 milliards pour la première estimation. Au cours des dix premiers mois de 2016, le déficit cumulé atteint 41,8 milliards d’euros, contre 37 milliards un an plus tôt.
Le PIB australien s’est contracté plus fortement que prévu de 0,5% au cours du troisième trimestre de l’année et à un rythme trimestriel qui n’avait pas été connu depuis 2008. En rythme annuel, la croissance a ralenti à 1,8%, contre 2,2% anticipé par le consensus et 3,1% au trimestre précédent. L’annonce a entraîné un recul du dollar australien de 0,6% en séance face au billet vert et relancé les anticipations d’une nouvelle baisse des taux directeurs de la RBA, avec une croissance attendue à un niveau de 2,3% cette année bien inférieur à son potentiel, estimé à 2,75%.
Les commandes à l’industrie en Allemagne ont ainsi progressé de 4,9% en octobre par rapport au mois de septembre. Il s’agit de leur hausse la plus prononcée depuis juin 2014 alors que les économistes interrogés par Reuters anticipaient en moyenne une augmentation de 0,6%. Les commandes pour des biens d'équipement ont augmenté de 7,2% en octobre, celles pour des biens intermédiaires de 1,8% et celles pour des biens de consommation de 0,5%. En outre, le recul du mois de septembre a été révisé: il n’est plus que de 0,3%, deux fois moins qu’en première estimation.
Les commandes à l’industrie en Allemagne ont ainsi progressé de 4,9% en octobre, leur hausse la plus prononcée depuis juin 2014, alors que les économistes interrogés par Reuters avaient anticipé en moyenne une augmentation de 0,6% d’un mois sur l’autre. Par segment, les commandes pour des biens d'équipement ont augmenté de 7,2% en octobre, celles pour des biens intermédiaires de 1,8% et celles pour des biens de consommation de 0,5%. En outre, le recul du mois de septembre est moindre que ce qui avait été initialement donné, le repli n'étant plus que de 0,3% contre -0,6% en première estimation.
La croissance de la Suisse a été nulle au troisième trimestre, montrent les données publiées vendredi par le Secrétariat d’Etat à l'économie (Seco). Le produit intérieur brut (PIB) réel de la Suisse n’a pratiquement pas varié sur la période juillet-septembre après une croissance de 0,6% au trimestre précédent. Ce chiffre est en deçà du consensus d’une croissance de 0,3% et est bien plus faible que la plus pessimiste des estimations. Par rapport au troisième trimestre 2015, le PIB a progressé de 1,3% contre 2,0% au trimestre précédent.
Le taux de chômage est revenu à un creux de sept ans en octobre, montrent les données publiées hier par Eurostat. Il s'établit à 9,8% en octobre après 9,9% en septembre, chiffre révisé après avoir été annoncé à 10%. Le chômage n’a cessé de baisser en zone euro depuis un pic de 12,1% inscrit au début de 2013. Il reste cependant nettement supérieur à son niveau d’avant la crise financière (7,2% en mars 2008). Pour l’ensemble de l’Union européenne, le taux de chômage pour octobre s’affiche à 8,3%, au plus bas depuis février 2009, après 8,4% en septembre.
La croissance de l’activité du secteur manufacturier aux Etats-Unis a été supérieure aux attentes en novembre, montraient hier les résultats de l’enquête mensuelle de l’Institute for Supply Management (ISM) auprès des directeurs d’achats. Son indice d’activité a progressé à 53,2, après 51,9 en octobre, alors que le consensus prévoyait en moyenne un chiffre de 52,2. Le sous-indice des nouvelles commandes est également en hausse, à 53,0 contre 52,1 en octobre, mais celui de l’emploi est en baisse, à 52,3 en novembre, contre 52,9 le mois précédent.
La croissance de l’activité du secteur manufacturier aux Etats-Unis a été supérieure aux attentes en novembre, montrent jeudi les résultats de l’enquête mensuelle de l’Institute for Supply Management (ISM) auprès des directeurs d’achats. Son indice d’activité a progressé à 53,2 le mois dernier, après 51,9 en octobre, alors que le consesnsu prévoyait en moyenne un chiffre de 52,2. Le sous-indice des nouvelles commandes est également en hausse, à 53,0 contre 52,1 en octobre, mais celui de l’emploi est en baisse, à 52,3 en novembre, comme attendu par les économistes, contre 52,9 le mois précédent.
Le taux de chômage est revenu à un creux de sept ans en octobre, montrent les données publiées jeudi par Eurostat. Il s'établit à 9,8% en octobre après 9,9% en septembre, chiffre révisé après avoir été annoncé à 10%. Le chômage n’a cessé de baisser en zone euro depuis un pic de 12,1% inscrit au début de 2013. Il est désormais sous la barre des 10%, pour la première fois depuis 2011, mais reste nettement supérieur à son niveau d’avant la crise financière (7,2% en mars 2008).
Les pays du G20 doivent répondre aux crises économiques par un renforcement de leur coopération, a affirmé hier le ministre allemand des Finances Wolfgang Schäuble. Le nationalisme et le protectionnisme ne peuvent pas constituer la bonne réponse à la mondialisation, a-t-il dit lors d’un événement marquant le début de la présidence allemande du G20. Il a ajouté que la normalisation de la politique monétaire, au moment opportun, devrait s’accompagner de réformes structurelles afin de soutenir l'économie.
Les promesses de vente dans l’immobilier ancien n’ont que faiblement progressé en octobre en dépit d’une demande toujours solide, une stabilité qui peut s’expliquer par le stock limité de maisons à vendre. La Fédération nationale des agents immobiliers (NAR) a annoncé hier que son indice des promesses de vente, calculé à partir des compromis signés sur la période, avait augmenté de 0,1% à 110, après une hausse (révisée) de 1,4% en septembre. Par rapport à octobre 2015, l’indice affiche tout de même une progression de 21,8%.
Le produit intérieur brut canadien a progressé de 0,9% sur la période juillet-septembre après une contraction de 0,3% au deuxième trimestre, montrent les données officielles publiées hier. En taux annualisé, la croissance ressort à 3,5%, la plus élevée depuis le deuxième trimestre 2014, après une contraction de 1,3% au deuxième trimestre. Le chiffre annualisé du troisième trimestre est légèrement supérieur aux attentes des économistes qui prévoyaient 3,4% et aux prévisions de la Banque du Canada qui tablait sur une croissance de 3,2%.
Les promesses de vente dans l’immobilier ancien n’ont que faiblement progressé en octobre en dépit d’une demande toujours solide, une stabilité qui peut s’expliquer par le stock limité de maisons à vendre. La Fédération nationale des agents immobiliers (NAR) a annoncé mercredi que son indice des promesses de vente, calculé à partir des compromis signés le mois dernier, avait augmenté de 0,1% à 110,0 en octobre, après une hausse (révisée) de 1,4% en septembre. Par rapport à octobre 2015, l’indice affiche tout de même une hausse de 21,8%.
Le taux annuel d’inflation dans la zone euro est ressorti à 0,6% en novembre, selon la première estimation publiée par Eurostat aujourd’hui. Ce chiffre représente une légère hausse par rapport à celui enregistré en octobre quand l’inflation était à 0,5%. La baisse des prix de l'énergie (-1,1% en novembre contre -0,9% en octobre) a pesé sensiblement sur l’inflation ce mois-ci, mais cette dernière a été notamment soutenue par la hausse des prix de l’alimentation, de l’alcool et du tabac (0,7% en novembre contre 0,4% en octobre). L’inflation sous-jacente (à l’exception des prix de l'énergie, de l’alimentation, de l’alcool et du tabac) est restée stable entre les mois d’octobre et novembre à 0,8%.
La croissance de l'économie américaine a été plus forte que prévu au troisième trimestre, atteignant son plus haut niveau depuis deux ans grâce aux dépenses de consommation et à la vigueur des exportations, montrait hier la deuxième estimation du produit intérieur brut. Le PIB a progressé de 3,2% en rythme annualisé, contre 2,9% en première estimation et après une hausse de 1,4% au deuxième trimestre, a annoncé le département du Commerce. Il s’agit du chiffre le plus élevé depuis le troisième trimestre 2014. Le consensus des économistes prévoyait en moyenne un chiffre de 3%.