Le nombre de créations d’entreprises en France est reparti à la baisse en décembre, se repliant de 3,0% pour s'établir à 46.181, selon les données corrigées des variations saisonnières et des jours ouvrables publiées par l’Insee. Sur le quatrième trimestre 2016, en données brutes, le nombre cumulé de créations d’entreprises marque en revanche une progression de 2,0% par rapport à la même période un an plus tôt. En données brutes, sur douze mois glissants, le nombre cumulé d’entreprises créées a poursuivi sa hausse en décembre 2016, affichant une progression de 5,5%.
Les prix à la production ont connu en décembre leur deuxième progression mensuelle consécutive aux Etats-Unis, en raison notamment de la hausse de 2,6% des coûts de l'énergie. Le département du Travail a fait état vendredi d’un indice des prix à la production (PPI) en hausse de 0,3% en décembre, après +0,4% en novembre. Sur un an, ces prix ont grimpé de 1,6%, leur plus forte progression depuis septembre 2014.
Le moral des ménages américains s’est légèrement dégradé en janvier, ont montré vendredi les résultats préliminaires de l’enquête mensuelle de l’Université du Michigan. Son indice de confiance a reculé à 98,1 après avoir atteint en décembre 98,2, son plus haut niveau depuis janvier 2004. Le consensus des économistes tablait en moyenne sur un niveau de 98,5 pour janvier. Le sous-indice mesurant le jugement des ménages sur leurs conditions actuelles a légèrement progressé, à 112,5 contre 111,9 en décembre. Celui des anticipations a reculé à 88,9 contre 89,5.
Les élus républicains siégeant à la Chambre des représentants ont voté vendredi une résolution destinée à entamer la procédure de démantèlement de l’Obamacare, déjà adoptée la veille par le Sénat. Adoptée par 235 voix contre 188, la résolution demandée par le président élu Donald Trump enjoint aux commissions du Sénat et de la Chambre de rédiger un projet d’abrogation de cette loi avant le 27 janvier. Le comité pour un budget fédéral responsable, organisme non partisan, a évalué le coût du démantèlement à 350 milliards de dollars (330 milliards d’euros) sur dix ans.
Les prix à la production aux Etats-Unis ont connu en décembre leur deuxième progression mensuelle consécutive en raison notamment de la hausse de 2,6% des coûts de l'énergie. Le département du Travail a fait état vendredi d’un indice des prix à la production (PPI) en hausse de 0,3% en décembre, après +0,4% en novembre. Sur un an, ces prix ont grimpé de 1,6%, leur plus forte progression depuis septembre 2014. L’effet des prix du pétrole sur l’inflation pourrait cependant être limité à l’avenir par l’appréciation du dollar liée à la victoire de Donald Trump.
Les élus républicains siégeant à la Chambre des représentants ont voté vendredi une résolution destinée à entamer la procédure de démantèlement de l’Obamacare, déjà adoptée la veille par le Sénat. Adoptée par 235 voix contre 188, la résolution demandée par le président élu Donald Trump enjoint aux commissions du Sénat et de la Chambre de rédiger un projet d’abrogation de cette loi avant le 27 janvier. L’Affordable Care Act, entrée en vigueur le 1er janvier 2014, prévoit que tous les Américains doivent disposer d’une assurance maladie, organisant un accès universel aux soins de santé. Le comité pour un budget fédéral responsable, organisme non partisan, a évalué le coût du démantèlement à 350 milliards de dollars (330 milliards d’euros) sur dix ans.
Le moral des ménages américains s’est légèrement dégradé en janvier, montrent vendredi les résultats préliminaires de l’enquête mensuelle de l’Université du Michigan. Son indice de confiance a reculé à 98,1 après avoir atteint en décembre 98,2, son plus haut niveau depuis janvier 2004. Le consensus des économistes tablait en moyenne sur un niveau de 98,5 pour janvier. Le sous-indice mesurant le jugement des ménages sur leurs conditions actuelles a légèrement progressé, à 112,5 contre 111,9 en décembre. Celui des anticipations a reculé à 88,9 contre 89,5.
Le nombre de créations d’entreprises en France est reparti à la baisse en décembre, se repliant de 3,0% pour s'établir à 46.181, selon les données corrigées des variations saisonnières et des jours ouvrables publiées par l’Insee. En excluant les microentrepreneurs (ex-auto-entrepreneurs), les créations d’entreprises ont affiché en décembre un recul de 2,7%, à 27.798. Sur le quatrième trimestre 2016, en données brutes, le nombre cumulé de créations d’entreprises marque en revanche une progression de 2,0% par rapport à la même période un an plus tôt.
La croissance allemande a atteint 1,9% en 2016, sa meilleure performance en cinq ans, après 1,7% en 2015, indique la première estimation du produit intérieur brut (PIB) publiée hier par Destatis, l’institut national de la statistique. Le consensus des économistes tablait en moyenne sur une hausse de 1,8%. La première économie d’Europe a bénéficié du dynamisme de la consommation privée (+2%) et de la hausse des dépenses publiques (+4,2%) liée entre autres à l’afflux de réfugiés, ce qui a plus que compensé la contribution négative (-0,1 point) du commerce extérieur. Destatis précise que l’année écoulée se solde par un excédent des comptes publics de 0,6% du PIB.
Les inscriptions hebdomadaires au chômage ont augmenté moins que prévu aux Etats-Unis lors de la semaine au 7 janvier, à 247.000 contre 237.000 (révisé) la semaine précédente, a annoncé hier le département du Travail. Les économistes attendaient en moyenne 255.000 inscriptions. La tendance reste cohérente avec un resserrement du marché du travail, qui entraîne une hausse des salaires. La moyenne mobile sur quatre semaines s'établit à 256.500, contre 258.250 (chiffre révisé) la semaine précédente.
Les inscriptions hebdomadaires au chômage ont augmenté moins que prévu aux Etats-Unis lors de la semaine au 7 janvier, à 247.000 contre 237.000 (révisé) la semaine précédente, a annoncé jeudi le département du Travail. Les économistes attendaient en moyenne 255.000 inscriptions au chômage. La tendance reste cohérente avec un resserrement du marché du travail qui entraîne une hausse des salaires. La moyenne mobile sur quatre semaines s'établit à 256.500 contre 258.250 (chiffre révisé) la semaine précédente.
La croissance allemande a atteint 1,9% en 2016, sa meilleure performance en cinq ans, après 1,7% en 2015, montre jeudi la première estimation du produit intérieur brut (PIB) publiée par Destatis, l’institut national de la statistique. Le consensus des économistes tablait en moyenne sur une hausse de 1,8% du PIB en 2016. La première économie d’Europe a bénéficié du dynamisme de la consommation privée (+2%) et de la hausse des dépenses publiques (+4,2%) liée entre autres à l’afflux de réfugiés, ce qui a plus que compensé la contribution négative (-0,1 point) du commerce extérieur. Destatis précise que l’année écoulée se solde par un excédent des comptes publics de 0,6% du PIB.
Selon les chiffres de l’ONS, l’institut national de la statistique du Royaume-Uni, le déficit commercial britannique est ressorti à 12,16 milliards de livres sterling (13,98 milliards d’euros) en novembre contre 9,86 milliards de livres (chiffre révisé) en octobre, alors que les économistes anticipaient en moyenne un solde négatif de 11,20 milliards. Le déficit avec la seule Union européenne a atteint un record de 8,59 milliards de livres en novembre, contre 7,70 milliards le mois précédent.
La production industrielle a augmenté de 2,1% en novembre sur un mois, après une baisse de 1,1% en octobre, montrent les données publiées hier par l’ONS, l’institut national de la statistique britannique. Les économistes prévoyaient en moyenne une croissance de 0,8%. La production manufacturière a augmenté de 1,3% après une contraction de 1% en octobre.
Selon les chiffres de l’ONS, l’institut national de la statistique, le déficit commercial britannique est ressorti à 12,16 milliards de livres sterling (13,98 milliards d’euros) en novembre contre 9,86 milliards de livres (chiffre révisé) en octobre, alors que les économistes anticipaient en moyenne un solde négatif de 11,20 milliards. Le déficit avec la seule Union européenne a atteint un record de 8,59 milliards de livres en novembre contre 7,70 milliards le mois précédent.
La production industrielle augmenté de 2,1% en novembre sur un mois, après une baisse de 1,1% en octobre, montrent les données publiées mercredi par l’ONS, l’institut national de la statistique britannique. Les économistes prévoyaient en moyenne une croissance de 0,8%. La production manufacturière a augmenté de 1,3% après une contraction de 1,0% en octobre.
La production industrielle française s’est redressée de façon bien plus marquée qu’attendu en novembre, après deux mois de recul. Elle a bondi de 2,2%, sous le coup d’une augmentation dans l’ensemble des branches, selon les chiffres publiées hier par l’Insee. Le consensus des économistes anticipait en moyenne un rebond de 0,6%. La seule production manufacturière a elle aussi affiché une forte progression, de 2,3%, après un recul confirmé à -0,6% en octobre.
La production industrielle française s’est redressée de façon bien plus marquée qu’attendu en novembre après deux mois de recul, rebondissant de 2,2%, sous le coup d’une augmentation dans l’ensemble des branches, selon les données publiées mardi par l’Insee. Le consensus des économistes tablait en moyenne sur un rebond de 0,6%. La seule production manufacturière a elle aussi affiché une forte progression, de 2,3%, après un recul confirmé à -0,6% en octobre.
Les nouvelles commandes à l’industrie aux Etats-Unis ont diminué en novembre en raison notamment de la chute du segment de l’aviation civile: le département du Commerce américain a annoncé vendredi un repli de 2,4% de ces commandes après un gain révisé en hausse à 2,8% en octobre. La baisse de novembre survient après quatre mois consécutifs de hausse et constitue le repli le plus marqué depuis décembre 2015. Les économistes interrogés par Reuters prévoyaient en moyenne un recul de 2,2% en novembre. Les commandes de biens d'équipement hors défense et aéronautique, considérées comme les plus représentatives de la confiance des entreprises et des prévisions d’investissement, ont augmenté de 0,9% en novembre, un chiffre inchangé par rapport au mois dernier. Les livraisons hors défense et aéronautique, qui entrent dans le calcul de la composante de l’investissement des entreprises du PIB, ont progressé de 0,2% en novembre.
Les commandes allemandes à l’industrie ont diminué de 2,5% en novembre, leur plus forte baisse mensuelle depuis novembre 2014, en raison d’une demande faible dans le pays et à l’exportation, selon les chiffres du ministère de l’Economie. Les économistes interrogés par Reuters anticipaient en moyenne un recul de 2,3%. Les commandes en provenance de l’Allemagne ont baissé de 2,8%, tandis que celles en provenance de l'étranger ont diminué de 2,3%, avec une demande des pays de la zone euro en baisse de 2,7%.